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Notre Documentation
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Je suis un social-traître (j'ai ouvert un compte last.fm)
Amis d'Alain Madelin, bonsoir.
Merci tout d'abord pour vos réactions si positives à la consultation publique organisée par Alain Madelin sur Musique-Libre.org. Il est encore trop tôt pour dévoiler les mesures – fortement génératrices d'externalités positiques – qui seront mises en œuvre au cours des prochains mois, mais on peut déjà envisager une suppression du domaine Musique-Libre.org, au profit de Musique-Profitable.biz.
Merci à tous pour votre soutien.
Sur un front plus personnel, et afin de me libérer de l'emprise de la musique libre, j'ai ouvert un compte sur Last.fm, le système de recommandation/social-bookmarking/machin. Ceux qui s'en foutent Royal ne cliqueront pas sur ce lien.
Maintenant, je peux faire plein de statistiques, que je fausse en laissant mon lecteur de miousique tourner en boucle sur du Céline Dion, afin de montrer à la Terre entière que j'écoute de la musique respectable et professionnelle, qui rémunère ses auteurs et qui ne cause pas de troubles de l'érection.
Et vous, êtes vous LastFMisés également ?
Si vous ne connaissez pas ce principe, le blog d'Alain Madelin explique le pourquoi du comment et le sens de la vie.
Merci à tous pour votre capital-attention.
Florent V.
Conseiller culturel d'Alain Madelin.
PS : All your overtroll are belong to us.
Merci tout d'abord pour vos réactions si positives à la consultation publique organisée par Alain Madelin sur Musique-Libre.org. Il est encore trop tôt pour dévoiler les mesures – fortement génératrices d'externalités positiques – qui seront mises en œuvre au cours des prochains mois, mais on peut déjà envisager une suppression du domaine Musique-Libre.org, au profit de Musique-Profitable.biz.
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Maintenant, je peux faire plein de statistiques, que je fausse en laissant mon lecteur de miousique tourner en boucle sur du Céline Dion, afin de montrer à la Terre entière que j'écoute de la musique respectable et professionnelle, qui rémunère ses auteurs et qui ne cause pas de troubles de l'érection.
Et vous, êtes vous LastFMisés également ?
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Florent V.
Conseiller culturel d'Alain Madelin.
PS : All your overtroll are belong to us.
Réponses
Ha ça ira ça ira
sans déconner, vu la popularité actuelle du bonhomme, si on tape alain madelin dans google, je pense que d'ici quelques jours on verra le forum de mlo en première ligne
c'est bien triste (tiens je reprends un verre de rosé de chez liddle pour noyer ma tristesse)
sinon, quant à réhabiliter des hommes trop oubliés, on pourrait aussi rendre hommage à la pensée politique d'alain juppé, de Jacques toubon (qui fut ministre de la culture : si !! tout le monde a oublié, c'est triste, ou encore brice lalonde : c'est dur la politique, un jour tu es au top, tout le monde te connait, un an plus tard tout le monde t'a oublié.. Nous les artistes avons ça en commun avec les politiques : par exemple je suis sûr que d'ici deux mois tout le monde aura oublié le génie du folk dana hilliot : c'est bien triste. )
http://soiree.vnatrc.net/
dodo now,
rrrrrroooooonnnnnnnnn.....pfiiiiiiii.......rrrrrrrroooooonnnnnnn....pffffiiiiiiiii......
et lis des thread pareils
et bien d'autres
il doit se dire : but why ? ou : je suis où là ?
en même temps j'adore les private joke partagées à plusieurs
sinon
quand j'étions ben plus jeune, o la ça doit faire dans les 20 ans
je connaissais un mec (le chauffeur du bus du club d'athlétisme qui nous crapahutait dans tout le pays pour les compétitions du week end), qui était pro-madeliniste pro-leotardien (françois). Il avait même un tee shirt et s'était présenté aux éléctions locales du canton sous leur houlette (si je puis dire).
Je m'étais intéressé au gars et j'avais entendu dire des choses pas trop belle sur Alain et ses copains dans les années 70..
tutututututtu
pas trop belles
pas libérales du tout en fait
(source : le canard enchaïné dans les eighties)
Bon à part ça
Lastfm hé bien c'est très bien les outils de socialisation comme ils disent
et aussi my space flickr machin les sites de rencontres le forum de mlo
c'est chouette les outils de socialisation
ça partage de partout, c'est chouette, ça échange
ça cause et ça échange avec des mecs et des gonzesses du monde entier qui se verront jamais, ou probablement jamais
Je dis ça
mais
en fait je suis en train de lire un journal intime (une trentaine de tomes) que j'ai écrit entre 1987 et 1990. Je vous passe les détails sur l'effet que produit de remettre la main sur un truc pareil quinze-vingt ans après.
Ce qui me frappe, parmi mile choses qui me frappent, c'est :
j'avais pas internet, j'avais pas la télé, et franchement : ça semblait vraiment fastoche de rencontrer en chair et en os des mecs et des gonzesses. Mais le truc c'est que c'était limité géographiquement - en gros : ton patelin quoi.
La chair et l'os, le regard machin
bon c'est du bateau ce genre de remarques, style internet socialise/désocialise
mais bon
là c'est du "vécu" si je puis dire
Mais c'est étrange
je peux rester un mois sans voir personne (vu là où j'habite c'est pas compliqué), et dans le même temps, causer avec mes potes coréens amerloques mloistes australiens etc..
bon voilà
et vous ?
Genre je dois avoir cinq amis dans le monde, et si je veux en voir un il faut au moins que je prenne le train jusqu'à Paris ou quelque part en Normandie ou en Bretagne.
En plus j'ai perdu contact avec la quasi-totalité de mes super potes de quand j'étais ado, pour l'essentiel par ma faute. Je suis super doué pour garder le contact.
Donc les débats genre « internet ça désocialise », moi ça me fait bien rire. J'ai pas besoin d'internet pour être désocialisé. :roll:
Bon, est-ce que j'efface ce message, maintenant ?
Allez on va le laisser.
La prochaine fois une photo de moi à poil.
Non sérieusement, le social-machin c'est pas une arnaque en soi, c'est juste un service. Et suivant la qualité du service, l'intérêt qu'on lui trouve (qui peut être très faible ou très élevé, selon les personnes), et le prix à payer (en argent comptant, en pub ou en données personnelles)… on peut alors décider s'il s'agit d'une arnaque ou non.
Comme un des facteurs les plus important est l'intérêt que l'on trouve dans cette « mise en réseau » organisée, plus ou moins structurée et facilitée, et que cet intérêt est très variable d'une personne à l'autre, ça explique que certains y voient un arnaque tandis que d'autres trouvent ça génial. Et dans ce cas, chacun a raison (dans la mesure où il ne prétend pas à l'universalité de son jugement, bien sûr).
Pour ma part je suis pas sûr d'y trouver un quelconque intérêt. Mais je teste, pour voir.
et bien il y a encore de l'espoir question sociadiabolisation, si c'est juste avant lol. je me demande de mon coté si je peux encore aperçevoir la barrière que j'ai franchie, quoique tout compte fait, peut-être que je n'ai jamais eu à la franchir. je (sur?)vis sur ma montagne (d'aucuns appellerait ça chaos ou décharge), dans les entrailles du monstre qui a bien du dévorer 2 millions de péquins et qui constitue quelque part un vaste laboratoire des comportements sociaux humains. pas de radio, pas de de tv, pas de moments intimes et réconfortant avec l'opéra wc carmen ou les serviettes gigniénique (snif suis nostalgique subitement), pas de tel portable, pas de super potes non plus que je pourrais faire chier, mais c'est la faute du net évidemment et du pire-to-pire. on devrait en faire un impot, on taxerait la société active pour réinsérer socialement les dépravés du net, et on confierait là tâche à VU pour égayer l'enteprise (si je puis dire), comme ça tout le monde il serait beau, et tout gentil.
oui avant c'était bien plus simple pour s'hasarder à rencontrer l'inconnu, mais plusse localisé aussi en effet. en fait à y songer c'était un peu chiant, toujours les mêmes tronches et ça lasse, mais faut dire qu'on est jamais content, on peine souvent à voir la valeur qu'il y a dans un moment quand on le vit (où pas c'est selon), l'inconnu fait peur mais il intrigue aussi et on le voit toujours très loin de nous, alors qu'en fait il est peut-être tout près, si ça se trouve... si ça se trouve.
je sais pas si le social net ça échange tant que ça, ou du moins ce que ça échange. mais surtout je n'arrive pas à voir une barrière entre le net et ce qu'on appelle le réel, ça veut dire quoi virtuel ? ça échange d'un coté comme de l'autre (c'est stylistique, je viens de dire qu'il y a pas de mur lol), mais surtout des illusions, et c'est peut-être ça la réalité au fond. mais avec la chair et l'os, avec l'image et sa dictature, c'est vrai que c'est plusse mieux, ça fait plusse vrai, plusse réel, donc plusse sincère, forcément.
personnellement j'avais plutôt l'impression que c'était les portables qui désociabilisait, ba oui on s'appelle tout le temps, on est en contact toutes les 5 minutes mais pour finalement ne rien se dire de plus que les 5 minutes précédentes. mais c'est pareil, c'est un outil, c'est juste que comme à la maternelle on a tous les crayons mais c'est pas dit qu'on en fasse un zoli dessin, ou qu'on ne salope pas tout ce qui entoure la feuille,quoique c'est peut-être mieux d'en foutre partout, ça peut apprendre des choses. je note toute de même que les outils ne sont pas simplement livrés sans méthodes, sans ordonnance ou prescription comportementale, je me demande s'ils ont fait des études sérieuses là-dessus. dring le téléphone sonne, c'est comme le coup de sifflet du chien, l'est obligé de venir, et toi de décroché (sauf que le chien ou lui file un sucre, alors que là c'est toi qui le donne). c'est peut-être urgent, peut-être que ça réclame une attention soutenue, qu'un danger imminent te guette, que ta cousine gilbertine va clamser, et tu ne peux pas faire autrement, peut-être parce que tu ne sais plus que tu peux faire autrement. ha mais ça fait aigri tout d'un coup, si j'avais la planche de bois à coté, je me laisserai bien aller, snif vivre tue.
oui oui
en fait je n'ai pas d'idées précises à ce sujet
je me dis simplement une chose
comme je lis mon journal de quand j'avais 19 piges, hé bien! pour baiser c'était quand même plus facile (la chair et l'os etc. ) (or à 19 ans mes deux objectifs dans la vie étaient 1° baiser 2° devenir écrivain. J'ai raté le second finalement. Mais je me demande si finalement j'aurais aimé raté le premier et devenir fernando Pessoa par exemple. En fait, le mieux c'est les deux bien sûr. D'un autre côté peut-être que si j'avais pas baisé je serais devenu vraiment écrivain)
Mais ma préoccupation va aussi vers les gens que je rencontre dans le cadre de mon futur job : des solitudes accablantes et pourtant des centaines de contacts sur les réseaux.
J'en connais qui ne sont pas loin des personnages futuristes du dernier houellebecq (la possibilité d'une île) : enfermé dans un cocon, chacun dans sa tour d'ivoire, communiquant uniquement pas le biais du réseau, seul de la naisance à la mort, et ultra protégé (et dehors les sauvages, les primitifs : on y va tout droit : les blancs friqués dans leur tour d'ivoire adonnés à quelque jouissance sophistiquée (style le passage où le pauvre stalone fait "l'amour" dans demolition man - ce film me fait hurler de rire à chaque fois), donc, les blancs d'un côté, les exclus de l'autre retournés à l'état sauvage (là c'est mad max ou les zombies de romero : les autres)
enfin bon
youpie
il fait carrément froid aujourd'hui c'est bargeot
j'étais sur les hauteurs là, le vent soufflait pas plus de 5-6 degrés.
oiuahhhhhhhhhh
va neiger si ça continue
et vous ?
hahaha, moi j'ai raté les deux, mais je crois que quelque part ce fut volontaire, du moins pour le premier. c'est pas si compliqué de baiser (même si j'ai jamais vraiment su le faire ni bien le faire lol), c'est une question d'énergie, de ce qu'on laisse filtrer pour attirer l'autre et de ce que l'on bloque pour ne pas le laisser s'échapper. et c'est bien ça qui me pose problème, je n'ai jamais aimé le je de la séduction et le bal amoureux humain où l'ont fait semblant de pour capter, captiver. les femelles font tout pour se montrer prude, et les mâles tout pour ne pas paraître rustre. et c'est la partie de cache-cache qui excite. n'empêche ça me gonfle je n'ai jamais pu m'y résoudre, et ça ça limite les possibilités, et accrois les frustrations. pourtant il surffirait de, mais non, tu ne peux pas.
ce qui est intéressant c'est ce qui se passe après je trouve, et c'est étonnant de voir d'ailleur comment la retenue peut se transformer en sauvagerie pure et simple et à quel point ce qui se réclame ouvert et relâché au départ laisse place à une absence bien guère épicée.
en fait c'est difficile de contenter les envies et de les promouvoir. des fois elles ne sont pas ce qu'elles sont. c'est le désir qui veut ça, le désir c'est un je veux ça tout en ne le voulant pas. mais on occulte courrament la seconde partie, c'est commode, ça laisse moins de traces à l'intérieur, quoique.
houellebecq je ne connais pas, juste lu un bouquin dont je ne sais plus bien quoi, avant qu'il ne devienne monsieur.
cela dit seul de la naissance à la mort, celà vaut à mon sens pour tout un chacun et pour chaque situation, qu'on soit entouré ou non, mais c'est bien ça qu'en tant qu'être on n'accepte pas ou ne veut accepter, et pourtant.
moi j'aime la solitude, je comprends pas qu'on puisse la détester et s'évertuer à la fuir, car si on cherche à la fuir c'est que finalement on ne la connait pas et partant on ne veut pas la connaître. c'est en somme comme pour l'étranger, le black, le rebeu, ils sont là mais le blanc ne veut pas les connaître. mais l'inverse est aussi vrai, le blanc n'a pas le monopole de la distance, du rejet ou recul, seulement de la parole bien séante, et du financement pour ériger physiquement les barrières. Après la nature humaine est la même, l'inconnu effraie, alors on ne l'approche pas ou bien l'on s'y montre hostile. et quand un totem symbolique s'érige pour abattre le mur, là c'est dur, l'hostilité est partout, du coté des cons, et du coté des cons, et tu te demandes lequel des cons est le plus méprisable des deux pour savoir à qui tu craches à la gueule, seulement se serait reproduire la même erreur et erriger de nouvelles barrières, alors tu ravales ta salive. mais être pris en étau c'est usant. paris pour ça par contre c'est bien, les quartiers sont souvent morcellé en ethnie mais ça se mêlange, ça se brasse et les proportions sont dans l'ensemble équilibrées, parce qu'il y a ce fourmillement constant qui m'insupporte mais qui au moins apporte ça, et t'as pas la sensation désagréable de prédominance comme dans les coins paumé en campagne ou plus près en banlieue ou tu sais de suite qu'il y a un "intrus".
ici il fait beau, le soleil est absent, le ciel esquisse les nuages en clair obscur, tu as une impression de profondeurs mouvantes qui s'enlaçent, se couvrent et se découvrent les unes dans les autres, et la pluie nous à fait don de soi tout à l'heure, c'était magnifique, je l'aime
Moi c'est marrant, ma technique consiste à me montrer rustre d'emblée, d'appeler un chat un chat et une chatte une chatte. Parce que, même si j'adore discuter, rencontrer l'autre etc., quand j'ai envie, ben j'ai envie c'est tout (ce qui empêche pas de causer d'ailleurs). Bon d'accord je me suis pris des tartes des fois, mais pas tant que ça finalement.
ça me rappele un truc.. humm.. la névrose peut-être
Houellebecq miam, c'est marrant et parfois tragique (dans tous les sens du terme)
et quelquefois génial
enfin au moins il sait raconter des histoires lui
comme stevenson
après les conneries dans les médias, je m'en branle (toi aussi manifestement, tant mieux. En ce moment dès que tu as le malheur de raconter les histoires que raconte houellebecq t'as des tas de crétins de la rive gauche qui t'insultent parce qu'il est trop quelque chose ou pas assez quelque chose)
la solitude heu
oui
c'est compliqué effectivement
Moi j'adore, mais si je n'avais pas une chérie je détesterais je crois d'être seul
à qui je pourrais raconter mes trucs sinon ? Mlo c'est bien pour raconter ses trucs, mais ça remplace pas une chérie je crois
Oui enfin heu
on peut changer d'avis à ce sujet aussi
Il y a une superbe chanson de Tom Waitz à ce sujet, qui dit que maintenant que sa copine s'est barré c'est génial parce qu'il peut aller à la pêche quand il veut, il n'est pas obligé de rentrer du bar avant 22 heures, il s'en fout de savoir si elle a les clés de l'appart ou non etc.. C'est une chanson sur un ton tragi comique, parce qu'en fait bien sûr, la pêche c'est cool, mais bon...
O tu sais les campagnes ne sont plus ce qu'elles étaient
dans mon village doit y avoir une famille dont les parents sont marocains et une dizaine de djeunes de mayotte. ça se passe bien. Pourtant comme me disait un gars l'autre jour : on est au fin fond du trou du cul du monde !
ouah
j'adore
Chez moi c'est pas compliqué : quand un nouveau s'installe on l'attend au tournant. On attend l'hiver. S'il passe l'hiver, c'est bon, il est accepté, c'est qu'il est rude, qu'il fait pas de chichis.
C'est laquelle de chanson, si tu te souviens ?
et voili
ça s'appele
BETER OFF WITHOUT A WIFE sur l'excellent double lp de 75 Nighthawks at the Diner,
où on entend les gens dans le restaurant causer et faire tomber leurs fourchettes pendant que Tom joue du piano
excellentissime
et j'ai même le texte trouvé sur le site officiel donc
on va dire que Tom sera content que ça circule
elle est trop drole cette chanson
lol je n'ai pas de technique et ne cherche pas à en avoir. mais sinon c'est plutôt sain comme approche. moi c'est ma petite hors-la-loi que j'appelle chatte lol. cela dit, ce qui pose surtout problème c'est pas tant de plonger quand t'as déjà les pieds dans l'eau (j'entends par là, discuté, voir mieux dialoguer), mais de mettre les pieds dans l'eau quand ils n'y sont pas, et là on en revient à la question de la sociabilité. d'où plonger directement est une autre problématique.
lol, j'aurai plutôt pencher pour psychose en fait, mais je ne suis très loin d'être un as de tout le foin foin ( des termes pardon) médico psychanalityque
manifestement oui, à la limite pour que je ne m'en branle pas faudrait déjà que je saches de quoi il retourne, donc on peut en déduire que je m'en branle plutôt prodondément lol. j'ai pas la médianite aigüe en fait, ça aussi c'est un pan de la société qui à été investi et verrollé. je couche pas avec ces bestioles là.
en fait pour la lecture, j'ai un fonctionnement un peu curieux, je ne vais plus vers les livres, je n'émet plus d'appel, mais je laisse le livre m'appeller, ou non, je laisse faire les choses. ou quand je suis dedans je peux m'en détacher sans le terminer, non pas parce que c'est pas bien, mais parce qu'arrive le moment des réponses, et ce que j'aime surtout ce sont les questionnements en fait. quelque part je trouve bisarre de répondre à une question par une réponse, pourtant ça m'arrive fréquement moi même mais n'empêche, il y a quelque chose de pas logique là-dedans.
lol tourné comme ça je dirai que tout dépend de ce qu'on entend par chérie (ou chéri je suis open aussi, même si la porte est très très loin, et qu'elle n'a pas le temps d'être ouverte, les femmes me fascinant trop)
ça dépend si on a une relation ou si l'on est en relation. dans la chanson que tu évoques, le coup des 22heures, ça ne me laisse pas présager d'une relation, au sens ou je l'entends. Être en relation c'est pas être en prison hein. et ça "I don't have to ask permission" ça me semble particulièrement significatif. je ne pourrai jamais être avec quelqu'un dans ses termes là ou on déborde la relation, on la défigure en transaction. bon j'exagère un peu mais pas tant que ça, mais c'est vrai que la question de la relation est extrêment complexe et étendue, et fondamentale.
mais justement, je crois qu'on est seul, même à deux.
tu n'as jamais été sans chérie ?
sinon oui mlo est bien cool lol mais personne n'a dit que ça remplaçait une femme lol, où as-tu été pêché ça ?
lol cte question indiscrète
ben depuis l'age de 18 ans je crois pas avoir passé plus de trois semaines sans chéri ou chérie
faudra que je vérifie avec mon journal de jeunesse
mais bon
j'étais un serial lover aussi
maintenant que je suis bien vieux, me suis sévèrement calmé
où heu
je sais pas
quand je dis mlo, ça peut être internet en général par exemple
bon cela dit j'ai bien compris que tu parlais de la notion d'échange. mais le net n'est pas une finalité (enfin je pense pas qu'il y en ai beaucoup qui voit ça dans cette optique là) mais des possibilités. moi je vois ça comme un immense corridor avec des millers de vitrines et de portes. certaines méritent de s'ouvrir et d'autres pas. mais des fois quand deux portes se ferment, c'est pour se retrouver dans ce qu'on aime appeller la real life. comme si, lire ces lignes ou les écrire, ne faisait pas partie de cette même real life. l'action est dans la vie, au même titre qu'une relation physique, pour autant elle n'en est pas le substitut, elle présente juste des lots de joies/frustrations et d'illusions différents.