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Festival "À l'Ère Libre" #3
Les élèves-ingénieurs de l’ESSTIN (École Supérieure des Sciences et Technologies de l’Ingénieur de Nancy) organisent la troisième édition du festival « À l’Ère Libre » le Vendredi 06 Avril 2012 à l’Autre Canal à Nancy.
Programme
Conférences et stands (17h30 – 00h 30) : (Entrée gratuite)
Carte blanche à Maura Rougieux (Mise en musique d’un film du domaine public) ;
Nombreux stands présentant des projets libres (LDN, Open Street Map, NYBI, Mirabellug, …) ;
Conférence sur l’économie et la culture libre puis conférence avec LDN (Lorraine Data Network) et le collectif « regards citoyens » (diffusion et partage de l’information politique).
Concerts à partir de 21h : (réduit : 5€, normal : 8€, sur place : 11€)
Concerts d’artistes libres : Eclectek (Acid Punk, Lille), Dubamix (Dub, Paris) et Keiko Tsuda (Math Rock Electronique, Lyon) ;
Concert live de Missill (Electronique Hip-hop, Paris).
En bonus : Ramène ta clé USB, repars avec du son !
www.erelibre.fr
Programme
Conférences et stands (17h30 – 00h 30) : (Entrée gratuite)
Carte blanche à Maura Rougieux (Mise en musique d’un film du domaine public) ;
Nombreux stands présentant des projets libres (LDN, Open Street Map, NYBI, Mirabellug, …) ;
Conférence sur l’économie et la culture libre puis conférence avec LDN (Lorraine Data Network) et le collectif « regards citoyens » (diffusion et partage de l’information politique).
Concerts à partir de 21h : (réduit : 5€, normal : 8€, sur place : 11€)
Concerts d’artistes libres : Eclectek (Acid Punk, Lille), Dubamix (Dub, Paris) et Keiko Tsuda (Math Rock Electronique, Lyon) ;
Concert live de Missill (Electronique Hip-hop, Paris).
En bonus : Ramène ta clé USB, repars avec du son !
www.erelibre.fr
Réponses
De toute facon, c'est sponsorisé par Jamendo.. alors bon ...
permettez moi de nuancer vos critiques :
Dire que certains artistes font du libre et que à moyen terme, ils n'hésiteront pas à retrouver le système conventionnel. Cela est (malheureusement ?) une réalité que vous le vouliez ou non. L'une des raisons à cela est que trop peu de festivals comme le nôtre mette en avant ces artistes et les paient dignement.
Faire jouer un artiste du milieu dit "conventionnel"(indépendante et talentueuse) permet d'attirer un public plus large et moins au fait du libre. Vous pouvez rapprocher cette démarche à celle des logiciels libres qui sont disponibles sous Windows.
Après si vous pensez qu'il ne faut s'y prendre comme cela pour promouvoir le libre, on le comprend, mais c'est aussi cela la liberté .
Je passe sur le procès d'intention, mais j'aurai deux questions qui me taraudent l'esprit :
Le partenariat avec Jamendo, c'est quoi au fait ? Un partenariat financier ? Un échange de publicités ? Une présence dans les conférences ? (dans ce cas pourquoi ne pas avoir invité d'autres acteurs du mouvement ?)
Vous faites jouer un artiste présent à la Sacem, ok. Du coup, qui paie les redevances Sacem ? Toute l'organisation du festival en discriminant ceux qui sont Sacem et les autres ? Ou dans vos contrats vous avez prévus une rémunération à la même hauteur et équitable entre tous les artistes ?
On peut mélanger les artistes Sacem avec d'autres dans un festival, ce qui importe c'est comment on le gère surtout. Et dans ce domaine, je sais que c'est très compliqué, qu'on a chacun des pratiques qu'il est intéressant de partager (comme dans le libre quoi).
Merci pour tes réponses !
le partenariat avec Jamendo est un échange de publicité et de visibilité. Pour ce qui est des conférences, Jamendo n'y prend pas part cette année. L'an dernier nous avions invité M.Gabalda de l'asso musique libre qui avait passé une excellente soirée
Pour la redevance Sacem, on la paie, car dès qu'un artiste est à la sacem, il faut payer la taxe pour toute la soirée. Il y a une solution au prorata mais au final elle nous reviendrait plus cher car ce n'est pas la même chose qui est taxée. De plus cela permet aux artistes qui veulent faire une reprise de la faire sans soucis juridique (ex : l'an dernier Pornophonique a fait qqs reprises en 8bits).
Nous avons une tête d'affiche, son cachet est plus élevé, mais notre objectif est que le public vienne découvrir les autres artistes qui eux sont libres. C'est un difficile équilibre, nous le consevons.