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Notre Documentation

NANOZINE 18

Salut à tous et à toutes.
Taenia Solium se lance dans un nouveau projet : l'édition d'un petit fanzine : le NANOZINE.

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EDIT :
dernier numéro paru : numéro 18, juin 2012
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Fanzine d'expression, il accueille nos états d'âmes, nos récits, nos chroniques de concerts, de disques et de livres, nos photos, nos griboullis, nos prises de positions politiques, nos poèmes, nos annonces de concerts, nos projets collectifs, nos soucis individuels.

Le numéro 1 (décembre 2008) a été tiré à 200 exemplaires.
Photos, The Ex, Iva Bittova, poésie, Cometbus, Droll Academy...

Ou trouver le nanozine?
- Le 102 (102 rue d'Alembert, Grenoble)
- Lokal Autogéré (rue Pierre Dupont, Grenoble)
- Magic Bus (rue Gabriel Péri, Grenoble)
- Médiathèque Simone de Beauvoir de Romans
- Médiathèque de Valence
- Médiathèque Grenoble centre
- Médiathèque Grenoble saint-bruno

Abonnement & diffusion
Vous pouvez vous abonner en nous envoyant un carnet de timbres.
Si vous voulez le diffuser contactez-nous.

A bientôt.

--
TAENIA SOLIUM
47, rue de la république
26300 Bourg-de-Péage
http://taenia-solium.net
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Réponses

  • Le numéro 2 a été imprimé aujourd'hui à 300 exemplaires.
    Photos, Myspace, Opstand, poèmes, carte postale.

    Disponible aux mêmes endroits + La Luttine + distros Procrastination, J'appelle Les Flics, No Shangsa.
    Abonnement contre un carnet de timbres.

    --
    TAENIA SOLIUM
    47, rue de la république
    26300, Bourg-de-Péage
    http://taenia-solium.net
  • Le numéro 3 du nanozine a été imprimé hier à 300 exemplaires.
    Banalités punks, Kalashnikov, Fragments de l'inutile, Nouveau Cri, Guts Pie Earshot, Decapante.

    Disponible aux endroits habituels, ou en nous envoyant un carnet de timbres.

    --
    TAENIA SOLIUM
    10 rue Yves Farge
    38600 Fontaine
    http://taenia-solium.net
  • Tiens l'adresse a changé entre deux nanozines ?? ;)
  • Bonjour messieurs-dames.
    Le numéro 4 du nanozine a été imprimé aujourd'hui à 300 exemplaires.
    Une soirée à l'Hôtel Devil, compile Box2son, sueur et rock'n'roll, Etre ailleurs, Blow, Head War.
    Disponible aux endroits habituels, ou en nous envoyant un carnet de timbres.
  • Bon, bah j'ai du aller plus vite que le nanozine :), mais je l'ai pas trouvé à la médiathèque de Valence ...
    ça arrive ou c'est déjà épuisé ?
  • Ca arrive, ça arrive...
  • Salut.
    Le numéro a été imprimé cet après-midi à 300 exemplaires.
    Fantomas, perdre sa vie, Mistral Palace, 400 Couverts, Loca/Crazy.

    Disponible dans ta boîte aux lettre en nous envoyant des timbres, ou aux Bibliothèques de Grenoble centre, Romans et Valence, les Bas-Côtés, le Saint Arnaud, le 102 et au pif.
  • Le numéro 6 du nanozine a été imprimé aujourd'hui à 300 exemplaires.
    Conclusion, Out of step, Métalking, Aghast, Kraken, Vous êtes des trésors.
    Disponible aux endroits habituels ou en nous envoyant un carnet de timbres.
  • février 2010 modifié
    Le numéro 7 du nanozine a été imprimé mardi à 300 exemplaires.
    Marchandises, se désincarner, concert à Paris, histoires de Noël.

    Disponible au local autogéré, à la médiathèque Grenoble centre, au Magic Bus et d'ici peu aux endroits habituels.
    Aussi en nous envoyant un carnet de timbres.

    A plus.
  • Cool ! bientot un nouveau dans ma boite alors !

    Merci pour ce nano !

    didier
  • reçu !

    en tout cas c'est simple un envoi d'un carnet de timbre à cette adresse et zou !
    et ca fait toujours plaisir de recevoir son nanozine.

    TAENIA SOLIUM
    47, rue de la république
    26300, Bourg-de-Péage
    http://taenia-solium.net

    Merci a eux ! ces prolifiques créateurs !
  • Salut.
    Le numéro 8 est sorti, et on parle même d'un projet en licence libre dedans (mais vite fait).
  • ET du coup j'me demandais l'autre jour, ça vous intéresse pas les taenia de coller une licence sur votre nanozine (une by-sa ou une by-nc-sa ou autre)
    C'est un choix de ne pas en foutre ? ça a été débattu ? vous vous en foutez ?
  • A vrai dire on n'a jamais parlé de ça.
    Le zine n'est pas téléchargeable ; les licences sont un objet juridique qui a été inventé en lien avec une technologie (le numérique).
    Notre mode de diffusion est largement différent du téléchargement à l'infini : 300 exemplaires diffusés de la main à la main dans une communauté, à une échelle localo-locale et un peu au pif. Le genre d'échelle ou a priori l'emploi d'une licence légale est largement dispensable.
  • Hello,

    Number 9 is out. 300 copies in the self-managed place, the 102, the bus magique, the down-sides and downtown library (Grenoble).
    Sinon vous pouvez le recevoir dans votre boîte aux lettres en vous abonnant (1 carnet de timbres).

    Bye.
  • Libre à vous, de ne pas mettre de licence et d'orienter cette initiative sur un aspect purement artistique ou d'expression.

    Pour autant, je me permet de corriger un peu ce que tu dis ; les licences sont un moyen de céder sous conditions des droits d'utilisation.

    Ce que je veux dire c'est que cela va bien au delà d'internet ; vous réalisez d'ailleurs de la reprographie qui est cadrées par le droit d'auteur. vous utilisez, peut être des œuvres réalisée par des auteurs dont vous devez obtenir la jouissance. Celà pourrait être fait avec des licences libres. Ce qui est sure c'est qu'il y a un cadre.

    En n'exprimant pas les conditions d'utilisations, il faut comprendre qu'en l'état la reproduction ou l'exploitation par un tiers du Nanozine est strictement interdite. Il n'est pas utile de l'indiquer puisque le droit d'auteurs précise que toute utilisation d'une œuvre est par défaut hyper restreinte. Il faut que l'auteur exprime les conditions ; soit par une licence libre soit par une licence d'utilisation qu'il peut définir lui même d'ailleurs.

    C'est choix qui appartient simplement à l'auteur.
    Ce qui est sure c'est que le droit d'auteur s'applique en toute circonstance.
  • Salut
    Entre temps les numéros 10, 11 et 12 sont sortis (le dernier : avant-hier)
    Toujours disponible chez nous, carnet de timbre, etc etc.

    "En n'exprimant pas les conditions d'utilisations, il faut comprendre qu'en l'état la reproduction ou l'exploitation par un tiers du Nanozine est strictement interdite. Il n'est pas utile de l'indiquer puisque le droit d'auteurs précise que toute utilisation d'une œuvre est par défaut hyper restreinte. Il faut que l'auteur exprime les conditions ; soit par une licence libre soit par une licence d'utilisation qu'il peut définir lui même d'ailleurs.
    C'est choix qui appartient simplement à l'auteur.
    Ce qui est sure c'est que le droit d'auteur s'applique en toute circonstance."

    Oui. Oui oui, bien sûr c'est vrai en termes juridiques, droits d'auteurs, et c'est sur ce terrain là que les licences libres agissent (ce sont des outils juridiques), donc il est logique que tu parle de ça.

    Pour autant.
    Me permétrais-je d'avancer que la "musique libre" existait avant les licences libres et que nombre de disques de punkrock sont sortis sans être enregistrés à la sacem, ni que les auteurs se soient imaginés un seul instant gagner des thunes dessus et qu'il était clair pour tout le monde (la communauté punk en l'occurence) que ces morceaux étaient libres de droits (oui, j'ai bien écrit libres de droits) dans la mesures ou leurs auteurs étaient "respectés" (avec toutes les ambiguités que ce mot trimballe... les licences libres sont plus claires là-dessus, au moins).

    Bref, ce que je veux dire, c'est : oui il y a un cadre juridique qui s'applique à tous et toutes, en toues circonstances. En l'occurence le droit d'auteur, "restrictif". Mais. Dans certains cadres restreints, certaines communautés, certaines niches, l'usage est autre et ce que l'usage fait prévaloir c'est par exemple la libre circulation des contenus. Et il n'est pas forcement besoin de licences libres ou d'autres outils juridiques pour l'acter et mettre les pratique en cohérence avec la légalité. C'est l'usage. Exemple : dans une discussion à bâtons rompus, les deux locuteurs ne posent pas de copyright sur leurs propos, qui se retrouvent dans la suite de la discussion repris, modifiés, arrangés, détournés, contredis, travestis, démentis, etc, pour le plus grand profit de ladite discussion. Et on n'imaginerait pas poser un copyright sur chacune des phrases. Pourtant... "En n'exprimant pas les conditions d'utilisations, il faut comprendre qu'en l'état la reproduction ou l'exploitation par un tiers des propos de l'autre est strictement interdite", non? Bon, juste pour dire que parfois c'est l'usage qui me semble primer sur le droit

    Et pour en revenir à notre exemple de départ, il me semble que lle monde du fanzine dans lequel nous évoluons, et un certain milieu punkrock se fout éllégrement du droit d'auteur, le méprise dirais-je même, et ça fait du bien, un monde ou il n'est pas, ou très peu, question d'argent, de contrats, de droits d'auteurs etc. Un monde d'ailleurs ou nous passons à notre tour pour de fameux intégristes, ayatollas (oups) des licences libres et de la formalisation juridque de ce genre de trucs.

    Voilà deux trois bouts de réflexion.
  • Merci pour ces réflexions !
    Mes années punks ont beau remonter vingt ans en arrière (disons 85-88, avant que je plonge dans ma phase mystico-philosophique païenne), ça m'a toujours géné aux entournures, et plus ça va plus ça empire, la juridiciarisation de la créativité en générale, et de la musique en particulier, et le fait que nous, sectateurs des licences libres, nous ayons tendance à nous transformer sous la pression de l'histoire (aussi brève fut-elle) en juristes plutôt qu'en philosophes.
    J'aime beaucoup cette remarque :
    Bon, juste pour dire que parfois c'est l'usage qui me semble primer sur le droit

    Il fut un temps où effectivement du point de vue juridique il n'existait aucune alternative au droit d'auteur tel qu'il est rédigé dans les codes institutionnels. Et dans cette perspective, de fait l'usage débordait et parfois de manière subversive, parfois en toute ignorance, le droit.

    je ferais une remarque à mon tour, mais je n'ai aucun chiffre à fournir : il me semble tout de même qu'un bon paquet de punks de ces années là, des années 80, se sont gentiment transformés en agents des collectivités locales, salles subventionnées, et du coup, pour leurs propres musiques et celles des autres, en défenseurs des institutions et des écrits juridiques - sans parler de ceux qui se sont lancés dans le bisness de la musique.

    Mais il y en a d'autres qui, en vieillissant, et en s'assagissant (??) un peu, ont adopté vingt ans plus tard les licences libres dans un esprit disons "alternatif", pour clarifier un peu leurs usages comme tu dis.
    Et pour en revenir à notre exemple de départ, il me semble que lle monde du fanzine dans lequel nous évoluons, et un certain milieu punkrock se fout éllégrement du droit d'auteur, le méprise dirais-je même, et ça fait du bien, un monde ou il n'est pas, ou très peu, question d'argent, de contrats, de droits d'auteurs etc. Un monde d'ailleurs ou nous passons à notre tour pour de fameux intégristes, ayatollas (oups) des licences libres et de la formalisation juridque de ce genre de trucs.

    je trouve ça rassurant que des gens comme ça existent encore (en fait j'en ai rencontré quand j'animai mon label, et je me souviens même de débats dans des squats assez rigolos où j'essayai de défendre nos licences devant un public composé de "rien à foutre de tes machins" et de "vous n'êtes que des amateurs inconséquents" etc.)
    je trouve rassurant que des gens partent de cette absence totale d'espoir de gagner de la thune avec la musique etc.. et donc envoie bouler tout ce qui est contrat, tous ces machins symboliques dont le social est recouvert, saturé, et qui visent finalement à niveler les phénomènes les plus saillants dans le but habituel de couper les têtes qui dépassent etc. C'est ça la culture. Ça a toujours été une vaste entreprise visant à niveler et à rationnaliser à institutionnaliser, à dégoupiller les grenades potentielles, mais la nouveauté, c'est qu'aujourd'hui, la culture non seulement se sert du droit, mais on peut dire que le ministère de la culture et bon an mal an ses représentants sur le territoire, est devenu le ministère du droit d'auteur.
    C'est affreux.
    Et nous, tout benêts, on marche à fond là dedans.

    À titre personnel, j'éprouve au sujet de ces licences une grande démotivation, une forte désillusion, quand bien même je les utilise pour mes travaux, parce que ça reste un moyen de dire quelque chose à mes éventuels auditeurs ou lecteurs.. Mais je me sens loin de mes envolées militantes d'il y a quelques années.
    D'un certain côté, on doit admettre qu'on s'est un peu fait nické quand même..
  • Salut.

    Le numéro 16 est sorti.
    Au sommaire : Se travestir, faire des choix, tout changer.
    Envoyez-nous des timbres si vous voulez vous abonner.
    Trouvable à la BAF, au 102, la Luttine, Bibliothèque centre de Grenoble, Bibliothèque de Valence, St Arnad, Local Autogéré.

    Bye.
  • Hello

    Numéro 18, disponible comme d'hab.
    L'orage gronde.

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