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Quel avenir pour la culture
Très inspiré du droit de lire de Stallman et d'un autre texte que je ne retrouve malheureusement plus, j'ai publier une première réflexion sur ma vision de l'avenir de la culture.
J'aurais aimé avoir votre avis sur le sujet. Comment voyez vous l'avenir de la culture en général ? et de la culture libre en particulier ? Quels sont pour vous les tendances ? Quels sont celles qui vont s'imposer ? Êtes vous plutôt optimiste ou pessimiste ?
Personnellement je constate que le domaine public est constament attaqué. Allongement des droits patrimoniaux, protections des fichier numérique par les DRM sans limite de temps, pérénité compromise des supports et des formats. Je note la mise en place du dépôt légal pour le web dans DADVSI mais serra-ce suffisant pour assurer la pérénité de l'information et des œuvres et pour assurer leur place dans le domaine public ?
Je note aussi une tendance à créer une culture jetable. La multiplication des accès en streaming uniquement, le dévellopement de la vidéo à la demande (VOD) ainsi que les restriction posée par les DRM en sont des indicateur. On assiste à une tentative de centralisation de la culture qui, si elle n'est pas disséminée, multiplié, voit sa péréité réduite. Si une œuvre n'est que sur quelques serveur et que la version des «clients» n'est plus lisible à cause des restrictions, que deviendra l'œuvre quand elle serra retirée du serveur ou que le serveur fermera ?
DADSVI oblige les fournisseurs d'accès à informer les consomateur à propos du téléchargelent. Cela ne va qu'ajouter au climat de stigmatisation et de désinformation des internautes si bien que l'on risque de se retrouver dans un futur pas si lointain où la majorité des gens penserons que le gratuit nuit à la création, que le téléchargement est immoral en plus d'être illégal s'il ne passe pas par les circuits officiels.
On assiste également à une protection des «professionnel» contre les «amateurs» avec un encadrement et des restrictions à propos des «pratiques amateurs» et un renforcement de l'importnce des producteurs. Tout celà, dana l'expose mieux que moi dans son essais «Professionnels versus amateurs». Pour quand une profession d'artiste protégée par l'État et donc administrée, régentée par celui-ci ?
Alors je ne pense pas qu'il faille petre completement pessimiste à propos de la culture. Jamais on avait autant parler du libre qu'aujourd'hui et le volume de contenu sous licence de libre diffusion augmente énormément en ce moment sans pour autant que la qualité ne manque à l'appel. De plus, la culture existe depuis qu'il y a des Hommes (peut-être même avant) et elle est encore là. Mais n'acceptons nous pas aujourd'hui des choses qui semblait impenssable dans le passé ?
Alors ? Selon vous ? Quel avenir pour la culture ?
J'aurais aimé avoir votre avis sur le sujet. Comment voyez vous l'avenir de la culture en général ? et de la culture libre en particulier ? Quels sont pour vous les tendances ? Quels sont celles qui vont s'imposer ? Êtes vous plutôt optimiste ou pessimiste ?
Personnellement je constate que le domaine public est constament attaqué. Allongement des droits patrimoniaux, protections des fichier numérique par les DRM sans limite de temps, pérénité compromise des supports et des formats. Je note la mise en place du dépôt légal pour le web dans DADVSI mais serra-ce suffisant pour assurer la pérénité de l'information et des œuvres et pour assurer leur place dans le domaine public ?
Je note aussi une tendance à créer une culture jetable. La multiplication des accès en streaming uniquement, le dévellopement de la vidéo à la demande (VOD) ainsi que les restriction posée par les DRM en sont des indicateur. On assiste à une tentative de centralisation de la culture qui, si elle n'est pas disséminée, multiplié, voit sa péréité réduite. Si une œuvre n'est que sur quelques serveur et que la version des «clients» n'est plus lisible à cause des restrictions, que deviendra l'œuvre quand elle serra retirée du serveur ou que le serveur fermera ?
DADSVI oblige les fournisseurs d'accès à informer les consomateur à propos du téléchargelent. Cela ne va qu'ajouter au climat de stigmatisation et de désinformation des internautes si bien que l'on risque de se retrouver dans un futur pas si lointain où la majorité des gens penserons que le gratuit nuit à la création, que le téléchargement est immoral en plus d'être illégal s'il ne passe pas par les circuits officiels.
On assiste également à une protection des «professionnel» contre les «amateurs» avec un encadrement et des restrictions à propos des «pratiques amateurs» et un renforcement de l'importnce des producteurs. Tout celà, dana l'expose mieux que moi dans son essais «Professionnels versus amateurs». Pour quand une profession d'artiste protégée par l'État et donc administrée, régentée par celui-ci ?
Alors je ne pense pas qu'il faille petre completement pessimiste à propos de la culture. Jamais on avait autant parler du libre qu'aujourd'hui et le volume de contenu sous licence de libre diffusion augmente énormément en ce moment sans pour autant que la qualité ne manque à l'appel. De plus, la culture existe depuis qu'il y a des Hommes (peut-être même avant) et elle est encore là. Mais n'acceptons nous pas aujourd'hui des choses qui semblait impenssable dans le passé ?
Alors ? Selon vous ? Quel avenir pour la culture ?
Réponses
écoute ça me rappele trop un documentaire que j'avais vu sur Arte qui décrivait le fonctionnment du rock n roll en allemagne de l'est avant la chute du mur de berlin.
C'est exactement ça.
L'immense Nina Hagen est passée par là d'ailleurs (et je crois qu'elle avait réussi à passer à l'ouest à l'occasion d'un show justement.)
L'administration de la création me fait toujours penser à ça, où à la manière dont l'Allemagne nazie réglementait les artistes.
Attention : je ne dis pas que l'administration est foncièrement mauvaise ou fasciste (épargnez moi ces conneries) : je dis simplement que l'administration de la création tend à instaurer un système de légitimation au mieux infantilisant au pire discriminant - et s'il y abine un domaine dans lequel je ne fais aucune confiance mais alors aucune aux experts, c'est bien dans la culture.
Tu mets aussi en avant un autre point intéressant : tu parles d'un objet technique unique en situation de monopole, permettant de lire tous els fichiers numériques (en fait les seuls "autorisés") : c'est le grand danger à mon avis qui couve sous l'idée proposée fut un temps par certains d'une plate forme "légale" réservée aux artistes sur internet.
Il ne faudrait pas que la demande 'justifiée) d'interopérabilité soit déviée de son objectif et serve en réalité une administration globale des oeuvres en circulation : l'interopérabilité OUI ! mais dans un cadre d'économie ouverte et concurrentielle. Le danger premier du libre marché, c'est la constitution de monopoles : faut pas l'oublier ça !
Une des règles fondamentales d'Adama smith en économie, c'est la préservation de ce qu'on apelle aujourd'hui la concurrence. Les extrèmes gauchistes qui critiquent le libre marché feraient mieux de critiquer justement le fait que ce marché ne soit pas toujours assez libre et ouvert : que la concurrence y soit dévoyée par la constitution de monopoles.
Enfin bon..
Chouette texte en tous cas (même si certains vont te tomber dessus cause quelques erreurs orthographiques : moi je m'en branle, ça se lit très bien comme ça, mais tu trouveras sans aucun doute des correcteurs ici même)
«Très bon devoir monsieur Barnoud. Très bonne réflexion sur l'État, vraiment pertinent ; j'ai même noté une deux phrase dont je me servirais dans le corrigé. Mais l'orthographe monsieur Barnoud ! L'orthographe !»
«Superbe Jonathan ! Ta rédaction est vraiment géniale ! J'ai failli te mettre 17. Mais il y a beaucoup de faute, beaucoup trop. Du coup je t'ai mis 15/20.»
Va vraiment faloir que je fasse quelque chose... J'ai relu 4 fois ! Je suis donc partit pour quelques relectures supplémentaire . :roll:
Merci beaucoup
:oops:
Sinon ? Quelle vision de l'avenir pour la culture ? Parceque bon, j'espère bien que ce que j'ai écrit sur mon blog n'est qu'une vision trop pessimiste...