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Nous trahissons le monde de la musique libre pour l'ennemi

novembre -1 modifié dans Economie de la musique
Eh oui. Nous venons de signer avec un label en Allemagne et c'est claire: absolument impossible de travailler avec un label (qui doit payer des factures et salaires aussi) si on ne peut pas gagner sur la diffusion.

Voyons qu'est-ce que ca donne - on va faire le compte dans un an, mais nous n'avons pas trouvé un seul distributeur (grossiste), qui prend un disque sans labelcode - et la vente des CDs autoproduits sur les sites spécialisées semble encore mal organisé et peu prometteur. Nous vendons nos CDs sur nos concerts, mais pour gagner ailleurs ..... je ne vois pas d'alternative à "l'industrie".

Je suis obligé d'effacer les morceaux dudeuxième CD de notre groupe "The Electric Church" début septembre

Stefan
«13

Réponses

  • pas compris
    peux tu essayer de préciser
    tu veux dire que vous êtes "obligés " d'abandonner les licences de libre diffusion ? ou la diffusion sur dogmazix ?
    parce que :
    1° vous avez signé sur un label allemand
    2° qu'il exige un "labelcode" (quoi qu'est-ce please ? le truc qui fait bip quand on sort du magasin ?)
    3° que vous "vendez" votre disque ? (en concert ou aileurs)

    humm
    il y a ici pas mal de groupes ou d'artistes qui
    1° sont signés sur des labels
    2° commercialisent leur musique
    3° mettent en ligne un ou plusieurs ou la totalité des morceaux dudit disque sur dogmazic ou ailleurs
    4° vendent des disques, des tee-shirt etc.
    5° tout cela en demeurant sous licence de libre diffusion

    je vois vraiment pas où est le problème
    si votre label exige que vous effaciez les morceaux du disque de la base de données de dogmazic, parce qu'ils pensent que ça va nuire à leur commercialisation (à mon avis ça ne changera pas grand chose mais enfin.. pourquoi pas)
    ben ok
    faites le, on peut le comprendre

    mais souhaitez vous en plus abandonner la licence de libre diffusion attachée à cet album ?
    là je vois pas pourquoi..
    ce que dit cette licence c'est que si quelqu'un achête votre disque par exemple, hé bien il pourra le copier pour ses amis, le diffuser dans une soirée,n sans être emmerdé par un organisme de gestion des droits d'auteur

    ça embête votre nouveau label ça ??

    si c'est le cas c'est dommage
    faudrait leur expliquer alors, faire un peu de pédagogie
    il y a beaucoup de labels ici que ça ne gène pas

    mais bon peut-être je n'ai pas bien compris votre problème
  • Houlà - tu n'es pas encore au courant comment les frais et droits sont payés dans le monde de la musique....

    un label (un vrai - pas une asso de con qui s'appelle "label" pour sembler pro mais qui n'a pas de liens avec le monde pro de la musique) s'identifie par son label-code, qui se trouve sur le dos de l'emballage CD. Les Majors ne le donnent plus, mais les labels plus petits (en dessous de 1 million de CDs par an) l'impriment presque toujours. Un truc oval avec LC et un groupe de chiffres.

    Ce labelcode identifie à la GEMA, ATK, SACEM, AAA QUI s'occupe des droits d'auteur, droits de diffusion etc. Il est assez simple: sans un labelcode, beaucoup de stations radio refusent de jouer un CD. Point barre. Les Radios ne veulent pas risquer de diffuser une reprise qui se cache en version "originale", ils aiment la facilité d'avoir le labelcode et - au cas ou - pouvoir dire que le paiement est envoyé à la SACEM pour la diffusion du titre ABCDEF, no int'l de l'oeuvre 123456790, LC12345....

    Notre label demande que nous laissons notre musique sous la gérance de la GEMA (SACEM en Allemand); ils disent (et je les crois) qu'il est simplement impossible de faire comprendre aux radios l'avantage de la musique libre. Les médias sont loin de changer leur procédure standard.

    Ca ne fait pas des frais pour nous, il n'y a pas de désavantages pour nous ..... Nous avons eu 23000 écoutes et 6500 downloads ici dans les derniers 15 mois et nous cherchons de grandir un peu plus. Si ca fonctionne avec le label, on accepte leurs règles de jeu, sinon on retourne dans la diffusion libre, qui malheureusement se traduit "impayé"

    Stefan
  • Houlà - tu n'es pas encore au courant comment les frais et droits sont payés dans le monde de la musique...
    .

    alors là déjà ne me prends pas pour un con quand même
    j'ai publié et commercialisé une bonne dizaine de disques
    (y compris à la fnac et ailleurs)
    simplement ce que tu appeles "labelcode", moi je l'appelle la mention SACEM voilà tout
    mais sans doute étais-je le seul à ne pas savoir ça
    (labelcode doit être la terminologie en vigueur en allemagne si je ne m'abuse, en France ça se dit pas comme ça)
    un label (un vrai - pas une asso de con qui s'appelle "label" pour sembler pro mais qui n'a pas de liens avec le monde pro de la musique)

    là ça m'intéresserait de savoir quel est le nom du label qui vient de vous signer
    parce que mine de rien tu viens de traiter les labels de dogmazic (dont le mien) d' assos de cons
    c'est mal parti à mon avis
    s'identifie par son label-code, qui se trouve sur le dos de l'emballage CD. Les Majors ne le donnent plus, mais les labels plus petits (en dessous de 1 million de CDs par an) l'impriment presque toujours. Un truc oval avec LC et un groupe de chiffres.

    hé bien moi j'ai commercialisé un paquet de scud sans ce fameux labelcode
    étonnant non ?
    Ce labelcode identifie à la GEMA, ATK, SACEM, AAA QUI s'occupe des droits d'auteur, droits de diffusion etc. Il est assez simple: sans un labelcode, beaucoup de stations radio refusent de jouer un CD. Point barre. Les Radios ne veulent pas risquer de diffuser une reprise qui se cache en version "originale", ils aiment la facilité d'avoir le labelcode et - au cas ou - pouvoir dire que le paiement est envoyé à la SACEM pour la diffusion du titre ABCDEF, no int'l de l'oeuvre 123456790, LC12345...
    .

    quand tu n'es pas à la sacem uil y a moyen de trouver un presseur qui n'impose pas ce label code (d'autant plus que les presseurs n'ont aucun droit à imposer ce labelcode soit dit en passant
    il y a eu plein de posts là dessus sur dogmazic et ailleurs, je te laisse faire une recherche (sauf que tu sembles tout savoir et être extrêmement sûr de toi)
    Notre label demande que nous laissons notre musique sous la gérance de la GEMA (SACEM en Allemand); ils disent (et je les crois) qu'il est simplement impossible de faire comprendre aux radios l'avantage de la musique libre. Les médias sont loin de changer leur procédure standard.

    donc le label vous impose d'abandonner les licences de libre diffusion
    à vous de voir
    c'est vous qui signez le contrat
    Ca ne fait pas des frais pour nous, il n'y a pas de désavantages pour nous ..... Nous avons eu 23000 écoutes et 6500 downloads ici dans les derniers 15 mois et nous cherchons de grandir un peu plus. Si ca fonctionne avec le label, on accepte leurs règles de jeu, sinon on retourne dans la diffusion libre, qui malheureusement se traduit "impayé"

    ben oui
    c'est cool
    je m'en vais je reviens ça me coute pas un centime
    c'est génial
    pourquoi vous plaignez vous alors ?
    je comprend toujours pas
    1° la raison de votre premier message
    2° pourquoi tu traites les labels de dogmazic d' asso de cons

    bon vous êtes en passe de devenir des stars, vous êtes signés sur un label allemand (lequel ?)
    ben bravo
    je suis content pour vous
    (ils comptent sortir combien d'exemplaires ?? je serais curieux de savoir)
    j'espère que vous n'aurez pas à vous rabaisser dans le futur à revenir mettre en ligne vos morceaux sur dogmazic, cette asso de cons...
    ce serait une sacrée régression quand même
  • Houlà - tu n'es pas encore au courant comment les frais et droits sont payés dans le monde de la musique....
    pourtant, j'ai plein de CD sans code LC moi ! :D

    en fait :
    http://www.sppf.com/telecharger/lc_mode_emploi.pdf
  • Je ne doute pas qu'on peut faire presser un disque sans se soumettre à la SACEM. Nous l'avons fait avec notre dernier CD.

    Il n'est absolument pas intéressant de collaborer avec un "label" qui n'a pas son catalogue chez tous les vendeurs de disque et qui ne sait pas assurer une distribution internationale. Nous jouons en France, Grande Bretagne et Allemagne, nous tentons de jouer des concerts et festivals plus grands qu'avant et un bon label et un bon booker aident ENORMEMENT à "ouvrir les portes".

    Nous sommes un groupe de musique qui rame assez et que se rend bien conte du fait qu'il y a 99% de chance de faire naufrage et 1% de réussir. Pou réussir, nous avons tenté la licence libre pendant 18 mois, maintenant nous allons essayer la version "classique". Pour moi, le CD est un véhicule pour intéresser les gens à nos concerts - et si on gagne un peu avec: tant mieux.

    Stefan

    qui a une définition assez modeste de "success". Si nous réussissons de jouer 50 concerts bien payé par an dans des clubs de 200 - 400 spectateurs .... un rêve!!! Notre musique ne passe pas dans la téloche et nous sommes trop vieux pour attirer un publique "hip"
  • comment s'appelle votre label ?
  • certains des arguments me semblent à la fois trop tranchés voire brutaux (neltlabel libre = asso de cons : inacceptable) et pas assez argumentés, par ailleurs.

    le fameux LC, ok, reste à voir ce que c'est exactement.

    reste que certains labels diffusant et distribuant des cd sous licence libre ont des contrats avec des distributeurs, par lesquels leurs cd sont vendus à la fnoc et autres circuits classiques. ils ont accès aux marchés classiques que leur ouvre ce système et en plus aux marchés inattendus que leur permet d'atteindre la diffusion universelle sur internet.

    pour ce qui est des radios qui refusent ou restent figés dans le schéma classique... certes, le poids des schémas actuels conduit nombre d'acteurs de la chaîne du milieu de la musique (de l'auteur au mélomane, autrement dit du producteur au consommateur) à rester confortablement/frileusement dans le cadre bien défini de la distribution et diffusion actuelle, lequel cadre a quand même du plomb dans l'aile de l'aveu même de tous ses acteurs.

    mais rien n'empêche une radio ou quelque autre organe de diffusion de programmer aussi des musiques sous licence libre :
    il ne faut pas confondre les régles et contraintes économiques, contractuelles, d'un marché avec les régles et statuts juridiques de droit d'auteur.

    ton histoire, en dépassionnant un peu (parce que bon, le ton que tu emploies est un peu virulent, on se demande pourquoi), montre bien où nous en sommes :
    la création et diffusion de musique libre est de plus en plus importante, en qualité comme en quantité. on approche d'une masse critique rendant la chose incoutournable.
    et incontournable en tant que telle.
    je veux dire par là que le système industriel actuel de distribution de la musique (majors, distributeurs, radios et autres diffuseurs) va rencontrer de plus en plus souvent l'opportunité de produire, vendre, diffuser des auteurs et des oeuvres sous licences libres.
    ce qui pose bien sûr des questions de tous ordres, juridiques, économiques et autres, qu'il va falloir étudier, affronter et régler. ok. où est le problème ? où est le besoin de ressentiment, de violence argumentaire ?
    ça va mettre du temps, parce qu'il va falloir créer de nouvelles régles, de nouveaux habitus, s'habituer à considérer le régime des licences libres pour ce qu'il est, c'est-à-dire
    juridiquement valide, économiquement viable, etc.

    c'est comme en 91 (au siècle dernier), pour les logiciels libres : ça n'existait pas économiquement, ça avait quatre ans d'existence, tout les acteurs installés de la chaîne économique informatique rigolaient ou s'en foutaient.
    (aujourd'hui, Sun, IBM, font du logiciel libre, Thalès, le ministère de la Défense, de nombreuses entreprises et états dans le monde utilisent du libre. 80% de l'architecture du net repose sur du libre, apache, et j'en passe)

    pour la musique, pour les oeuvres artistiques, on en est là ; ça commence ; ça n'est pas confortable ; le moment est délicat, charnière. et tout est ouvert.
  • sur ton titre : "Nous trahissons le monde de la musique libre pour l'ennemi"

    il est très étonnant. tu dis trahir, mais tu argumentes avec violence contre ceux que tu "trahirais", rejetant la faute sur eux.
    et tu parles de "l'ennemi". mais tu ne penses pas que ce soit l'ennemi, sinon tu n'irais pas chez eux, si ?
  • Information is not knowledge

    Indeed !!!

    Et en passant l'asso de con que je représente te dis meuh !

    dF
  • Arch. Moi qui connait assez bien Stefan/shovelhead personnellement (quelques concerts ensemble), je peux vous conseiller de ne pas bloquer sur le ton un peu rude de ses posts. Il parle comme ça, et ça colle assez avec le personnage, direct et avec des tournures de phrase allemandes françisées. :D

    Sinon sur le fond, bah, je trouve déjà plus sympa de venir le dire sur le forum que d'effacer discrétement ses morceaux de l'archive. Au moins il peut y avoir échange, connaître les raisons, les motivations...faut pas s'attendre non plus à le faire changer d'avis, mais au moins c'est intéressant.
  • ok
    mais c'est quoi le nom du label please ?
  • Moi, je post rien ici, j'doit etre trop con . hein tdBt , on fait partie des ces pov' mec qui font tellemnt d'la merde dans leur pauvre label associatif qu'on nous signera surement jamais en allemagne...j'vai pas en dormir de la nuit...j'suis un looser..j'suis un looser..j'suis un looser..

    [edit]
    PS: connard va !!!
  • rhôô, tsunami, ça c'est positivant comme message, ça ça me réconforte !
    oui il y va fort, oui il déborde un peu, mais pas la peine de s'énerver comme lui..
    surtout après le message de xulops, qui devrait permettre à tous de respirer un peu par le nez...
  • juillet 2007 modifié
    heu franchement cher bituur moi je comprends tsunami
    quand tu as fait ce boulot de tenir un label, avec tout ce que ça demande d'energie de sacrifice et que tu t'entendes soucdainement traité d'asso de cons
    ça laisse pour le moins songeur
    et :
    xulops a dit qu'il n'avait pas sa langue dans sa poche
    ben tu vois nous non plus
    et je vois pas pourquoi on devrait la garder dans sa poche notre fichu langue de mendiant d'ailleurs (oops ! je confond avec un autre post sympathique on dirait)
    (cela dit je comprends aussi que tu exerces ton rôle de modérateur mon cher)

    surtout que par curiosité j'ai écouté the electric church
    alors moi label pro je veux bien mais bon
    j'ai un peu halluciné là
    le blues rock pour moi ça s'arrête à ACDC et john spencer blues explosion, donc bon j'y connais rien
    j'ai quand même du mal à imaginer qu'on puisse vendre dix mille exemplaires de cette musique là - ou, alors vraiment je vis sur la planète mars (ce qui est bien possible d'ailleurs vu mes goûts musicaux un peu particuliers)
    j'attends de savoir jusqu'à quel point ce label est un label pro
    c'est quoi un label pro, la différence avec une asso de cons ?
    dix mille exemplaires ? mille ? cent ?
    ça me fait penser à ces musiciens qui pètent un cablos parce qu'ils sont signés
    beaucoup de labels que je connais promettent monts et merveilles à des gens qui attendent qu'on leur promette précisément monts et merveilles
    j'ai comme un doute là

    mais : j'espère sincèrement qu'il existe une scène pour le hard blues
    j'imagine qu'il y en a une
    j'imagine qu'il y a un label allemand spécialisé dans le hard blues et un marché pour ce genre de musique
    enfin je suppose

    c'est quoi le nom du label
  • Ouai mais bon, trop tard, je suis venere, sous pretexte que MONSIEUR signe sur un label allemand,"pro" (ca veut dire quoi "pro" ?) , le reste c'est d'la merde??! il nous prends un peu de haut, moi aussi j'connai le milieu "clasique" de la musique (pas le milieu de la musique classique ;) ). et si lui est assez con pour accepter des exigeances comme ça de son label, et bien il devrait pas etre fier c'est tout . Il a pas encore compris qu'etre sous CC n'empeche pas d'avoir une distrib international.

    Et puis, encore un qui a choisi les CC non pas par conviction, mais juste parce que au moins, y pas de paperasse a faire avec la sacem ou equivalent, mais une fois signé, il n'en a plus rien a battre .. pfff, voila c'est malin, j'suis tout enervé maintenant :twisted:
  • simplement pour dire qu'on s'en fout, c'était.
    ce n'est pas le premier qui trouve cool de diffuser sur le net pour se faire connaitre, le libre en gros rien à foutre, et puis après tout soudain d'un coup une "maison de disques", un "label", un "producteur", un "pro" quoi (mouarff) lui dit "un havane serge ?" et il signe... et accepte toutes les conditions. bon, ok, qu'est-ce qu'on y peut, va-t-on en faire tout un flan ? non.

    même chose pour de nombreux membres de la sacem qui connaissent même pas leurs statuts et connaissent rien au libre non plus, ce qui compte c'est la diffusion libre sur internet - j'en ai encore désactivé un hier soir -

    "diffusion libre sur internet" : voilà le truc, ça ça plait à tout le monde, sans considération aucune pour ce que ça veut dire, ni ce que ça implique. ce qui montre bien que ceux qui sont dans la merde, ce sont les "pro", les "producteur", les labels", les "maison de disques"..
    nous non, ça va :lol:
  • ben oui on est tout enervé du coup :)

    bon
    y'aurait pas eu certains mots ça serait mieux passé
    c'est important les mots
    et puis en ce moment je sais pas pour vous, y'a comme une ambiance sur ce forum
    des guss qui ont tout compris et viennent faire la leçon aux pauvres ahuris cryptocommunistes que nous sommes
    y'en a une floppée ces derniers temps

    (alors ça n'a rien à voir désolé mais je peux pas m'empêcher d'y penser, mais ça me fait penser justement à cette invasion d'internautes (de droite) décomplexés depuis environ janvier - lisez quelques forums "politiques" sur le net.. c'est impressionant
    disons qu'il y a là un nouveau style, une nouvelle manière de "communiquer"
    du style, si t'es pas de mon avis t'es un cryptocommuniste
    je préférais le temps du politquement correct somme toute
    mais bon
    ça n'a rien à voir hein
    l'éthique de la conversation
    c'est-à-dire que si tu commences à mépriser ton interlocuteur, ou à traiter sa mère, ben forcément ça augure pas d'une discussion très argumentée)

    pour the electric church, enfin, son représentant
    j'ai surtout l'impression qu'il y a un malaise, une vague culpabilité due au fait d'abandonner les licences libres, d'où un message finalement assez angoissé, et une attaque contre les licences libres parce que justement il s'en veut de les abandonner (il y a une partie de lui qui s'en veut)
    c'est un mécanisme assez classique
    on peut haîr par amour

    c'est quoi votre label pro au fait ?
  • Le truc que je me demande, c'est combien d'années la "prison" GEMA ?
  • dana écrit:

    c'est quoi votre label pro au fait ?


    Dana, je te libère de cette cruelle intérogation :)
    l'info est là : http://perso.orange.fr/theelectricchurch/tec/french.html

    En résumé : TRIBAL STOMP http://www.shackmedia.de
  • merci xul !

    bon
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