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Notre Documentation
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Pousse-pousse et Tapis volant - partie 1
Bonjour à tous,
je voudrais ici vous parler de mon album Pousse-pousse et Tapis volant, dont certains ont suivi la lente progression cette année
Pour écouter, c'est ici: https://play.dogmazic.net/search.php?type=song#albums.php?action=show&album=9656 (musiques type 8bits)
C'est une histoire, c'est un jeu-vidéo qui n'existe pas. Je crée les musiques, et dès qu'une musique est créée elle devient une partie du gameplay qui s'enchaîne alors, suivant mon imagination.
Ce que je peux dire c'est que c'est un jeu de plateforme, en pixel-art. La vue est de côté, pas d'en haut (hormis scènes spéciales). Il tient du conte de fée.
Pousse-pousse et Tapis volant, c'est l'histoire d'un conducteur de Pousse-pousse. Tout son temps, il le passe à pousser des gens, plus ou moins lourds, plus ou moins chargés, pour les conduire à leur destination; le long de routes enfumées et puantes. Chaque soir il rentre chez lui, fourbu et couvert de suie.
Dans une ville où il est un quasi inconnu, il se félicite de sa musculature suffisante pour le faire vivre, et ne pense pas trop au reste. En fait il ne pense jamais au reste.
My Cumbeepbox, c'est le prélude de cet album. À voir comme la musique du menu de jeu ! C'est le condensé de toute l'histoire, en quelque sorte et c'est une histoire gaie, assez drôle et très sérieuse.
2_Un jour ordinaire.
Une loop, qui correspond au gameplay d'un jour ordinaire. En terme de mécanisme de jeu, on doit simplement conduire le pousse-pousse dans une ville qui serait un mélange entre Hong-Kong, New-York et New Dehli, Bagdad, Bangkok, une ville hétéroclite de cultures et homogène dans ce mélange constant.
Par moment on ne voit même pas le pousse-pousse car les véhicules passent devant. Il s'agit d'éviter les accrochages avec le reste de la circulation, et amener chaucn à bon port - ce qui fait toucher un petit pécule. J'arrête les détails là. La loop est un résumé de cette partie, et de la musique, qui pour un jeu pareil, serait plus riche/longue.
3_Fin d'Un jour ordinaire
Le titre parle de lui-même. Avec le jour décroissant, tout devient encore plus chargé, confus et enfumé, la circulation, les trajets, et de plus le héros doit rentrer chez lui pour se préparer au lendemain. Longue journée !...
4_Transport de la Mamie Chelou - Marraine du Boss
Le lendemain, peut-être la première course de la journée, peut-être pas, son patron l'appelle pour une course urgente, assez spéciale. Il doit immédiatement se rendre dans un lieu récupérer quelqu'un d'important, et on compte sur sa rapidité et sa discrétion. Sur place, il se trouve face à... une petite vieille chinoise rabougrie aux cheveux grisâtres tirés en chignon, chargée d'une demi-douzaine de sacs poubelles... et le tout pèse terriblement lourd... l'horreur...
Bien entendu, impossible de convaincre la mamie de s'en débarasser (sous peine de se prendre un ou deux coups de canne bien placés), elle tient absolument à vous les faire transporter.
Le gameplay ici est un peu particulier. C'est encore avec la circulation, éviter les obstacles, etc; sauf que la perspective devient carricaturale de l'effort fourni par le héros - par exemple une pente à 45° ou plus ou d'autres prouesses absurdes et épuisantes...
Et finalement la mamie arrive à destination. Un gratte-ciel immense, impeccable, ou deux jeunes agents l'attendent et l'accompagnent discrètement à l'intérieur, en se chargeant étrangement des fameux sacs poubelles ! Ils y portent une attention particulière et ne permettent pas au héros d'y toucher.
Le héros se rend compte que ce building, c'est le siège du Boss, celui à qui appartient la quasi-totalité des entreprises de la ville, dont justement celle de pousses-pousses pour laquelle il travaille !
5_Ici, il manque un morceau. Vous remarquerez que Castle Grey est numéroté 6 dans l'album. C'est que en effet, il manque ici une partie c'est la partie où on comprend comment le héros trouve le tapis volant. Il se passe quelque chose avec les sacs poubelles, quelque chose en est tombé dans son pousse-pousse, ou peut-être l'un d'entre eux se déchire et il en voit tomber quelque chose de vraiment très louche...
Au début je pensais que la Marraine, personnage ambigü, allait elle-même lui donner le tapis - ou quelque chose en rapport. Maintenant je ne crois pas. C'est vraiment un personnage ambigü, elle retourne voir le héros avant qu'il s'en aille de devant le building, et lui donne quelque chose, mais je ne sais pas encore quoi...
6_Castle Grey
Là, c'est une pause dans la narration. Castle Grey, c'est la vue soudaine d'un château étrange, aux pierres solides et grises comme son nom l'indique. Dedans, on y joue temporairement un personnage féminin, type "aventurière", en armure légère (j'ai dit légère ! Pas obscène !) et épée. Castle Grey, c'est l'élément narratif qui indique qu'on sort de tout ce quotidien absurde et enfumé, et que là-bas, dans cette bâtisses solides et spacieuses, une quête pour quelque chose d'important se prépare. Castle Grey, c'est une zone que je vois un peu comme le début du jeu Prince of Persia I dans son aspect solide et gris, mais plus rempli et ouvragé, comme un tableau du jeu Unepic.
8_Interlude
Encore une fois, on saute un morceau.
Un petit interlude amusant ou on est de retour avec le héros, après par exemple une scène ou il a perdu concience ou est tombé, avec encore les étoiles qui tournent autour de sa tête... et le fameux tapis volant !
9_La Deuxième Fille du Boss (normal et extended)
Le seul morceau de l'album qui a la chance d'exister à la fois en version courte et en version extended. La Deuxième Fille du Boss (le fameux Boss) c'est Sassia.
Sassia, c'est elle qui permet au héros de conduire correctement le tapis volant et lui montre comment s'en servir. Elle a quelque chose à demander en échange (je ne sais pas encore quoi). C'est la Deuxième fille du Boss, ça veut dire qu'elle connaît pas mal de choses mais que dans le business familial, elle passe un peu à la trappe, d'autant son jeune âge. Du coup, elle va s'arranger avec le héros et son tapis volant pour récupérer un autre objet magique !
Avec Sassia, c'est un gameplay encore complètement différent puisque maintenant on est... en tapis volant ! Exit les courses laborieuses, le héros complètement abasourdi vole maintenant juste au-dessus des toits de la ville, sur un fond de superbe ciel bleu. Il y a quelque chose à collecter et passer à travers des checkpoints pour valider le niveau - c'est aussi un tutoriel pour conduire le tapis, qui peut être particulièrement intéressant à diriger.
Narrativement parlant, le héros n'a qu'à se pencher pour ramasser des objets intéressants que l'on trouve sur les toits, par exemple les fruits qui poussent sur des arbres, sur les toits ! C'est le jour et la nuit avec le début du jeu.
10_Dans la geole du Djinn - avant le coma
Hélas ! Sassia pensait aller chercher un objet dont elle a besoin, mais avant même de pouvoir débuter sa quête, apparaît auprès d'eux un terrible Djinn, qui veut leur dérober ce tapis volant ! Cependant, il ne les tue pas de suite car comprend que seul le héros peut s'en servir. De dépit, il les capture et les amène dans sa prison, le temps de réfléchir à comment les deux pourront lui être utile, et pensant déjà demander une rançon pour Sassia (qui est la fille du Boss, je rappelle !)
Cette musique correspond à la scène dans la geole, ou les héros, blessés, meurtris, se rendent compte que des parois suinte la poudre d'une étrange moississure bleue fluo, soporifique, qui leur fait peu à peu perdre conscience. Dans la musique on entend quelques notes plus aigües, qui correspondent à Sassia qui tente malgré tout de lancer un dernier petit trait d'humour, avant de sombrer dans l'inconscience, suivie quasi immédiatement par le héros, se sentant coupable et malheureux.
11_Néons et Lumière.
Vous vous souvenez de l'aventurière de Castle Grey ? Elle est instoppable cette fille... discrète, agile et rusée, elle s'est frayée son chemin dans les catacombes secrètes du château du Djinn pour s'y infiltrer, et lui dérober un objet ou un secret qu'elle recherche. Elle tombe sur Sassia et le héros, dans les geoles, et apparemment en sait plus qu'eux sur la situation en général et les rapports complexes entre le Djinn et le Boss. De fait, elle décide de les libérer, en échange d'une promesse de Sassia (secrète pour le moment ).
Néons et Lumière, c'est le titre qui parle d'étranges lumières que voit le héros pendant son coma, et puis les lumières floues de son réveil; et aussi les néons qui éclairent faiblement les voies de services que nos trois protagonistes empruntent pour s'évader.
Si vous voulez en avoir une idée visuelle, c'est EXACTEMENT comme ça:
https://lejournal.cnrs.fr/videos/le-glacier-dargentiere-mis-sur-ecoute
(je n'avais pas vue la vidéo quand j'ai imaginé cette scène mais elle est parfaite pour illustrer)
Les Néons, et Lumière au singulier, car il y a plusieurs néons, mais une seule lumière du jour, unique et merveilleuse...
Voilà où en est l'album à ce jour
Composé de quelques pistes complètes et de pas mal de loops, c'est un donc l'ébauche de la bande-son d'un jeu qui n'existe pas
J'ai vraiment apprécié la faire.
Et puis ces idées de jeu sont en CC-BY-SA 4.0, (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/ ) je pense qu'il y a moyen de s'amuser pas mal avec ce concept
je voudrais ici vous parler de mon album Pousse-pousse et Tapis volant, dont certains ont suivi la lente progression cette année
Pour écouter, c'est ici: https://play.dogmazic.net/search.php?type=song#albums.php?action=show&album=9656 (musiques type 8bits)
C'est une histoire, c'est un jeu-vidéo qui n'existe pas. Je crée les musiques, et dès qu'une musique est créée elle devient une partie du gameplay qui s'enchaîne alors, suivant mon imagination.
Ce que je peux dire c'est que c'est un jeu de plateforme, en pixel-art. La vue est de côté, pas d'en haut (hormis scènes spéciales). Il tient du conte de fée.
Pousse-pousse et Tapis volant, c'est l'histoire d'un conducteur de Pousse-pousse. Tout son temps, il le passe à pousser des gens, plus ou moins lourds, plus ou moins chargés, pour les conduire à leur destination; le long de routes enfumées et puantes. Chaque soir il rentre chez lui, fourbu et couvert de suie.
Dans une ville où il est un quasi inconnu, il se félicite de sa musculature suffisante pour le faire vivre, et ne pense pas trop au reste. En fait il ne pense jamais au reste.
My Cumbeepbox, c'est le prélude de cet album. À voir comme la musique du menu de jeu ! C'est le condensé de toute l'histoire, en quelque sorte et c'est une histoire gaie, assez drôle et très sérieuse.
2_Un jour ordinaire.
Une loop, qui correspond au gameplay d'un jour ordinaire. En terme de mécanisme de jeu, on doit simplement conduire le pousse-pousse dans une ville qui serait un mélange entre Hong-Kong, New-York et New Dehli, Bagdad, Bangkok, une ville hétéroclite de cultures et homogène dans ce mélange constant.
Par moment on ne voit même pas le pousse-pousse car les véhicules passent devant. Il s'agit d'éviter les accrochages avec le reste de la circulation, et amener chaucn à bon port - ce qui fait toucher un petit pécule. J'arrête les détails là. La loop est un résumé de cette partie, et de la musique, qui pour un jeu pareil, serait plus riche/longue.
3_Fin d'Un jour ordinaire
Le titre parle de lui-même. Avec le jour décroissant, tout devient encore plus chargé, confus et enfumé, la circulation, les trajets, et de plus le héros doit rentrer chez lui pour se préparer au lendemain. Longue journée !...
4_Transport de la Mamie Chelou - Marraine du Boss
Le lendemain, peut-être la première course de la journée, peut-être pas, son patron l'appelle pour une course urgente, assez spéciale. Il doit immédiatement se rendre dans un lieu récupérer quelqu'un d'important, et on compte sur sa rapidité et sa discrétion. Sur place, il se trouve face à... une petite vieille chinoise rabougrie aux cheveux grisâtres tirés en chignon, chargée d'une demi-douzaine de sacs poubelles... et le tout pèse terriblement lourd... l'horreur...
Bien entendu, impossible de convaincre la mamie de s'en débarasser (sous peine de se prendre un ou deux coups de canne bien placés), elle tient absolument à vous les faire transporter.
Le gameplay ici est un peu particulier. C'est encore avec la circulation, éviter les obstacles, etc; sauf que la perspective devient carricaturale de l'effort fourni par le héros - par exemple une pente à 45° ou plus ou d'autres prouesses absurdes et épuisantes...
Et finalement la mamie arrive à destination. Un gratte-ciel immense, impeccable, ou deux jeunes agents l'attendent et l'accompagnent discrètement à l'intérieur, en se chargeant étrangement des fameux sacs poubelles ! Ils y portent une attention particulière et ne permettent pas au héros d'y toucher.
Le héros se rend compte que ce building, c'est le siège du Boss, celui à qui appartient la quasi-totalité des entreprises de la ville, dont justement celle de pousses-pousses pour laquelle il travaille !
5_Ici, il manque un morceau. Vous remarquerez que Castle Grey est numéroté 6 dans l'album. C'est que en effet, il manque ici une partie c'est la partie où on comprend comment le héros trouve le tapis volant. Il se passe quelque chose avec les sacs poubelles, quelque chose en est tombé dans son pousse-pousse, ou peut-être l'un d'entre eux se déchire et il en voit tomber quelque chose de vraiment très louche...
Au début je pensais que la Marraine, personnage ambigü, allait elle-même lui donner le tapis - ou quelque chose en rapport. Maintenant je ne crois pas. C'est vraiment un personnage ambigü, elle retourne voir le héros avant qu'il s'en aille de devant le building, et lui donne quelque chose, mais je ne sais pas encore quoi...
6_Castle Grey
Là, c'est une pause dans la narration. Castle Grey, c'est la vue soudaine d'un château étrange, aux pierres solides et grises comme son nom l'indique. Dedans, on y joue temporairement un personnage féminin, type "aventurière", en armure légère (j'ai dit légère ! Pas obscène !) et épée. Castle Grey, c'est l'élément narratif qui indique qu'on sort de tout ce quotidien absurde et enfumé, et que là-bas, dans cette bâtisses solides et spacieuses, une quête pour quelque chose d'important se prépare. Castle Grey, c'est une zone que je vois un peu comme le début du jeu Prince of Persia I dans son aspect solide et gris, mais plus rempli et ouvragé, comme un tableau du jeu Unepic.
8_Interlude
Encore une fois, on saute un morceau.
Un petit interlude amusant ou on est de retour avec le héros, après par exemple une scène ou il a perdu concience ou est tombé, avec encore les étoiles qui tournent autour de sa tête... et le fameux tapis volant !
9_La Deuxième Fille du Boss (normal et extended)
Le seul morceau de l'album qui a la chance d'exister à la fois en version courte et en version extended. La Deuxième Fille du Boss (le fameux Boss) c'est Sassia.
Sassia, c'est elle qui permet au héros de conduire correctement le tapis volant et lui montre comment s'en servir. Elle a quelque chose à demander en échange (je ne sais pas encore quoi). C'est la Deuxième fille du Boss, ça veut dire qu'elle connaît pas mal de choses mais que dans le business familial, elle passe un peu à la trappe, d'autant son jeune âge. Du coup, elle va s'arranger avec le héros et son tapis volant pour récupérer un autre objet magique !
Avec Sassia, c'est un gameplay encore complètement différent puisque maintenant on est... en tapis volant ! Exit les courses laborieuses, le héros complètement abasourdi vole maintenant juste au-dessus des toits de la ville, sur un fond de superbe ciel bleu. Il y a quelque chose à collecter et passer à travers des checkpoints pour valider le niveau - c'est aussi un tutoriel pour conduire le tapis, qui peut être particulièrement intéressant à diriger.
Narrativement parlant, le héros n'a qu'à se pencher pour ramasser des objets intéressants que l'on trouve sur les toits, par exemple les fruits qui poussent sur des arbres, sur les toits ! C'est le jour et la nuit avec le début du jeu.
10_Dans la geole du Djinn - avant le coma
Hélas ! Sassia pensait aller chercher un objet dont elle a besoin, mais avant même de pouvoir débuter sa quête, apparaît auprès d'eux un terrible Djinn, qui veut leur dérober ce tapis volant ! Cependant, il ne les tue pas de suite car comprend que seul le héros peut s'en servir. De dépit, il les capture et les amène dans sa prison, le temps de réfléchir à comment les deux pourront lui être utile, et pensant déjà demander une rançon pour Sassia (qui est la fille du Boss, je rappelle !)
Cette musique correspond à la scène dans la geole, ou les héros, blessés, meurtris, se rendent compte que des parois suinte la poudre d'une étrange moississure bleue fluo, soporifique, qui leur fait peu à peu perdre conscience. Dans la musique on entend quelques notes plus aigües, qui correspondent à Sassia qui tente malgré tout de lancer un dernier petit trait d'humour, avant de sombrer dans l'inconscience, suivie quasi immédiatement par le héros, se sentant coupable et malheureux.
11_Néons et Lumière.
Vous vous souvenez de l'aventurière de Castle Grey ? Elle est instoppable cette fille... discrète, agile et rusée, elle s'est frayée son chemin dans les catacombes secrètes du château du Djinn pour s'y infiltrer, et lui dérober un objet ou un secret qu'elle recherche. Elle tombe sur Sassia et le héros, dans les geoles, et apparemment en sait plus qu'eux sur la situation en général et les rapports complexes entre le Djinn et le Boss. De fait, elle décide de les libérer, en échange d'une promesse de Sassia (secrète pour le moment ).
Néons et Lumière, c'est le titre qui parle d'étranges lumières que voit le héros pendant son coma, et puis les lumières floues de son réveil; et aussi les néons qui éclairent faiblement les voies de services que nos trois protagonistes empruntent pour s'évader.
Si vous voulez en avoir une idée visuelle, c'est EXACTEMENT comme ça:
https://lejournal.cnrs.fr/videos/le-glacier-dargentiere-mis-sur-ecoute
(je n'avais pas vue la vidéo quand j'ai imaginé cette scène mais elle est parfaite pour illustrer)
Les Néons, et Lumière au singulier, car il y a plusieurs néons, mais une seule lumière du jour, unique et merveilleuse...
Voilà où en est l'album à ce jour
Composé de quelques pistes complètes et de pas mal de loops, c'est un donc l'ébauche de la bande-son d'un jeu qui n'existe pas
J'ai vraiment apprécié la faire.
Et puis ces idées de jeu sont en CC-BY-SA 4.0, (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/ ) je pense qu'il y a moyen de s'amuser pas mal avec ce concept
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Réponses
L'album n'est donc pas encore terminé ? Il y aura encore deux pistes à paraître ?
m'a rappelé des écoutes
des albums, qui me faisaient penser à des histoires quand je les écoutais
comme une sorte de bande son, d'un film imaginaire.
sauf que là c'est pas un film mais un jeu imaginaire
sympa
passé un moment tranquille en tout cas à suivre les aventures de Sassia, du consucteur de pousse-pousse... et de l'aventurière de Castle Grey ! ^^
bon et du coup, ... et une partie 2 ?
@shangril @dj3c1t :
oui vous l'avez bien deviné, à mon petit rythme de tortue musicale, il y aura en effet une partie 2 et au moins une autre piste pour cet album
Sympa le concept. J'ai déjà écouté l'album à plusieurs reprises, mais je ne sais plus s'il y avait autant de morceaux, il devait être en cours de complétion. Le format 0:50 secondes sur les pistes est bien trouvé. Je me demande même si plus de temps n'aurait pas été de trop. Moi qui déteste les jeux vidéos, ou jeux d'argent et jeux tout court, j'y ai trouvé les bruitages et ambiance des seuls trucs vidéos de l'époque auxquels j'ai joué : "Mario Bros" et "Tétris".
On ressent fortement la bonne humeur, et musicale, et au niveau du texte (ça nous influencera et nous apprendra à sortir de nos compos dépressives-tristounettes (ça doit être la période qui veut ça)
Alors, oui, de la fraîcheur, de la gaieté, légèreté et de l'humour (en reparlant de la période, ça tombe rudement bien)...
Je suis tombé sur un album en Creative Commons sur bandcamp de quelqu'un qui explore ces sons 8 bits des jeux, justement, très fort le gaillard.
C'est du beau travail @Ladee , et bravo pour t'être donnée la peine de construire cette histoire sur cet album non-commun. Entre tes petites pièces de quelques secondes sur d'autres de tes parutions et ici la tête dans les pixels, tu es en train de créer un petit monde poétique qui n'appartient qu'à toi seule.
Continues, tu es certainement capable d'aller encore plus loin.
à biental !
https://kubbimusic.com/album/ember
https://kubbimusic.com/track/cascade
Merci @kidjazz, c'est un artiste que j'aime beaucoup. Tu me fais redécouvrir cet album d'ailleurs, jusqu'ici mon préféré était le Gas Powered EP. Ça ne fait pas très longtemps que je connais, pour parler d'influences, par rapport à mon album.
Ceci dit un de ses morceaux m'a marqué très tôt:
Je suis accro à ses vitamines musicales
Pour le format, c'est le format que propose beepbox par défaut; par rapport à ce que tu dis je me demandais même si ce n'était pas trop long, 50 secondes, pour les loops en tout cas. Mais au final ça passe vite ! Par contre oui, je ne ferais pas plus long pour les loops.
Je suis touchée que tu ressentes de la bonne humeur, de la fraîcheur dans mes compos j'ai des exigences par rapport à ce que je publie; j'observe d'abord ce que ça me fait, et si je n'aime pas ce que ça me fait, je ne le publie pas. Je pense que créer c'est primordial. Ça peut être un exorcisme aussi, dans les moments difficiles. Mais je ne veux pas que mes créations demandent plus d'énergie à ceux qui les reçoivent, que ce qu'elles leur donnent. Je ne sais pas si c'est clair...
Ça n'a pas toujours été le cas, mais maintenant donc, c'est une de mes exigences du coup j'espère que c'est plutôt réussi !
C'est sautillant, ça se balade entre les genres, et ça me parle bien.
(une grosse dose d'empathie pour l'écouteur-écouteu-se.)
Je répète (ou presque) :
Continue.
J'y trouve un peu de "Caravan Palace" en plus electro.