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C'est nul
Salut,
J'écoute pas mal la musique de Dogmazic ces temps-ci.
Il y a un truc que je trouve très dommage, c'est tous ces morceaux qui contiennent des extraits de dialogues de film.
Placer un morceau sous licence de libre diffusion en y incorporant sciemment des éléments pour lesquels on ne possède pas les droits, c'est juste nawak.
Déjà, la licence de libre diffusion est annulée de fait, car l'artiste ne possède pas, en fait, le pouvoir d'octroyer des droits aux auditeurs, puisqu'il n'est pas titulaire de ceux-ci.
Ensuite, si il y a un auditeur qui, en toute bonne fois, ré-utilise la musique en fonction de ce qui est permis par la licence, et ensuite a des ennuis puisque il y a des dialogues utilisés sans autorisation dedans, nulle doute qu'il pourra sans problème se retourner contre l'artiste pour toutes conséquences légales éventuelles.
Il y a tellement de morceaux sur Dogma qui utilisent des extraits de dialogues de film que j'ai arrêté de les compter. Si je devais en parler aux personnes en charge de la modération à chaque fois, j'y passerais mes journées.
Et puis, franchement, si vous aimez bien tel ou tel film, grand bien vous fasse, mais c'est pas franchement utile d'étaler vos références cinématographiques dans votre musique. Moi perso je m'en tamponne.
J'écoute pas mal la musique de Dogmazic ces temps-ci.
Il y a un truc que je trouve très dommage, c'est tous ces morceaux qui contiennent des extraits de dialogues de film.
Placer un morceau sous licence de libre diffusion en y incorporant sciemment des éléments pour lesquels on ne possède pas les droits, c'est juste nawak.
Déjà, la licence de libre diffusion est annulée de fait, car l'artiste ne possède pas, en fait, le pouvoir d'octroyer des droits aux auditeurs, puisqu'il n'est pas titulaire de ceux-ci.
Ensuite, si il y a un auditeur qui, en toute bonne fois, ré-utilise la musique en fonction de ce qui est permis par la licence, et ensuite a des ennuis puisque il y a des dialogues utilisés sans autorisation dedans, nulle doute qu'il pourra sans problème se retourner contre l'artiste pour toutes conséquences légales éventuelles.
Il y a tellement de morceaux sur Dogma qui utilisent des extraits de dialogues de film que j'ai arrêté de les compter. Si je devais en parler aux personnes en charge de la modération à chaque fois, j'y passerais mes journées.
Et puis, franchement, si vous aimez bien tel ou tel film, grand bien vous fasse, mais c'est pas franchement utile d'étaler vos références cinématographiques dans votre musique. Moi perso je m'en tamponne.
Réponses
Personnellement, sans parler de licence mais musicalement, ça ne me dérange pas qu'il y aie des reprises de films (évidemment je suis absolument déçu du non-respect des licences), le seul truc c'est que les auteurs n'ont pas les droits sur ces bandes audio, mais si ils les avaient cela ne me dérangerai pas du tout, voir cela peut apporter un plus.
Des tas de profils ont été désactivés par cette méthode. Les gens un peu "aware" contactaient Facebook pour signaler qu'il y avait un problème, mais je suppose que pas mal de monde cédait à l'intimidation et se contentait de re-créer un profil en prenant garde de ne plus froisser ces sourcilleux...
Par exemple, un rédacteur du Read Write Web francophone, qui avait posté à propos de cette histoire justement, a fait les frais de cette méthode. Bon, il a contacté Facebook qui est intervenu avec des moyens humains pour rétablir son profil, mais tout ça pour dire que la modération automatique c'est dangereux....
Quand l'équipe "modération" aura été mise en place, les morceaux signalés seront traités beaucoup plus rapidement.
[edit : coquille]
C'est Tumulte (Etienne) qui s'en occupe surtout.
En fait, j'ai commencé il y a peu à archiver l'intégrale de l'archive chez moi, j'en aurais encore pour plusieurs semaines, mais déjà j'écoute souvent en mode aléatoire, et donc, de temps à autre, je tombe sur un morceau avec un sample foireux, et je signale.
J'ai pas compté, mais ça fait une semaine que ça dure et que j'envoie régulièrement des messages aux modérateurs sur tel ou tel morceau pas à sa place ici.
Je signale pas les morceaux avec des extraits de film dedans, ce serait trop chronophage, mais pour les samples foireux, je me pose pas de question.
La modération de Dogmazic est unique, non seulement dans le monde de la musique libre sur le net, mais aussi dans le monde de la musique sur le net tout court.
L'archive de DZ est probablement la plus propre du réseau... À titre de comparaison, Archive.org ne modère que s'ils reçoivent une plainte des ayants-droits, donc il y a foultitude de morceaux foireux sur Archive.
Jamendo modère selon les retours de ses auditeurs/auditrices, mais le lien "signaler" est tellement bien caché tout en bas de la page, faut vraiment être un acharné pour le trouver.
Sur Dogma, le lien "modération" est bien visible, en regard de chaque chanson. Si on pouvait tendre vers le "0 morceau foireux" ce serait pas mal, en particulier pour ceux et celles dans le public qui cherchent des musiques sous LLD pour une ré-utilisation.
Sauf qu'il ne sert à rien. J'ai signalé ça fin avril:
http://www.dogmazic.net/Pain_Amp
Et 1 mois plus tard sur le forum. Aucun effet.
Depuis j'ai arrêté de perdre mon temps sur la modération.
Actuellement, c'est le bureau qui se charge de la modération, et donc, avec la migration, le bureau est pas mal occupé depuis quelques temps.
C'est toujours utile de signaler, même si ce n'est pas traité immédiatement, il reste une trace et ce sera (j'espère bien, je suis dans l'équipe "modération" en devenir) traité tôt ou tard.
Qu'en est il des interviews et autres discours politiques ? c'est copyrightés ?
pour une interview, je pense que c'est "copyrighté".
Donc à priori on n'a pas bien le droit d'utiliser un discours dans une chanson.
Il me semblait avoir lu le contraire quelquepart mais bon ... ...
Actuellement la modération consiste à envoyer un mail avec le nom de la chanson, artiste, etc dans le message, qui sera lu avec un client de courriel, c'est très lourd comme gestion pour les modérateurs qui doivent à chaque fois entrer les données pour retrouver la chanson sur l'archive, l'idée c'était de mettre en place une réelle interface de gestion de la modération, pour que quand un titre est suspect, on clique sur un bouton, qui par exemple ouvre une page de signalement et il suffit de décrire la raison, tout ceci créerait un rapport qui serait traitable dans l'interface pour décider de la suite du morceau.
Ce système enverrait un message préformaté à l'auteur qui a repris un morceau sans en détenir les droits en lui signalant le pourquoi du comment et pourquoi sur Dogmazic nous ne pouvons nous permettre ce genre d'écart vis à vis de la loi. Après soit le morceau serait supprimé (avec une mise en indisponibilité du morceau, puis suppression définitive si il n'y a pas de recours de la part de l'auteur).
Je ne parlais absolument pas d'une auto-modération par les utilisateurs, un bouton de signalement oui mais pas de suppression parce que les utilisateurs l'ont signalé.
Autre question, qu'est-ce qui est un frein à la mise en place des mailings ? :?:
Oui j'ai relu ton message après coup et j'ai vu que tu ne parlais pas, en fait, de modération 100% automatique, mais j'avais déjà répondu comme si c'était le cas.
Pour les mailing, sans vouloir m'avancer, la mise en place du serveur de mailing list avait commencé à être faite, mais je crois que c'est parce que certains contrat d'hébergement ou de noms de domaine arrivaient à terme qu'il a fallu donner la priorité à la migration vers le nouvel hébergeur qui gère tout - migration qui est toujours en cours, je crois.
Je comprends ce point de vue.
Il faut néanmoins garder à l'esprit que la plupart des licences libre ou ouvertes autorisent les ré-utilisations.
Et si une personne ré-utilise de la musique libre, par exemple pour sonoriser une vidéo, ça peut-être une bonne chose de proposer une archive qui ne fournit que de la musique légale.
Je ne veux pas aller expliquer à un studio de cinéma qui aurait utilisé une musique libre comme bande originale de film, si cette musique dite 'libre' contient en fait un sample illégal, qu'elle doit stopper la distribution, rappeler et détruire toute les copies, parce qu'un ayant droit s'en est aperçu et a porté plainte...
L'utilisation par certain(e)s d'éléments non libres dans les œuvres libres est peut-être bien le principal frein à la ré-utilisation de toute musique libre ou ouverte. Cette possibilité de ré-utilisation était au cœur de l'intention originelle lors de la rédaction des licences, mais est au final très peu utilisée. Et c'est très dommage.
Par ex : un musicien met un morceau avec un sample d'un film copyrighté en CC 3.0. Il en a le droit, puisque la 3.0 le permet. Et Dogmazic le proposant, il est d'autant plus dans son "droit". Pourquoi modérer le morceau ? Sur quelle base ?
Autre question : ce morceau est utilisé dans le respect de la licence pour un projet X, et le détenteur des droits poursuit l'initiateur du projet X. Peut-il se retourner contre l'auteur, voire Dogma ?
Question subsidiaire : le même morceau est téléchargé d'une borne Auto/Minimazic. La responsabilité de Pragmazic et de l'association est-elle engagée ?
Sources de mon raisonnement : http://aisyk.blogspot.fr/search/label/CC 3.0 (et tout particulièrement la réponse de Mélanie Dulong de Rosnay)
http://www.dogmazic.net/modules.php?ModPath=phpBB2&ModStart=viewtopic&p=55634&p=55634#55634
C'est assez différent de ce qui se dit généralement sur le forum à propos des 3.0. Je conseille vraiment d'aller jeter un œil, il explique bien mieux que moi, mais sinon pour dire ce que j'en ai compris :
Par rapport aux 2.0
-l'auteur est toujours tenu de ne pas proposer sciemment de contenu copyrighté pour lequel il n'aurait pas les droits/les autorisations dans son œuvre.
-ce qui change, par rapport à la 2.0 fr (et uniquement fr) : l'auteur n'est plus tenu de se livrer à une "enquète raisonnable" concernant la légalité de son œuvre
-ce qui change par rapport à la 2.0 quelle que soit la juridicition, la limitation de responsabilité : pour le cas où l'auteur aurait introduit sans le vouloir un élément illégal dans la musique (une mélodie entendue il y a longtemps et reprise par mégarde, etc), les ré-utlisateurs et ré-utilisatrices de l'œuvre ne pourront pas lui demander de contrepartie pour le préjudice qu'ils auraient subi en ré-utilisant son œuvre si jamais un ayant droits des éléments utilisés sans autorisation demande le retrait ou autre.
Petit point d'entrée de jeu, les licences CC 3.0 présentes sur le site sont les version "Unported", dites internationales, bases des futures 4.0 qui n'auront plus de portages localisés. L'article que j'avais signé sur mon blog à ce sujet portait sur la version 3.0 FR (donc "Ported") que je vous invite à lire aussi :
http://aisyk.blogspot.fr/2011/07/creative-commons-30.html
http://aisyk.blogspot.fr/2011/12/evolution-des-articles-5-et-6-des.html
Vous avez un peu raison et pas tous à la fois.
Il parle évidemment des gens qui téléchargent et pas des personnes qui vont réutiliser les œuvres pour éventuellement un projet artistique, une sonorisation, une commercialisation (compilation de soutien pour une association...). Les licences sans restrictions globales (pas de "NC", pas de "ND") ne font pas partie de cette réflexion.
Première question : J'ai répondu sur cette nécessité plus haut. Je rajoute que si nous souhaitons ardemment participer à une révolution des pratiques en matière de droit d'auteur, que la culture c'est aussi pouvoir faire en sorte que des "nains puissent se jucher sur des épaules de géant", c'est une pratique et un enjeu à prendre en compte. Permettre à tout un chacun de pouvoir réutiliser les œuvres légalement, les retoucher, les remixer... sans devoir fondamentalement contacter des auteurs ou ayant-droits qui peuvent parfois être morts, avoir changé d'adresse, ne plus être contacté...
Je rappelle cette conférence de Lessig : http://www.ted.com/talks/view/lang/fr//id/187
Je sais que ça va faire réagir donc je précise ma pensée.
La question n'est pas de ne pas communiquer les œuvres dérivées aux auteurs originaux, je continuerai à dire que c'est on ne peut plus normal et cordial d'avertir, de communiquer à l'auteur original l’œuvre dérivée que l'on a produite, voire même d'avoir un accord "moral".
À mon sens, on se doit de penser après. Si l'auteur est mort, injoignable, et que le projet sur lequel nous souhaitons travailler est important, il ne faut pas laisser à des ayant-droits tout pouvoir sur le devenir d’œuvres qui peuvent très bien retrouver un sens de Biens Commun (sur l'accessibilité notamment). Alors la question qui nous est posée ici, est peut être plus que le cadre qui nous oblige aujourd'hui à choisir entre "communication ou pas", mais peut être plus la durée ou les conditions de l'obligation de contacter l'auteur ou les ayant-droits lors de réutilisations d'une œuvre.
Autre réponse (à ton autre question) :
Contre l'auteur, oui, mais cela n'effacera pas le préjudice subit précédemment par la constitution du Projet X.
Contre Dogmazic, non. Enfin, si nous n'avons pas reçu de lettre stipulant l'infraction et la demande de retrait de celui-ci, Dogmazic ne craint rien, en vertu de la loi LCEN ( http://droit-de-commerce.blogspot.fr/2012/07/le-regime-actuel-de-la-responsabilite.html ).
Là il y a ici une question d'expression et de droit à l'expression que je rattacherai aussi au droit d'expression sur scène. Le droit d'auteur est un cadre limitatif, et la question de la liberté d'expression est toujours autant d'actualité. Dans les pays anglo-saxons la liberté d'expression est stipulée dans la constitution et est un fondement essentiel. En France et plus particulièrement en Europe, c'est cette idée là qui est reprise : Mais rien ne nous empêche, légalement parlant, de fermer les yeux sur toutes ces questions là, par militantisme pro-liberté d'expression, et de suivre les recommandations d'une lettre qui nous enjoindrait à supprimer telle œuvre au motif qu'elle serait contraire à un droit d'auteur.
Juste une petite histoire qui m'est arrivée récemment ; moi j'en tire la conclusion que, en particulier pour que le coté "libre diffusion" qui est la base des licences libres soit effectivement utile et utilisé, une archive maintenue aussi propre que possible est nécessaire - c'est à dire, ne pas appliquer la méthode "archive.org" (on ne retire que sur notification légale), mais d'appliquer la méthode Dogmazic (on fait confiance aux auditeurs pour signaler les morceaux, ensuite investigation).
Si vous lisez un peu le forum, vous avez peut-être entendu parler de la webradio que je maintiens, Wumzle Radio, qui va fêter ses deux ans d'existence dans quelques jours.
J'ai eu plusieurs fois (deux fois) des soucis avec des personnes qui avaient mis sous licence libre ou ouverte des morceaux pour lesquels ils ne détenaient pas les droits.
La première fois, c'était un morceau trouvé sur Archive via le netlabel blocSonic. Le label m'a répondu qu'ils était tout à fait conscients du fait que certaines de leurs releases incorporaient des éléments tiers sans autorisation, que c'était pas leur boulot de faire la police parmi leurs artistes, et que tant qu'ils ne recevraient pas une plainte DMCA ils ne retireraient rien.
Je ne pouvais donc plus avoir la moindre confiance quand à mon droit de diiffuser les morceaux de ce label, je l'ai donc supprimé de la rotation à l'antenne. Depuis, j'ai recontacté plusieurs fois le label, en indiquant que j'étais prêt à diffuser tout morceaux pour lesquels il n'y avait pas à leur connaissance d'infraction au droit d'auteur, mais je n'ai jamais obtenu de réponse.
La deuxième fois, c'est tout récent, ça date de la semaine dernière.
Ça commence en octobre 2011. Un auditteur (Equilibre pour le nommer) m'a suggéré d'ajouter Logan Dataspirit à la radio (le Grain Blanc EP venait juste de sortir). J'ai écouté, j'ai apprécié, j'ai téléchargé l'intégrale via Dogmazic et la rotation a commencé.
Je dois dire que j'étais fortement admiratif de la démarche de Logan, qui contacte ses anciens micro-labels sur lesquels il a sorti des trucs (je suppose) pour obtenir l’autorisation de libérer les morceaux.
Un ce ces morceaux, c'est un remix de So Far Away par Rumi & Solveig Featuring Rachel Claudio. Je n'auraias pas imaginé une seul minute que le Solveig en question aurait pu être en fait Martin Solveig, plus ou moins célèbre producteur de dance music, signé sur un label conventionnel et sacemisé.
La semaine dernière, donc, j'ai enregistré un remix du remix que j'ai publié sur Dogma dans la foulée - le morceaux étant sous by-sa.
J'ai posté sur le forum.
Collègue a immédiatement senti le truc pas clair. On s'est renseigné un peu, et, bon, ben 'So Far Away' est une chanson de Martin Solveig.
Vous vous rendez compte du truc ? Ça fait dix mois que je playlist ce morceau sur la radio, le présentant comme libre, alors qu'il est en fait totalement illégal.
Je ne puise plus, depuis longtemps, sur Archive pour alimenter la radio, à moins que je connaisse bien le groupe et que je sois sûr qu'il n'y aura pas de problème.
J'aimerai bien pouvoir continuer à puiser dans le catalogue de Dogmazic pour trouver de la musique librement diffusable pour ma radio. Ma culture musicale n'est pas infinie, et je ne peux que rarement déceler par moi même la présence d'un sample non déclaré ou autre.
J'ai contacté Logan pour lui dire que je retirais ses morceaux de la radio, et que j'étais prêt à ré-introduire plus tard ceux pour lesquels aucun ayant droit tiers n'est lésé. Je n'ai pas eu de réponse à ce jour.
Je redis ce que j'ai déjà dis : je crois que le manque de discernement de certain(e)s qui incorporent dans leur musique dite "libre" des éléments pour lesquels ils ne possèdent pas les droits est un frein sérieux à la généralisation de deux des objectifs qui sont au cœur de l'intention des licences : la libre diffusion et la possibilité de création de travaux dérivés.
La loi dit :
Si un hébergeur héberge du contenu pirate et que c'est une intention de sa part : il y a possibilité de poursuites.
Si un hébergeur n'est pas au courant que le contenu hébergé est piraté, il peut héberger sans soucis, mais dès qu'il reçoit une plainte, il doit supprimer le contenu.
Donc archive.org ou tout autre netlabel sont dans leur droit si l'ayant-droit ne leur a pas fait signe... Nuance faite du gars du netlabel qui de toutes façons connaît cela et "tolère".
Et oui, mille fois oui, cela retombera toujours sur les initiatives non commerciales, ta webradio en l'occurrence, mais aussi une école, une association à but non lucratif qui pensaient qu'avec cet artiste sous lal il n'y aurait pas de soucis...
C'est un vrai problème de dénomination de ce qui est libre ou pas.