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Améliorer ses titres ?

Salut !

Voilà, on est un ptit groupe et on voudrait protéger nos musiques sous licence CC.
Mais quelques points persistent flous (après pourtant avoir lu pas mal de forums/sites) et j'aimerais des précisions :

- Si on fait un premier enregistrement dans chanson (avec les moyens du bords...) et puis qu'on réenregistre à nouveau cette même chanson (avec du bon matos par exemple...)
1. Est-ce qu'on peut mettre sous CC sur la première version, puis "mettre à jour" la licence sur la deuxième version ?
2. Si entre la 1ère et la 2ème version, il y a quelques variations (genre un solo qui change...voire un instrument de plus !)... est-ce qu'il faut renouveller la licence, ou on garde la même ?
3. Faut-il se renvoyer un recommandé dans chacun de ces cas ? (ou le fait que le recommandé ressemble au morceau avec le nouveu solo/instrument suffit pour protéger sa paternité ?)

- Ensuite... J'ai essayé de voir comment on déposait sa licence sur le site CC... Et j'ai remarqué qu'ils nous demandait une URL du titre... Si je comprend bien, je met l'URL du morceau sur mon site perso ou sur archive.org
Mais si je change l'URL (par exemple lors d'un changement d'hébergeur de site), est-ce que peux remodifier(mettre à jour) cette adresse ?


Merci d'avance pour vos réponses

Pierro
:D

Réponses

  • Salut

    première chose, tu ne "protèges" pas ta musique avec une licence CC. Il s'agit d'un contrat que tu passes auprès de ton public. Lui indiquant ce qu'il peut et ne peux pas faire avec ta musique, ainsi que les droits que tu te réserves.
    Si tu veux prouver un acte d'antériorité, un envoi recommandé à toi même reste une bonne solution.

    Ensuite je ne comprends pas pourquoi tu veux remettre à jour la licence?
    Si tu passes un contrat avec disons ce morceau X, tu ne peux pas par la suite modifier les droits que tu accordes (sauf, si par exemple tu veux etre plus généreux, pensant avoir été trop restrictif, tu donnes le droit à la modification, ou remix, ou même utilisation commerciale).

    Si tu veut être assez restrictif, et choisir par exemple une licence by,sa,nd,nc(attribution,partage à l'identique,non dérivatif,non commercial), celà voudrait seulement dire que selon les termes de la licence, on doit seulement demander ton autorisation, pour un remix ou une utilisation commerciale, mais que tu n'autorises pas par défaut, c'est tout.
    Tu ne peux pas attribuer un droit dérivatif, et changer d'avis dans 6 mois en disant, non plus touche à mon morceau!

    Ensuite en ce qui concerne les différentes versions, en effet rien ne t'empêche d'attribuer des licences différentes selon les versions, je pense que ce n'est pas incompatible, mais ça risque d'être plus une source de conflits ou d'erreurs à mon avis.

    Si tu es méfiant, ben choisis une licence qui permet seulement la diffusion et le partage(by,sa,nd,nc), et là tu es tranquille, tu es toujours à temps de donner des autorisations...

    En espérant avoir été clair?

    edit: je viens de lire la partie sur l'hébergement, je crois que les choses ont changées, mais au départ en effet il faut que ton morceau soit hébergé quelquepart et indiquer une URL, ensuite il me semble que maintenant, MLO, copie ton morceau sur son serveur...à confirmer.
  • pour la protection, ce que dit edised est juste
    par contre juste une remarque edi :
    je ne crois pas que la licence nc nd sa existe
    je crois que la cllause nd est exclusive de la clause sa
    la clause ND fait dépendre les modifications au consentement de l'auteur
    la clause SA (je cite) Partage des Conditions Initiales à l'Identique. Si vous modifiez, transformez ou adaptez cette création, vous n'avez le droit de distribuer la création qui en résulte que sous un contrat identique à celui-ci.
    autrement dit la clause SA autorise a priori les modifications sous réserve que l'oeuvre dérivée soit publiée sous la même licence que l'original

    donc nous avons
    ou bien :
    CC nc nd
    CC nd
    ou bien
    CC nc sa
    CC sa
    (je ne mentionne jamais le BY parce qu'à mon avis en droit français, ça n'a pas de sens de ne pas citer l'auteur de l'oeuvre : donc il n'y a pas de raison de redoubler ce que dit le droit des auteurs avec une clause telle que BY : mais cela donne lieu à des arguties juridiques dans lesquelles je n'ai pas les moyens d'entrer)

    sinon pierro0409
    tu poses un problème intéressant à mon avis
    qu'est-ce qu'une oeuvre "achevée" ?
    j'ai écrit quelques mots là dessus dans mon essai sur la dissémination de la musique (voir biblio du site : je me demande notamment ce que peut signifier le mot oeuvre dans des traditions orales, par exemple, en quel sens le chant de la pluie des pygmées qui se modifie depuis des générations constitue-t-il une "oeuvre" au sens juridique français... J'ai découvert qu'Howard S Becker disait un mot de ce problème dans son livre fondamental : "les mondes de l'art" , que je viens de lire là..
    Si je devais être cynique, je dirais que le chant de la pluie des pygmées ne devient une oeuvre qu'à partir du moment où un ethnomùsicologue occidental a fixé un enregistrement d'une version de ce chant sur un support - et appose son propre nom en tant qu'éditeur sur le disque qui sera publié :)
    Bref..
    ta question est une bonne question
    il y a deux manières d'y répondre :
    du point de vue juridique, tu pourrais très bien prooposer de multiples versions de ta chanson, et nommer chacune de ces versions comme une oeuvre différente. Et donc la présenter sous différentes licences et même, pour passer l'absurdité jusqu'au bout, leur donner un nom différent etc..
    du point de vue de ce que c'est que le processus de création, nous savons tous qu'une chanson ne sort jamais toute nue et parfaite de la cuisse de jupiter.. Qu'à chaque fois qu'on l'interprète elle est modifiée etc.. Où commence l'oeuvre ? où finit-elle ?
    j'ai un ami qui peut bosser des mois sur une chanson et qui vise une sorte de perfection. Quant à moi, je considère que ma chanson est déjà prête dès que j'ai deux bouts de texte et deux accords de huitare, le reste n'étant que bavardages..
    les processus de création sont évidemment différents, les motivations aussi
    je déteste par dessus tout la perfection (même si j'adore les chansons de mon ami, lequel à mon avis n'est pas dupe de la relativité de ce souci de perfection)

    bref
    cela pose des tas de problèmes
    mais ne te prend pas la tête avec tout cela
    choisis une licence, et basta
  • Merci beaucoup pour vos réponses ! Elle m'ont vraiment éclairé... :!:

    Effectivement, je n'avais pas du tout compris l'essence même de la CC ! Cette différence entre protection et droits que j'attribue... :roll:
    Mais bon, maintenant, c'est beaucoup plus clair ! 8)

    Donc, je pense qu'on s'enverra un recommandé et qu'on se prendra une CC by-nc-sa... :o

    Aussi Dana, tu a parfaitement compris ma question... quand l'oeuvre est-elle finalisée ?
    Effectivement, on est pas du genre à chercher à atteindre la perfection extrème sur nos morceaux... mais bon, on voudrait quand même que ça soit bien. Pour moi, je pense que le morceau est terminé quand on a ce sentiment de satisafaction en soi... Si on arrive pas à l'atteindre, peut être faut -il abandonner ? :twisted:

    En tout cas, merci pour vos réponses...

    Pierro
  • Merci beaucoup pour vos réponses ! Elle m'ont vraiment éclairé... :!:

    Effectivement, je n'avais pas du tout compris l'essence même de la CC ! Cette différence entre protection et droits que j'attribue... :roll:
    Mais bon, maintenant, c'est beaucoup plus clair ! 8)

    Donc, je pense qu'on s'enverra un recommandé et qu'on se prendra une CC by-nc-sa... :o

    Aussi Dana, tu a parfaitement compris ma question... quand l'oeuvre est-elle finalisée ?
    Effectivement, on est pas du genre à chercher à atteindre la perfection extrème sur nos morceaux... mais bon, on voudrait quand même que ça soit bien. Pour moi, je pense que le morceau est terminé quand on a ce sentiment de satisafaction en soi... Si on arrive pas à l'atteindre, peut être faut -il abandonner ? :twisted:

    En tout cas, merci pour vos réponses...

    Pierro
  • Pour moi, je pense que le morceau est terminé quand on a ce sentiment de satisafaction en soi... Si on arrive pas à l'atteindre, peut être faut -il abandonner ?

    hé bien cette satisfaction en soi me semble un bon critère
    dans l'industrie du disque, sur les majors, ce n'est pas toi qu décide de ce qu'est un morceau achevé :), c'est le technicien
    dans certains studios c'est pareil : le technicien décide souvent, sous prétexte qu'il est un expert
    avec des mecs comme moi, le technicien a intérêt à pas faire chier :)
    mais bon des fois c'est utile un gars qui a quelques idées de production
    bref..
    tout est affaire de contexte, de désirs, de destinations des oeuvres, de patience aussi

    et il y a un moment où il faut dire stop de toutes façons
    billy corgan enregistrait parait -il jusqu'à 120 pistes de guitare pour un morceau
    et après il demandait à tous les gars du studio (le groupe avait été vir&é depuis longtemps) de se barrer
    et il faisait le choix

    héhé
    moi je fais une piste et c'est ok
    héhé
  • oui, oui je me suis emporté sur les sa et nd...bien sur ça tombe sous le sens...(désolé suis un peu perturbé par le football)


    ma chanson est déjà prête dès que j'ai deux bouts de texte et deux accords de huitare

    toi c'est plutôt la huitare agnustique non?
  • Effectivement, je crois qu'on préfère nous même juger notre musique... Plutot que de laisser un technicien ou une tierse personne décider pour nous. En effet, ça serai comme si un peintre laisser les critique décider de comment sa peinture devcrait être !!! :evil:
    De plus, c'est peut être plus formateur de s'entrainer à s'améliorer, au risque de ne pas être parfait au début, mais avec l'avantage de s'améliorer au niveau de l'écoute... :shock:

    Sinon, pour ce qui est des version successive d'un morceau... Comme on me l'avait répondu sur un autre forum, peut être vaut-il mieux éviter de multiplier les versions d'un titre et montrer le meilleur de soi au publique... Et puis, si jamais un jour, on améliore un morceau (changement notable de la qualité ou du morceau) ; peut être vaut-il mieux lui attribuer une nouvelle licence (sans changer forcément les condition). :idea: Par exemple, si on fait une première version "rock", et une deuxième "acoustique" ?
  • Effectivement, je crois qu'on préfère nous même juger notre musique... Plutot que de laisser un technicien ou une tierce personne décider pour nous.

    Ceci dit sans avoir une personne pour décider pour soi, quand tu dois ecrire,jouer,enregistrer,produire et mixer, c'est aussi bien d'avoir une interaction avec une tierce personne, c'est pour celà que les artistes souvent choisissent de travailler avec un producteur. Ok je parle pour ma paroisse! Mais tout de même , je remarque un truc, c'est qu'il m'est plus difficile de produire ma musique, que celle des autre. Parfois difficile de s'abstraire à son propre travail, et travailler avec quelqu'un qui va produire ta musique, s'il s'agit d'une bonne combinaison, peut s'avérer bénéfique. Dans le cas contraire, peut s'avérer catastrophique. Voilà pourquoi le choix du bon producteur pour le bon artiste est un choix crucial.
    La production, c'est surtout la capacité à faire des choix francs et prendre des décisions artistiques et musicales, tout en respectant la musique et les intentions de l'artiste, le mettre à l'aise, le délester un peu et en tirer la substantifique moelle.
    Je regrette surtout dans le monde de la musique libre ou "amateur", que les gens ne s'épaulent pas plus. Evidemment tout le monde ne peut pas se payer un producteur, mais je pense qu'il n'y aurait aucun mal à produire la musique de ses camarades, afin de multiplier les échanges. Car en se sortant de sa propre musique pour produire celle des autres on apprend beaucoup plus sur soi-même et sa musique que l'on peut y penser. Certes ça demande de l'expérience, mais ça y contribue, et il faut bien commencer quelque part.
  • oui tout à fait
    je me suis fait mal comprendre là :)
    un "producteur" c'est à mon avis indispensable d'y passer au moins une fois
    par exemple sur mon disque I was a rabbit and I won, j'ai tout laissé niveau production à mes amis jullian angel et lunt, si bien que le disque, dans son état final, leur doit énormément.
    Mais j'aime aussi "ne pas" produire si j'ose dire..
    Après je crois qu'il faut vraiment si on en a la possibilité choisir son producteur
    j'ai en tête des cas trop fréquents où des groupes se retrouvent formatés par un ingénieur du son professionnel, pas tellement d'ailleurs à cause de l'ingénieur, mais parce que le groupe n'est pas capable de défendre son point de vue, ou parce que le groupe n,'a tout simplement pas de point de vue du tout
    ce qui est normal quand on débute
    bref;.
    les relations avec un producteur, ça fait partie des expériences à vivre notamment dans le rock.. on se laisse parfois entrainer par l'enthousiasme du moment ou l'autorité du producteur.. mais après tout, c'est en faisant des erreurs qu'on arrive à déterminer ce que l'on veut vraiment pour sa musique..
  • exact, surtout lorsqu'on a pas l'expérience, on ne sait même pas forcément quel est le rôle d'un producteur, mais s'il est compétant, c'est à lui d'expliquer et de discuter avant le travail, avec l'artiste, pour savoir quelle direction adopter.
    Le travail de producteur peut être autant psychologique que musical.
  • tout à fait
    et après c'est comme dans n'importe quel métier, tu as des gens fins et subtils, à l'écoute, qui veulent tirer le meilleur des musiciens, leur faire accoucher leur "son" :)
    et d'autres un peu plus brutaux, qui savent, qui n'ont pas de leçons à recevoir des amateurs etc..
    je dirais qu'un des trucs avant d'entrer en studio, c'est de bien réfléchir au niveau du groupe à ce que l'on veut.. ça coûte cher un studio, faut pas gâcher son temps hein..
    Et là, des oreilles extérieures ça peut pas faire de mal

    quand on avait enregistré I was a rabbit, j'avais fourni à chacun des musiciens une fiche avec des textes, des références musicales, des ambiances, et quelques règles pratiques (style : improviser tout en étant à l'écoute de l'autre, etc.. mmais faut dire que mes amis avaient découvert les morceaux le jour même de l'enregistrement :) donc c'était un peu spécial..
    Après, pour le mixage etc.. j'ai laissé toute liberté à mes deux comparses.. juste donné deux trois règles (pas d'effets, un son assez brut, rural..)
    mais bon je savais ce que je voulais..

    Quand j'ai enregistré le Tino par contre, trois ans avant, c'était affeux
    je me suis fait dévoré par les prods
    du coup j'ai laissé tomber et l'abum est ignoble (de mon point de vue)
    mais c'était une bonne expérience tout compte fait..
  • et oui à posteriori, les mauvaises expériences sont finalement toujours profitables! :)

    Je rebondis juste sur un truc que tu as dit plus haut Dana...
    Mais j'aime aussi "ne pas" produire si j'ose dire..

    Ceci dit pour moi, ne pas produire c'est ne rien faire, jouer à la belote, aller boire un coup, aller marcher(bien que jouer à la belote peut produire du stress, boire produit de l'urine, marcher euh....de la fatigue) :D
    Des que tu appuies sur le bouton rouge, tu produis déjà, rien que la décision d'enregistrer tel morceau, avec tel instrument à un moment donné et de telle manière, s'en fouttre de la distance entre le micro et la guitare c'est de la production...
    Apres oui, ce que tu recherches, c'est de mettre moins de réflexion consciente sur les éléments de production et te laisser prendre au hasard de l'instant...mais même le non-choix est déjà un choix!
  • mais même le non-choix est déjà un choix!

    oui bien sûr :)
    ne pas produire ce serait ne pas appuyer sur le bouton "record"
    on en revient quelque part à la question de pierro concernant l'oeuvre "achevée"
    à partir de quand avons-nous affaire à une oeuvre
    je ne crois pas que ce soit une question si oiseuse
    c'est vraiment un concept occidental : on a commencé à considérer l'oeuvre musicale comme un objet juridique au début du XIXème siècle en France. Et cet objet était d'abord une feuille de papier sur laquelle étaient notées des signes censés décrire la musique : ce qu'on appele la partition.
    Ce n'est pas étonnant, si l'on songe que le droit d'auteur a d'abord été inventé pour des textes écrits, et publiables.
    Par la suite, avec le développement des techniques d'enregistrements, on a pu considérer qu'il y avait oeuvre musicale même en l'absence de transcription écrite : mais c'est quelque chose de très récent ça !
    Ce n'est que dans les années 80 je crois (à vérifier) que la sacem par exemple, accepte le principe d'un dépôt d'oeuvre sans partition. Jusque dans les années 70, il fallait même, pour être membres de la sacem, passer un certificat d'aptitude à la composition.

    Aujourd'hui donc, l'oeuvre (au sens juridique) est identifiable aussi à l'enregistrement d'une de ses versions. ça pose évidemment des tas de problèmes, que le droit n'a pas prévu.

    Il y a dans la chose écrite, une stabilité, une immuabilité, qu'il n'y pas dans la musique de toutes façons.

    A l'époque de Purcell ou Monteverdi, on ne connaissait pas ce concept d'oeuvre achevée pour l'éternité. C'est en quelque sorte un coup de force juridique qui nous fait aujourd'hui parler d'ue oeuvre "originale"..

    Philosophiquement, du point de vue créatif, pour la musique, ça n'a aucun sens à mon avis.
    ça n'a de sens que dans un monde où l'objet est en quelque sorte pris en charge par le droit ou le commerce.
  • Apparemment, le rôle du producteur est vraiment prépondérant dans la réalisation d'un album... Jusque là je pensais que le producteur c'était seulement celui qui trouvait que ton album était assez interressant pour être rentable (une sorte de "mécène capitaliste" :twisted: :!: ). Je ne pensais pas qu'il jouais surtout un rôle de "guide spirituel"...

    Mais bon, dans notre cas, on est vraiment un groupe amateur, on joue pour le plaisir, c'est une passion, c'est tout. Pas vraiment de projet au long court. C'est pourquoi, on reste au stade "d'auto-produit". Par contre, pour essayer de s'améliorer, on fait écouter autour de nous les morceaux qu'on a fait, à des personnes franches de préférence, qui vous disent ce qui vas pas dans tel ou tel morceau...

    En tout cas, merci pour toutes ces précision... :P
  • le producteur, c'est celui qui sent l'ai du temps!

    oeuvre achevé.... peut etre une petite nuance, entre le fait de trouver l'idée et l'interprétation...qui peut changer beaucoup de choses mais pas le fondemment du titre....
    (d'accord avec Dana donc le titre se fait avec 2 phrases/2accords)

    un des inconvénient du recording ...c'est que souvent c'est enregistré au debut...et qu'aprés une tournée , l'interpretation s'améliore...et c'est plus interessant...

    pour ça le libre et le net permettent facilement de faire plein de versions... car il n'y a pas de frais de production,lancement...., c'est un frein pour les artistes 'signés'....



    &take the bus
    Revolution Sound Records
  • C'est vrai que le role de producteur est souvent méconnu, pourtant la plupart des artistes y ont recours. Il a un rôle prépondérant dans la réalisation d'un album, souvent même il a une énorme responsabilité. Il s'agit souvent d'un musicien, en tous cas un artiste.
    Pas le gros méchant au cigare!
    En tous cas je millite pour développer la "discipline" même au rang "amateur".
    Car il y a pleins de musiciens non-professionels qui font ça pour le plaisir, je ne vois pas pourquoi il n'y aurait pas des gens passionés, comme je le suis, par la production...
    C'est une discipline passionante!

    viendez, viendez nombreux!
  • oui c'est super interressant je trouve la production
    mais en même temps c'est un métier a part entière , et c'est super dur de faire les choses correctement quand tu fais la musique
    la musique c'est déja assez dur je trouve pour faire les 2 en même temps , mais bon c'est pas comme si j'avais le choix
    j'ai souvent eu envie de produire d'autre groupes mais j'ai pas encore eu l'occasion de le faire
    en même temps ca me gène de laisser quelqu'un d'autre toucher a ma musique , car comme vous dites , la production ca change enormément
    ca peut pourrir une chanson sans problème
    bref un discours non dénué de contradiction
    c'est pas grave , j'aime les contradictions

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