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le SNEP a commis un blog !

yzayza
novembre -1 modifié dans Economie de la musique
Une news comme ça, juste pour rire... ou pleurer un peu plus :
Le SNEP créé son blog et.... qu'est -ce qu'on trouve au menu du jour ?
Hein ? Bon bah... une attaque frontale ciblé sur l'UFC que choisir : bouououhououh les vilains consommateurs !!!!

je me demande s'il faut vraiment donner ce lien... bon allez, zou :
http://www.demainlamusique.com/

voilà c'est fait... c'est con, ça va pas mieux.

Ah béh si ça va mieux... en lisant les commentaires.

NB : je n'ai pas rajouté leur RSS à mes flux. Je n'ai pas regardé les videos ("les nouveaux modes de diffusion" ça doit être particulièrement savoureux... mais comme, j'ai mangé y a pas longtemps. blurps ! Oups... pardon)

Réponses

  • ben ils ont bien le droit de faire leur propagande aussi
    mais pôurquoi : demain la musique ? pourquoi pas "hier la musique" ou "avant-hier" ?
    ha un chouette lapsus aussi dans cette video
    http://www.demainlamusique.com/2007/06/17/a-quoi-servent-les-maisons-de-disque/
    un zigue qui explique pourquoi faut des maisons de disque etc..et qui sort..
    "les producteurs ont besoin des artistes.. heu.. les artistes ont besoin des producteurs"

    mouarff
    c'est tout à fait ça mon grand
    les producteurs ont besoin des artistes
    le SNEP a besoin des artistes
    les attachés de la culture et les experts de la musique actuelle ont besoin des artistes
    les mecs de l'irma et les formateurs en musique actuelle ont besoin des artistes
    les disquaires ont besoin des artistes
    les fabricants de cd et de vinyl ont besoin des artistes
    les journalistes des magazines musicaux ont besoin des artistes
    les ingé sons ont besoin des artistes
    la sacem a besoin des artistes
    les maisons de disque ont besoin des artistes
    les responsables marketi,ng ont besoin des artistes
    les agences publicitaires ont besoin des artistes
    mon cul a besoin heu

    sans les artistes qu'est-ce qui feraient tous ces zigomars ? heuin ?
    vous vous rendez compte tout le fric qui part pour payer ces gens là ?
    tout cette chaîne de valeureux souteneurs des artistes (oui : souteneurs parait pas mal comme dans la définition prise ici
    http://fr.wiktionary.org/wiki/souteneur
    Celui qui, vivant du gain d’une prostituée, assure, en retour, sa protection.

    des putes quoi !


    enfin bon
    qu'ils aillent définitivement se faire mettre dis-je
  • Belle brochette de chiffres sur leur site :)

    Tiens mais c'est bizarre...
    2004-2005 = stagnation des ventes
    2006 = Baisse des ventes... Mais quelle loi a bien pu les faire baisser... ?
  • Qui fait de la musique et gagne sa vie depuis + de 1 an :
    Ici on recueille les signatures :twisted:
  • des dizaines milliers de guss gagnent leur vie grâce aux créateurs
    combien d'artistes gagnent de l'argent (parle même pas d'un salaire !!) grâce à leurs créations ??
    c'est un bateau mais :
    comment ne pas s'étonner (or : personne ne semble s'en étonner dans les milieux où ça cause) de l'inégalité foncière d'un tel système ??
    90% des gens qui gagne de l'argent grâce à la musique le font sur le dos des artistes (d'ailleurs il est symptomatique de constater la tendance des médiateurs et des souteneurs à être pris en compte par le droit d'auteur : dès que vous mettez le bout du nez à quelqu'endroit que ce soit de la châine de production, ça y est vous revendiquez votre part EN TANT QU'AUTEUR : c'est tout à fait fondamental cette question là !! )

    autre remarque, fondamentale elle aussi
    j'écoutais le zig de jamendo là raconter ces conneries de marketing man
    ben il m'est apparu le truc évident suivant :

    On a complètement tort de présenter les choses comme si il y avait d'un côté les artistes et les souteneurs, et de l'autre côté le public (les consommateurs)
    ça a changé !!
    aujourdh'ui on a
    d'un côté les souteneurs (producteurs, médiateurs, etc.. voir la liste plus haut)
    et de l'autre
    le public et les créateurs, qui sont des consommateurs à des titres différents mais consommateurs tout de même
    Laurent Kratz le dit très bien : les artistes de jamendo, mais c'est vrai pour myspace, pour les centres culturels des musiques actuels etc.. sont des clients, des consommateurs de services
    les créateurs sont à la fois les vaches à lait et les serfs du système

    enfin pas tous heureusement :)
    la preuve : la plupart des gens sur dogma (enfin.. j'espère, quoique j'ai un doute sur la probité intellectuelle et morale d'un certain nombre mais bon..)

    Et aussi, dernière précision, quand un artiste fait la pute, c'est qu'il le veut bien (je tiens par un discours ici du style : pov artistes spoliés et exploités : la varité est que ça marche parce que la plupart des artistes sont des pauvres abrutis qui contribuent à renforcer et développer le système qui les transforment en vaches à lait et putes)
  • Il faut noter que bien que les commentaires soient ouverts, la modération laisse pas passer grande chose.

    En effet, comme par hasard mes commentaires ne passent pas et que ne vois-je pas aujourd'hui comme billet sur leur blog ? «Quand des internautes dérapent» où ils expliquent qu'ils sont «disposés à accueillir des contributions argumentées et respectueuses de ce que nous représentons et d’un débat démocratique autant nous écarterons systématiquement les messages de pure attaque à la limite de l’injure et de la grossièreté.»

    Je doute que mes commentaires y passent alors plutôt qu'ils ne tombent dans /dev/null, je vous les copies ici avec des liens vers les articles auxquels ils répondent:

    En réponse à
    http://www.demainlamusique.com/2008/07/07/le-projet-de-loi-«-creation-et-internet-»-est-il-eurocompatible/
    Bonjour,

    Tout d’abord il serait bon de rétablir un tant soit peu de vérité, les sites où l’on peut télécharger légalement et «gratuitement» (cela n’inclus pas les coûts de connexion et d’électricité pour copier les données) des œuvres il n’en manque pas. Par exemple sur http://culture-libre.org on peu trouver des milliers d’œuvres sous licence art libre, aussi bien de la musique que des livres. Et il ne s’agit pas que de télécharger, mais chacun est convié à participer, en ajoutant de nouvelles œuvres ou en modifiant celles déjà présentes.

    Ceci n’est pas anodin, nous encourageons chacun à s’exprimer. Là où vous cherchez à enfermer le public dans un rôle de «consommateur», nous lui offrons la possibilité d’être acteur.

    Vous maintenez artificiellement une barrière entre auteurs et public qui n’a plus lieu d’être si elle jamais eu une quelconque légitimité.

    Vous ne cherchez en aucun cas à établir un quelconque équilibre, bien au contraire, vous tentez les manœuvres les plus abjectes pour maintenir l’iniquité sur les œuvres culturelles qui vous profite, sans vous préoccuper de piétiner les droits fondamentaux inscrits dans la déclaration universelle des droits de l’homme.

    Toujours en mettant en avant l’auteur et le bien mal nommée droit d’auteur, vous accablez le public et le mettez au même rang que les individus qui violent, pillent et tuent leur prochains en mer.

    Mais les monopoles TEMPORAIRES conférés sur des œuvres culturelles, s’ils ont pu être mis en place dans un soucis d’équité entre public et auteurs ne jouent plus le rôle depuis longtemps. D’un monopole de 14 ans renouvelable une fois à compté de publication, nous sommes arrivé aujourd’hui à un monopole d’une durée indéterminée allant jusqu’à 70 ans après la mort du dernier co-auteur de l’œuvre. Et encore, 70 ans c’est dans l’état actuelle des choses, ne doutons pas que waltdisney&co. seront encore prolonger cette durée comme ils l’ont déjà fait maintes fois par le passé, déséquilibrant toujours plus la balance.

    De plus, ou est l’équilibre financier dans tout cela? Si l’auteur doit pouvoir vivre, il n’y a pas de raison que le public paie des droits d’utilisation très limité indéfiniment ! Où donc est la limite de gains perceptibles sur une œuvre avant qu’elle ne tombe dans le domaine public? Nul part bien sûr!

    Et c’est ainsi qu’avec votre équation comportant un potentiel de gains infinies d’une part et un droit restrictif d’utilisation d’autre part que vous osez prétendre aspirer à un équilibre ?

    Aussi avec un tel privilège on comprends mieux votre vision irréaliste du monde et de l’économie. La plupart de vos concitoyens voyez-vous ont déjà bien assez à payer leur essence pour aller travailler, sans mettre de l’argent dans un gouffre sans fond qui ne lui apportera jamais rien de plus (peut être dans un lointain avenir si une quelconque loi mickey ne passais pas par là faire disparaître le domaine public) : même s’il le voulait, il ne peut pas forcément se le permettre.

    De plus vous donner de l’argent, on voie bien le mauvais investissement que cela représente, puisque cela vous met dans une position où vous êtes capable d’exercer des pressions suffisantes à faire passer des lois portant atteintes aux libertés fondamentales.

    En fait tout citoyen un tant soit peu responsable ce devrait de refuser de vous donner de l’argent étant donné la grave menace que vous représentez aujourd’hui pour ses droits.

    Cependant, je serais bien ravis de me tromper sur vos intentions. Vous avez maintenez quelques pistes pour établir un équilibre, ce que je doute que vous désiriez réellement. Dans le cas contraire, n’hésitez pas à me contacter si vous désirez en discuter.

    Très sincèrement, Mathieu Stumpf.


    En réponse à
    http://www.demainlamusique.com/2008/07/07/ufc-que-choisir-lincoherence-du-discours/

    >Première remarque : pour accepter ce principe, il faut oublier ce
    >qu’est la propriété intellectuelle (qui par définition n’a rien
    >à voir avec le coût de fabrication du support…)

    La propriété intellectuelle est un sophisme qui essai de
    mettre sur le même plan l’accord d’un monopole sur un bien
    physique et l’accord d’un monopole TEMPORAIRE sur un bien
    immatériel, comme l’information. S’il s’agit dans les deux
    cas d’un monopole accordé par la loi, la comparaison
    s’arrête là.

    C’est un sophisme car il est souvent utilisé pour faire
    passer ce monopole comme équivalent à celui sur un bien
    physique. Or si on pouvait multiplier les biens physiques
    comme l’information, il n’y aurais pas lieu de mettre en
    place un système de propriété sur les biens physiques, donc
    il s’agit bien d’un argument fallacieux et caduque.

    >Mais mettons de côté la propriété intellectuelle (pourtant
    >fondamentale) et appliquons ce principe au contenu d’UFC Que Choisir. Le
    >magazine papier coute environ entre 4 et 6 euros par numéro. Question :
    >sur Internet, quel est le cout de “fabrication” de la copie d’un
    >article ? Ce cout est bien plus faible que celui d’un album de musique
    >ou qu’un film (le “poids” d’un article est faible par rapport
    >à de la musique ou de la vidéo). Donc logiquement, si j’en crois
    >UFC Que Choisir, le coût de l’article devrait être quasi nul.

    Le coût de conception d’une œuvre ne se
    limite pas au coût de production d’une copie de l’œuvre. Le
    plus gros problème du système actuelle c’est qu’il n’y a pas
    de corrélation entre le coût de production et le prix de
    vente des copies. Si le coût de conception d’une œuvre n’a
    pas encore été rentabilisé, il est équitable que le prix de
    la copie soit plus important, mais une fois celle-ci
    rentabilisé, il serait tout aussi équitable que l’œuvre
    s’élève dans le domaine public et que le prix d’une copie ne
    reflète rien d’autre que le coût d’archivage et de création
    de la copie.

    >Je ne veux surtout pas critiquer la qualité des articles d’UFC,
    >mais je pose la question. Est-il raisonnable d’évaluer au même prix
    >quelques centaines d’articles et de tests publiés par un magazine
    >francais d’une part, et l’ensemble des catalogues musicaux de
    >tous les éditeurs de musique sur Terre d’autre part ? Cela semble
    >complètement incohérent.

    Pas autant que l’ensemble de votre raisonnement si vous
    voulez mon avis. Combien à couté à produire l’ensemble des catalogues
    musicaux de tous les éditeurs de musique sur Terre et combien
    le public a-t-il déjà payé pour n’avoir qu’un droit
    restreint d’écoute sur ces œuvres ?


    En réponse à http://www.demainlamusique.com/2008/07/07/ufc-que-choisir-lincoherence-du-discours/
    Encore une fois vous postez des billets mensongés, télécharger et partager des œuvres sur des réseaux de pair à pair est complètement légal, du moment que l’on diffuse des œuvres sur lesquels ont dispose des droits suffisant. Par exemple http://www.freetorrent.fr/ permet d’échanger des fichiers sous licence libre.

    Cela dit que ce soit par réseau pair à pair ou par réseau client/serveur classique, cela reste vrai, ainsi on peu trouver des milliers d’œuvres qu’on peu légalement et gratuitement télécharger, échanger, modifier, étudier, copier, diffuser sur des serveurs directement accessible :
    http://download.tuxfamily.org/cls/
    ftp://download.tuxfamily.org/cls/
    rsync://download.tuxfamily.org/cls/

    Qui sont les adresses du dépôt des œuvres multimedia de http://www.culture-libre.org/


    En réponse à http://www.demainlamusique.com/2008/07/07/pillage-des-oeuvres-et-droit-de-propriete/

    >Dans le domaine culturel, se produit une brutale chute de valeur des contenus créatifs.

    À vous entendre on croiraient que vous vendez des œuvres culturelles. C’est faux bien entendu : vous vendez des droits d’utilisation du monopole TEMPORAIRE que vous avez acquis sur des œuvres. C’est bien différent.

    Ce qui à dévalué, ce n’est pas les œuvres, ce sont vos droits, où plutôt devrais-je parler de privilèges, à l’instar de ceux qu’avaient autrefois les nobles. Car ces «droits» formes un déséquilibre entre les «ayants droits» (on met en avant les auteurs mais ces droits sont accaparés par des industrielles avides de profits faciles) et le public. En effet ces droits n’expirent pas à mesure que le public les rachètent indéfiniment, qu’importe les profits colossaux que peuvent engranger ces industrielles.


    Enfin en réponse à leur dernier billet http://www.demainlamusique.com/2008/07/10/quand-des-internautes-derapent/

    Bonjour,

    Malheureusement, mes commentaires qui pour autant que je sache correspondent aux critères que vous décrivez (dans le cas contraire vous pouvez m’écrire par mail pour me signaler où cela est inconvenant) ne semblent pas passer votre modération.

    J’espère donc me tromper en pensant que vous tronquez le débat en la seule faveur des messages qui vous arrangent, que ce soit des messages allant dans votre sens (y en a-t-il?) ou des messages juste insultant ne montrant aucune volonté de débat de manière à faire passer toute opposition comme telle.

    Sincèrement.
  • arff là tu dérapes ??
    ben on a vu pire comme dérapage quand même
    moi j'essaye même pas de commenter
    je me contente de précher aux déjà-convaincus de dogmazic
  • Le problème c'est qu'ils font tranquillement leur désinformation. Pour ma part j'essai quand même de prêcher des gens qui ne connaisse pas le sujet dans mon entourage. Ça marche pas mal, vous invitez des amis à manger chez vous, vous mettez innocemment de la musique en fond, et quand il vous en parle, vous leur expliquer, vous leur graver quelques morceaux qui leur plaît et vous dites de ne pas hésiter à rediffuser. :)
  • dana écrit:
    des dizaines milliers de guss gagnent leur vie grâce aux créateurs
    combien d'artistes gagnent de l'argent (parle même pas d'un salaire !!) grâce à leurs créations ??
    c'est un bateau mais :
    comment ne pas s'étonner (or : personne ne semble s'en étonner dans les milieux où ça cause) de l'inégalité foncière d'un tel système ??
    90% des gens qui gagne de l'argent grâce à la musique le font sur le dos des artistes (d'ailleurs il est symptomatique de constater la tendance des médiateurs et des souteneurs à être pris en compte par le droit d'auteur : dès que vous mettez le bout du nez à quelqu'endroit que ce soit de la châine de production, ça y est vous revendiquez votre part EN TANT QU'AUTEUR : c'est tout à fait fondamental cette question là !! )

    autre remarque, fondamentale elle aussi
    j'écoutais le zig de jamendo là raconter ces conneries de marketing man
    ben il m'est apparu le truc évident suivant :

    On a complètement tort de présenter les choses comme si il y avait d'un côté les artistes et les souteneurs, et de l'autre côté le public (les consommateurs)
    ça a changé !!
    aujourdh'ui on a
    d'un côté les souteneurs (producteurs, médiateurs, etc.. voir la liste plus haut)
    et de l'autre
    le public et les créateurs, qui sont des consommateurs à des titres différents mais consommateurs tout de même
    Laurent Kratz le dit très bien : les artistes de jamendo, mais c'est vrai pour myspace, pour les centres culturels des musiques actuels etc.. sont des clients, des consommateurs de services
    les créateurs sont à la fois les vaches à lait et les serfs du système

    enfin pas tous heureusement :)
    la preuve : la plupart des gens sur dogma (enfin.. j'espère, quoique j'ai un doute sur la probité intellectuelle et morale d'un certain nombre mais bon..)

    Et aussi, dernière précision, quand un artiste fait la pute, c'est qu'il le veut bien (je tiens par un discours ici du style : pov artistes spoliés et exploités : la varité est que ça marche parce que la plupart des artistes sont des pauvres abrutis qui contribuent à renforcer et développer le système qui les transforment en vaches à lait et putes)

    Je suis entièrement d'accord avec ça.
    Alors que le Net est un outil, j'insite sur ce terme, un moyen de prétendre à l'autonomie des idées, une grande partie des internautes se contente d'être des utilisateusr de services fallacieusement qualifié de "gratuits" car financés par la pub. Comme si la pub était un truc gratuit. Depuis quand ?
    C'est con, ça infantilise, ça occupe l'esprit, le vide, ça nous bouffe notre environnement sensoriel de façon intolérable, ça se déguise en information mais ça n'est pas gratuit. Si vous ne payez pas directement, vous pairez indirectement d'une façon ou d'une autre.

    Le Web2.0 a ouvert la voie du contributeur/consommateur de services et les artistes ou assimilés comme tels ne dérogent pas à la règle. A partir du moment où il y a une pub qui clignote ou fait du bruit sur la page qui héberge votre bouillon culturel personnel, il y a consommation. Ce qui n'est pas le cas ici sur Dogmazic qui reste vierge de toute infiltration publicitaire. Il serait bon que des artistes ou assimilés qui ont une page ici, une de plus en même temps que sur Jamendo, Myspace, Zikinf, et toutes les merdes en forme de plateforme communautaires en prennent conscience au lieu de nous les briser menu avec leur lien vers leur page MyMoche.
  • Calamo, un juriste spécialiste du droit d'auteur a produit cette fort judicieuse remarque au sujet de l'hadopi-mania du SNEP.
    J'aime beaucoup le titre :mrgreen:
    On lit vraiment n'importe quoi sur les blogs

    http://www.p-s.fr/index.php?post/2008/07/31/oups
  • Je viens de me lever et en faisant le tour des articles de mon agrégateur, je suis tombé sur le dernier clip du dernier "gars gnangnan" de la "starky et Hutch Ademie", quentin machin...

    Clip sans intérêt, reprise des années 80, commentaire plat du truc animé, et une conclusion pour le moins étrange :
    L'album de Quentin Mosimann, Duel, sortira le 18 août prochain. A noter que le premier single, Cherchez le garçon donc, marche bien puisqu'il s'est placé en tête des téléchargements légaux.

    Est-ce qu'il y a un classement concernant le téléchargement illégal, ou bien sommes-nous passé dans une faille spatio-temporelle ?

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