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Explicite - Album "Horizon dépassable" (18 titres)
HORIZON DÉPASSABLE
http://www.dogmazic.net/static.php?op=musiqueIndex.php&album=7648+-+Horizon+d%E9passable
Un album dont le titre est une forme de pied-de-nez (voire davantage…) au système en place. 18 morceaux.
Aperçu :
Anonymes : Description générale de la condition des gens dits "ordinaires". Réflexion sur le "statut" d'anonyme, par rapport à celui de célébrité.
Dans ma mémoire : Morceau autobiographique traitant de mon enfance, jusqu'à mon adolescence. Evocation de mes différentes "époques".
Hors format : Je fais part de mon écœurement vis-à-vis du chemin pris par une grande partie du soit disant Rap Français, et de mon opposition au formatage des radios censées le diffuser.
Nouvelle génération : En premier, je viens affirmer que je me fiche du cliché qui veut qu'une fois passée la trentaine, il ne serait plus permis de rapper. Ensuite, j'observe la jeune génération et ses différences avec les précédentes.
Coupable : J'interprète un "personnage" ayant une influence colossale sur le monde qui l'entoure, qui ne s'encombre pas d'une quelconque éthique pour faire ses affaires. Je ne dévoile vraiment son identité qu'à la fin…
Du lourd : Titre plus "énervé" où j'exprime ma volonté de bien faire dans le Rap et mon agacement quant au fait que l'on sous-exploite le potentiel de ce genre musical.
Sexy : J'invite à entrer dans une ambiance plus sensuelle. J'affirme qu'une fille peut être sexy sans être crue et vulgaire. J'évoque un certain érotisme qui attise le désir.
Il était une fois : Je raille la propagande martelée sur la valeur travail/mérite, les discours sans nuances et xénophobes dans lesquels l'immigré serait seul responsable du malheur des autres, et la mondialisation néo-libérale, que l'on nous impose comme solution salutaire et inévitable.
Prise de texte : Un "délire" sur l'élaboration parfois délicate des paroles de mes chansons, jusqu'à l'enregistrement.
Éloge de la peur : Description des différentes peurs que l'on fait s'exercer sur le peuple, à des fins de chantage ou de contrôle. Peur du fait-divers pour demander "vengeance" et plus de répression. Peur de la précarité pour accepter une régression du social. Peur du terrorisme pour accepter une diminution des libertés. Peur d'un ennemi "potentiel" pour justifier la vente d'arme, la guerre préventive.
J'en ai rien à foutre : J'exprime mon mépris des personnes qui ont trop d'artifices dans le but se faire remarquer à tout prix. Je m'en prends à la médiocrité télévisuelle, avec le conditionnement que cela peut engendrer sur beaucoup, et au marketing envahissant.
Plus d'ambiance : Inspiration Ragga pour le dancefloor. Je réclame plus de bruit et d'ambiance, comme cela est suggéré avant le refrain où, progressivement, les instruments se rajoutent.
Terre inconnue : J'évoque certaines désillusions après des tentatives de relations amoureuses. Je constate n'avoir jamais vraiment vécu de relation avec des sentiments partagés, et le fait que je ne cherche pas réellement à en connaître.
À l'état pur : J'incarne la nature, comme si elle pouvait s'exprimer, pour réaffirmer l'importance de son rôle pour l'Humain. Je dénonce la récupération commerciale de la cause écologique, la destruction/sur-exploitation des ressources au nom du profit, et les OGM.
J'aurais pu être… : J'imagine me trouver à la place de différents êtres dont l'existence est marquée par des difficultés importantes voire invivables.
Qui est le boss ? : Ne souhaitant pas prendre part à cette "compétition", je fustige les excès d'égos dans le Rap Américain et Français où beaucoup s'auto-proclament "boss", ce qui génère une sorte de cirque où les caricatures règnent.
Quand le jour sera venu : J'imagine l'arrivée d'une contestation d'une ampleur telle que le système s'en trouverait radicalement remis en cause, pour devenir simplement plus juste pour tous.
Horizon dépassable : Je parle tout d'abord de mon vécu artistique en dehors du circuit des majors, et de la diffusion de ma musique grâce à Internet. J'expose ma vision du Rap, au-delà des clichés auxquels il est facile de céder. Enfin, j'affirme qu'il est grand temps de d'envisager une sortie du système que nous subissons en grand nombre.
http://www.dogmazic.net/static.php?op=musiqueIndex.php&album=7648+-+Horizon+d%E9passable
Un album dont le titre est une forme de pied-de-nez (voire davantage…) au système en place. 18 morceaux.
Aperçu :
Anonymes : Description générale de la condition des gens dits "ordinaires". Réflexion sur le "statut" d'anonyme, par rapport à celui de célébrité.
Dans ma mémoire : Morceau autobiographique traitant de mon enfance, jusqu'à mon adolescence. Evocation de mes différentes "époques".
Hors format : Je fais part de mon écœurement vis-à-vis du chemin pris par une grande partie du soit disant Rap Français, et de mon opposition au formatage des radios censées le diffuser.
Nouvelle génération : En premier, je viens affirmer que je me fiche du cliché qui veut qu'une fois passée la trentaine, il ne serait plus permis de rapper. Ensuite, j'observe la jeune génération et ses différences avec les précédentes.
Coupable : J'interprète un "personnage" ayant une influence colossale sur le monde qui l'entoure, qui ne s'encombre pas d'une quelconque éthique pour faire ses affaires. Je ne dévoile vraiment son identité qu'à la fin…
Du lourd : Titre plus "énervé" où j'exprime ma volonté de bien faire dans le Rap et mon agacement quant au fait que l'on sous-exploite le potentiel de ce genre musical.
Sexy : J'invite à entrer dans une ambiance plus sensuelle. J'affirme qu'une fille peut être sexy sans être crue et vulgaire. J'évoque un certain érotisme qui attise le désir.
Il était une fois : Je raille la propagande martelée sur la valeur travail/mérite, les discours sans nuances et xénophobes dans lesquels l'immigré serait seul responsable du malheur des autres, et la mondialisation néo-libérale, que l'on nous impose comme solution salutaire et inévitable.
Prise de texte : Un "délire" sur l'élaboration parfois délicate des paroles de mes chansons, jusqu'à l'enregistrement.
Éloge de la peur : Description des différentes peurs que l'on fait s'exercer sur le peuple, à des fins de chantage ou de contrôle. Peur du fait-divers pour demander "vengeance" et plus de répression. Peur de la précarité pour accepter une régression du social. Peur du terrorisme pour accepter une diminution des libertés. Peur d'un ennemi "potentiel" pour justifier la vente d'arme, la guerre préventive.
J'en ai rien à foutre : J'exprime mon mépris des personnes qui ont trop d'artifices dans le but se faire remarquer à tout prix. Je m'en prends à la médiocrité télévisuelle, avec le conditionnement que cela peut engendrer sur beaucoup, et au marketing envahissant.
Plus d'ambiance : Inspiration Ragga pour le dancefloor. Je réclame plus de bruit et d'ambiance, comme cela est suggéré avant le refrain où, progressivement, les instruments se rajoutent.
Terre inconnue : J'évoque certaines désillusions après des tentatives de relations amoureuses. Je constate n'avoir jamais vraiment vécu de relation avec des sentiments partagés, et le fait que je ne cherche pas réellement à en connaître.
À l'état pur : J'incarne la nature, comme si elle pouvait s'exprimer, pour réaffirmer l'importance de son rôle pour l'Humain. Je dénonce la récupération commerciale de la cause écologique, la destruction/sur-exploitation des ressources au nom du profit, et les OGM.
J'aurais pu être… : J'imagine me trouver à la place de différents êtres dont l'existence est marquée par des difficultés importantes voire invivables.
Qui est le boss ? : Ne souhaitant pas prendre part à cette "compétition", je fustige les excès d'égos dans le Rap Américain et Français où beaucoup s'auto-proclament "boss", ce qui génère une sorte de cirque où les caricatures règnent.
Quand le jour sera venu : J'imagine l'arrivée d'une contestation d'une ampleur telle que le système s'en trouverait radicalement remis en cause, pour devenir simplement plus juste pour tous.
Horizon dépassable : Je parle tout d'abord de mon vécu artistique en dehors du circuit des majors, et de la diffusion de ma musique grâce à Internet. J'expose ma vision du Rap, au-delà des clichés auxquels il est facile de céder. Enfin, j'affirme qu'il est grand temps de d'envisager une sortie du système que nous subissons en grand nombre.