Bonjour. Je découvre ce commentair qui date d'il y a 10 ans ! Si les mêmes se posent encore la même question qu'ils sachent que j'ai une bonne nouvelle à leur apporter...
Tout est faux sur votre page en 2018 j'ai téléphoné à la SACEM et ils ont eu l'honnêteté de dire que pour un groupe qui joue des compositions non déposées à la sacem le café ne paie rien. fin de la discussion . Renseignez vous téléphonez avant de colporter des ragots... ! ca fait flipper les café après... Moi j'ai tel à la sacem de ma région.
Tout est faux sur votre page en 2018 j'ai téléphoné à la SACEM et ils ont eu l'honnêteté de dire que pour un groupe qui joue des compositions non déposées à la sacem le café ne paie rien. fin de la discussion . Renseignez vous téléphonez avant de colporter des ragots... ! ca fait flipper les café après... Moi j'ai tel à la sacem de ma région.
Bonjour,
Je suis très curieux de voir de quelle page vous parlez ! À noter que les personnes représentant la SACEM en région donnent parfois des sons de cloches différents. Je connais une MJC dans la banlieue de Lyon où la Sacem les téléphone tous les mois...
À noter que les personnes représentant la SACEM en région donnent parfois des sons de cloches différents.
Oui, c'est exactement ce à quoi je pensais je suppose que quand on a un doute, il faut voir si ce qui est dit est cohérent avec le contenu du site (quand c'est possible).
C'est fou cette histoire de MJC ! C'était quoi le principe ? Parce qu'ils faisaient des ateliers musicaux...? J'ai beaucoup de mal à imaginer !
Chacun a son expérience personnelle avec la SACEM. Dans mon cas, il s’agit d’organiser des concerts d’entrée libre et gratuite dans de petits villages ou la musique la plus connue c’est le son des cloches, si on les a. Ces concerts (classiques) sont donnés par des musiciens qui ne perçoivent qu’une contribution symbolique, a volonté du public, pas obligatoire, et qui rarement dépasse le montant du forfait plus les droits exigés par la SACEM. En outre, il m’est arrivé de recevoir une facture pour les droits d’auteur de Bach, de Fauré et d’autres compositeurs entrés depuis longtemps dans le domaine publique.
Et je ne parle pas des absurdités comprises dans le formulaire, telles que la buvette, le budget pour la pub, etc., qui appartiennent au domaine privé des organisateurs et n’ont aucun rapport avec les droits d’auteur.
D’ailleurs, la SACEM se montre impitoyable à l’égard de petites associations non lucratives, dont le seul objectif est de contribuer à la diffusion de la musique classique « dans la campagne » en général, y comprises les œuvres des compositeurs contemporains. En somme, les tarifs exigés par la SACEM dépassent souvent le minimum qu’on peut collecter pour les musiciens grâce à la générosité du public, sans compter les dépenses des organisateurs pour la pub (affichage, etc.), et qui proviennent de leur poche.
En agissant de cette façon, la SACEM n’aide pas NI la musique, NI la culture, NI les compositeurs qu’elle prétend protéger et qui sont, en conséquence et par peur de la part des organisateurs, exclus des programmes de petits concerts.
À mon avis, une révision des critères et de lois qui règlent la protection des droits d’auteur mais qui sont nuisibles pour la musique en général n’est pas seulement nécessaire, mais aussi urgente.
Carlos Micháns compositeur – organisateur de concerts
"Chacun a son expérience personnelle avec la SACEM." C'est clairement ce qui ressort de ce qui a été dit ces dernières années: dans tous ces "sons de cloches" on trouve de frappantes incohérences dans les pratiques des représentants de la SACEM à un point que je trouve surprenant, comme s'il y avait une sorte de marge de manoeuvre mal calibrée, de cadre mal défini. En tout cas, bon courage, @mugaburu
Les bars se battent pour ne plus payer la SACEM moi je me bats afin que les auteurs compositeurs ne paient plus leurs coups dans les bars !!!! Le patron de bar qui ne veut pas payer de sacem a une solution qui est de ne pas passer de musique réponse récurante du limonadier "mon chiffre d'affaire va baisser" donc si la musique est liée au CA il est normal de rémunerer ceux qui la crée. La fête de la musique est exempte de droit SACEM a quand la fête de la musique avec des consommations gratuites !!!!
@fast_e Pour ça il faut que la Sacem te paie plus que l'équivalent d'un kebab par an...
Où va cet argent récolté ? Aux aides aux jeunes créations (Chimène Badi, Sardou...), aux sociétaires Sacem (ceux qui ont des parts dans la société (Goldmann par exemple), aux éditeurs (50% des sommes), aux auteurs les plus écoutés et vendus, aux compositeurs les plus écoutés et vendus... et bien après aux gens qui font partie d'un programme musical d'une radio locale, s'ils ont droit à quelque chose (car en-deçà de certaines sommes, la Sacem n'est pas obligée de redistribuer)...
Donc bon, entre moi, artiste qui profite d'une diffusion pour me faire connaître et l'intérêt du commerce qui me diffuse, comment dire, ça fonctionne bien ça pour les plus gros, qui sont reconnus par la clientèle, mais pour la grande majorité des musiciens, les intérêts sont inversés.
en-deçà de certaines sommes, la Sacem n'est pas obligée de redistribuer
tu as une idée de combien, environ ?
Je dois t'avouer ne plus me rappeler de l'article du Code de la Propriété Intellectuelle qui en parle dans la partie dédiée aux sociétés de gestion de droits.
Réponses
de quelle page parlez-vous ?
Je suis très curieux de voir de quelle page vous parlez !
À noter que les personnes représentant la SACEM en région donnent parfois des sons de cloches différents. Je connais une MJC dans la banlieue de Lyon où la Sacem les téléphone tous les mois...
C'est fou cette histoire de MJC ! C'était quoi le principe ? Parce qu'ils faisaient des ateliers musicaux...?
J'ai beaucoup de mal à imaginer !
Et je ne parle pas des absurdités comprises dans le formulaire, telles que la buvette, le budget pour la pub, etc., qui appartiennent au domaine privé des organisateurs et n’ont aucun rapport avec les droits d’auteur.
D’ailleurs, la SACEM se montre impitoyable à l’égard de petites associations non lucratives, dont le seul objectif est de contribuer à la diffusion de la musique classique « dans la campagne » en général, y comprises les œuvres des compositeurs contemporains. En somme, les tarifs exigés par la SACEM dépassent souvent le minimum qu’on peut collecter pour les musiciens grâce à la générosité du public, sans compter les dépenses des organisateurs pour la pub (affichage, etc.), et qui proviennent de leur poche.
En agissant de cette façon, la SACEM n’aide pas NI la musique, NI la culture, NI les compositeurs qu’elle prétend protéger et qui sont, en conséquence et par peur de la part des organisateurs, exclus des programmes de petits concerts.
À mon avis, une révision des critères et de lois qui règlent la protection des droits d’auteur mais qui sont nuisibles pour la musique en général n’est pas seulement nécessaire, mais aussi urgente.
Carlos Micháns
compositeur – organisateur de concerts
C'est clairement ce qui ressort de ce qui a été dit ces dernières années: dans tous ces "sons de cloches" on trouve de frappantes incohérences dans les pratiques des représentants de la SACEM à un point que je trouve surprenant, comme s'il y avait une sorte de marge de manoeuvre mal calibrée, de cadre mal défini.
En tout cas, bon courage, @mugaburu
Le patron de bar qui ne veut pas payer de sacem a une solution qui est de ne pas passer de musique réponse récurante du limonadier "mon chiffre d'affaire va baisser" donc si la musique est liée au CA il est normal de rémunerer ceux qui la crée.
La fête de la musique est exempte de droit SACEM a quand la fête de la musique avec des consommations gratuites !!!!
Où va cet argent récolté ? Aux aides aux jeunes créations (Chimène Badi, Sardou...), aux sociétaires Sacem (ceux qui ont des parts dans la société (Goldmann par exemple), aux éditeurs (50% des sommes), aux auteurs les plus écoutés et vendus, aux compositeurs les plus écoutés et vendus... et bien après aux gens qui font partie d'un programme musical d'une radio locale, s'ils ont droit à quelque chose (car en-deçà de certaines sommes, la Sacem n'est pas obligée de redistribuer)...
Donc bon, entre moi, artiste qui profite d'une diffusion pour me faire connaître et l'intérêt du commerce qui me diffuse, comment dire, ça fonctionne bien ça pour les plus gros, qui sont reconnus par la clientèle, mais pour la grande majorité des musiciens, les intérêts sont inversés.