il faut que je passe par un autre logiciel pour gérer ma conversion RVB/CMJN ?
Alors ça fait un moment que j'ai pas fait de boulot en offset, mais dans le fond qu'est-ce que tu t'en branle d'avoir tes images en CMJN dans ton logiciel de traitement de bitmap ?
Tu connais en gros les couleurs dont tu dois te méfier, tu traite ton bitmap comme tu le veux, tu l'importe dans ton Scribus (PAO) tu fait ta composition, et hop tu gerbe tout ça dans un beau PDF en CMJN. Et si tu veux plus de controle tu passe au préalable dans Krita qui gère la quadri (et les labs color je crois aussi, qui si je ne m'abuse permettent de composer des tons directs)
De plus la plupart des imprimeurs aujourd'hui, il me semble qu'ils s'en foutent pas mal que les fichiers soient en RVB ou CMJN. Il faut juste avoir à l'esprit que certaines couleurs passeront pas, faire gaffe quand tu fait ta composition et prévenir l'imprimeur.
Bref si je m'énerve c'est quand on dis un graphiste peut pas utiliser linux pour travailler et qu'on sort le SEUL presque-vrai exemple : gimp vs. photoshiote
Généraliser sur ce seul exemple c'est de l'escroquerie intellectuelle.
Ex : On peut pas être un illustrateur professionnel avec illustrator, parcequ'il sait pas faire de dégradé vers le transparent, et ça c'est rédhibitoire.
C'est le même genre d'astuce. Pour le design web j'en connais qui n'utilise même plus photoshiot, il font TOUT de A à Z dans inkscape tellement c'est puissant. (tiens il a un mélangeur CMJN en plus)
'fin bon, quelqu'un connais un forum ou on pourrais continuer ce fight ? et trouver des solutions ?
sans rancunes, A++ je boote sous Win pour la répèt ^^
Etant modo. sur un site dédié à la musique souvent ce type de questions reviennent.
est ce que un logiciel lamba ( vst ou autre ) gratuit pourra me faire la même chose qu'un logiciel à XXX euro ?
De un il faut savoir ce que l'on souhaite obtenir. inutile de dépenser 5000 euro dans un logiciel alors que certains qui sont gratuit le font amplement .
La faute à qui..?
A l'instar des revues féminines qui imposent une forme de la "femme" , un bon nombre de revue spécialisé font de même avec le crédo : " si tu n'as pas çà ...t'es pas blin bling, voici le matos de fou à XXX euro et tu sera le meilleurs"
en gros mdr...
Maintenant en ce qui concerne la MAO , il ne faut pas non plus se voiler la face. Pour exemple on a procédé à des test ( analyses ) entre des modules d'effets/instruments gratuits et ceux payants ( entrées de gammes et autres ) : seul constat ...il y a effectivement une différence.
regarder le spectre audio entre un freeware qui émule une TB303 et une vraie TB303 , ...
Cependant ,.., on peut avoir au final un autre rendue ( grain,timbre..) mais celà va prendre beaucoup plus de temps.
Peu importe notre plate forme de travail , le tout est d'adapté son matériel par rapport à nos besoin et surtout il est illusoire de penser faire un mastering ( norme red dot and co.) sans un matériel (harware) adpaté tel que l'on trouve dans certains studios " sérieux"
Et sur quels types de systèmes les œuvres sont écoutées ? Les formats numériques et les balado-musiques modernes ne compressent-ils pas suffisamment les œuvres pour que l'on ne remarque plus les différences entres celles qui ont été produites avec du matériel très haut de gamme et un autre avec des freewares peu reluisants ?
Réponses
Tu connais en gros les couleurs dont tu dois te méfier, tu traite ton bitmap comme tu le veux, tu l'importe dans ton Scribus (PAO) tu fait ta composition, et hop tu gerbe tout ça dans un beau PDF en CMJN. Et si tu veux plus de controle tu passe au préalable dans Krita qui gère la quadri (et les labs color je crois aussi, qui si je ne m'abuse permettent de composer des tons directs)
De plus la plupart des imprimeurs aujourd'hui, il me semble qu'ils s'en foutent pas mal que les fichiers soient en RVB ou CMJN. Il faut juste avoir à l'esprit que certaines couleurs passeront pas, faire gaffe quand tu fait ta composition et prévenir l'imprimeur.
Pour le ton direct oui en effet là y'a un probleme sous Gimp, et je me demande si le probleme viens pas du fait que Adobe ai posé des Brevets sur TOUTES les techniques qu'emploi photoshiot (à l'époque le splahscreen était magnifique avec toute les références des brevets que le soft comportait, ils doivent l'avoir caché maintenant), il me semble bien que le postscript (par exemple) est un standard mais propriété de Adobe, pareil pour le deal entre Pantone© et Adobe©, faudrais regarder dans le détail mais une partie de la lenteur du libre dans le domaine du publishing viens du fait que Adobe a putain de TOUT breveté. Donc il faudrais que les dev du libre réinvente la roue, et encore pas sur qu'on les laisse faire.
J'ai déjà fait des boulots en Offset sans problemes sous linux avec des logiciel libres, c'était pas des trucs hyper chiadés avec de la photo, mais j'ai pas eu de surprises sur les couleurs.
Bref si je m'énerve c'est quand on dis un graphiste peut pas utiliser linux pour travailler et qu'on sort le SEUL presque-vrai exemple : gimp vs. photoshiote
Généraliser sur ce seul exemple c'est de l'escroquerie intellectuelle.
Ex : On peut pas être un illustrateur professionnel avec illustrator, parcequ'il sait pas faire de dégradé vers le transparent, et ça c'est rédhibitoire.
C'est le même genre d'astuce. Pour le design web j'en connais qui n'utilise même plus photoshiot, il font TOUT de A à Z dans inkscape tellement c'est puissant. (tiens il a un mélangeur CMJN en plus)
'fin bon, quelqu'un connais un forum ou on pourrais continuer ce fight ? et trouver des solutions ?
sans rancunes, A++ je boote sous Win pour la répèt ^^
dF
[/HS]
Argh! le sournois
Etant modo. sur un site dédié à la musique souvent ce type de questions reviennent.
est ce que un logiciel lamba ( vst ou autre ) gratuit pourra me faire la même chose qu'un logiciel à XXX euro ?
De un il faut savoir ce que l'on souhaite obtenir. inutile de dépenser 5000 euro dans un logiciel alors que certains qui sont gratuit le font amplement .
La faute à qui..?
A l'instar des revues féminines qui imposent une forme de la "femme" , un bon nombre de revue spécialisé font de même avec le crédo : " si tu n'as pas çà ...t'es pas blin bling, voici le matos de fou à XXX euro et tu sera le meilleurs"
en gros mdr...
Maintenant en ce qui concerne la MAO , il ne faut pas non plus se voiler la face. Pour exemple on a procédé à des test ( analyses ) entre des modules d'effets/instruments gratuits et ceux payants ( entrées de gammes et autres ) : seul constat ...il y a effectivement une différence.
regarder le spectre audio entre un freeware qui émule une TB303 et une vraie TB303 , ...
Cependant ,.., on peut avoir au final un autre rendue ( grain,timbre..) mais celà va prendre beaucoup plus de temps.
Peu importe notre plate forme de travail , le tout est d'adapté son matériel par rapport à nos besoin et surtout il est illusoire de penser faire un mastering ( norme red dot and co.) sans un matériel (harware) adpaté tel que l'on trouve dans certains studios " sérieux"
Et sur quels types de systèmes les œuvres sont écoutées ? Les formats numériques et les balado-musiques modernes ne compressent-ils pas suffisamment les œuvres pour que l'on ne remarque plus les différences entres celles qui ont été produites avec du matériel très haut de gamme et un autre avec des freewares peu reluisants ?