Peut-être parce-que c'est pas en se prenant en photo dans les champs qu'on est courant de tout et de comment ça marche en 2007... Et c'est un gars vert comme une kro qui te le dit.
t'es qui toi ?
(putain encore un adepte des attques ad hominem.. mais quel est le rapport entre ce qui se dit ici et mes vidéos ou photos (cf. l'autre post) )
y'a des grands malades sur ce forum hein..
J'suis un gars qui regarde ce que font les gens qui causent dans un forum.
Tu confondrais pas "ad hominem" avec "ad personam"? Parce-que ce dernier est une attaque personnelle alors que le premier est un argument trés utilisé en réthorique. A moins que tu considères toi-même tes photos ou tes vidéos comme étant des éléments gênants, alors là...
Ce qui m'a toujours un peu surpris, c'est la démarche industrielle universellement recherchée : nous voulons vivre en faisant de la musique (des gosses, des bagnoles, comme tout le monde) alors que très peu savent le faire. Ceux-là ont fait "le pacte" comme il a été dit.
Ou plus souvent, il connaissent du monde dans le milieu (fils de, cousin de, etc).
Maintenant, je serais curieux de savoir combien de groupaillons vivent de leur musique - et d'ailleurs, c'est quoi vivre de sa musique (un jet privé ? le petit dej avec Sarko ? un mariage avec une actrice de série à succès ?) - Et je jure que je ne suis pas jaloux : je n'en voudrais plus de cette vie là ! Putain, non !
Mais faire entendre sa musique pour le plaisir, c'est... comment dire... économiquement criminel pour ceux qui en vivent, pour tout ce qui grouille autour de l'acte musical en acteur ou en parasite.
Je pensais naïvement (et je caricature là, hein) que les labels signaient des groupes "prometteurs", sous entendu avec un "réel potentiel commercial" : en gros, les musiciens émergeaient dans les voies du succès et certains gros cigares voyaient une bonne opportunité de se faire du blé en commercialisant leur babils.
Apparemment, aujourd'hui - j'ai dit que je faisais le naïf - c'est "personne ne me connait, mais comme j'ai signé, ça va changer". Un vrai conte de fée...
Mais Why not, tant que ça ne me copûte pas des cotisations supplémentaires.
j'ai une méfiance naturelle du "musicien professionnel", celui qui m'a dit un jour que je faisais de la "musique au black", que lui avait besoin de croûtern pour seul argument économico-artistique. Mort aux amateurs ratiboiseurs de cachetons !
Bon tout ça est très décousu, réaction à chaud.
En fait, la grande industrie est moribonde (voir un article dans un récent "Rock & Folk") et cherche des produits (pardon, des groupes, mais on est dans le monde insustriel, alors...) pour ce refaire. Elle prévoit la chute et la dispersion des catalogues d'ici à cinq ans. Demain. S'ils ne vendent plus de CD, ils chercheront à s'approprier tout ce qui diffuse de la musique.
Après tout, ils ont bien inventé le téléchargement payant de la musique !
Tu te fais plaisir, là.
Et j'ai lu, môsieur, ce que tu fais. Je vois pas ce qu'il y a d'époustouflant. Tout juste un peu de rêverie, beaucoup d'optimisme gratuit, le tout sacrément virtuel.
C'est bien, c'est tout mignon, mais ça va pas trés loin tout ça, localement comme universellement. Désolé mais t'enfonce dans du vide. Je reste d'accord avec Shovelhead qui explique trés bien les limites du libre. Et elles sont vite là.
Tu confondrais pas "ad hominem" avec "ad personam"? Parce-que ce dernier est une attaque personnelle alors que le premier est un argument trés utilisé en réthorique. A moins que tu considères toi-même tes photos ou tes vidéos comme étant des éléments gênants, alors là...
ha un spécialiste de Cicéron (un folksinger italien)
tu peux me rappele ce passage du De Oratore où Ciceron distingue argument ad hominem et argument ad personam
où est-ce la rhétorique d'Aristote ?
L'attaque personnelle (διαβολή), l'appel à la pitié, l'excitation à la colère et aux autres passions analogues de l'âme ont en vue non l'affaire elle-même, mais le juge. C'est au point que, si l'on faisait pour tous les jugements ce qui se fait encore aujourd'hui dans quelques cités, et des mieux policées, ces rhéteurs n'auraient rien à mettre dans leurs traités.
aristote, rhétorique, I,4 (sauf qu'Aristote n'aurait pas écrit "ad hominem" pour une raison que tu as sans doute deviné)
sinon, si tu t'intéresses toi aussi à la rhétorique, je te conseille les bouquins de Pierre Pellegrin, que j'ai eu l'honneur d'avoir comme enseignant autrefois.
Bien maître, mais non, j'aime Cioran et j'ai juste une bonne culture générale.
(et j'ai pas besoin non plus de me la péter en ramenant des citations ou des noms de bouquins...)
Réponses
t'es qui toi ?
(putain encore un adepte des attques ad hominem.. mais quel est le rapport entre ce qui se dit ici et mes vidéos ou photos (cf. l'autre post) )
y'a des grands malades sur ce forum hein..
Tu confondrais pas "ad hominem" avec "ad personam"? Parce-que ce dernier est une attaque personnelle alors que le premier est un argument trés utilisé en réthorique. A moins que tu considères toi-même tes photos ou tes vidéos comme étant des éléments gênants, alors là...
Aller pour enfoncer le clou...
http://aisyk.blogspot.com/2007/07/chapeau-bas-jarring-effects.html
Ou plus souvent, il connaissent du monde dans le milieu (fils de, cousin de, etc).
Maintenant, je serais curieux de savoir combien de groupaillons vivent de leur musique - et d'ailleurs, c'est quoi vivre de sa musique (un jet privé ? le petit dej avec Sarko ? un mariage avec une actrice de série à succès ?) - Et je jure que je ne suis pas jaloux : je n'en voudrais plus de cette vie là ! Putain, non !
Mais faire entendre sa musique pour le plaisir, c'est... comment dire... économiquement criminel pour ceux qui en vivent, pour tout ce qui grouille autour de l'acte musical en acteur ou en parasite.
Je pensais naïvement (et je caricature là, hein) que les labels signaient des groupes "prometteurs", sous entendu avec un "réel potentiel commercial" : en gros, les musiciens émergeaient dans les voies du succès et certains gros cigares voyaient une bonne opportunité de se faire du blé en commercialisant leur babils.
Apparemment, aujourd'hui - j'ai dit que je faisais le naïf - c'est "personne ne me connait, mais comme j'ai signé, ça va changer". Un vrai conte de fée...
Mais Why not, tant que ça ne me copûte pas des cotisations supplémentaires.
j'ai une méfiance naturelle du "musicien professionnel", celui qui m'a dit un jour que je faisais de la "musique au black", que lui avait besoin de croûtern pour seul argument économico-artistique. Mort aux amateurs ratiboiseurs de cachetons !
Bon tout ça est très décousu, réaction à chaud.
En fait, la grande industrie est moribonde (voir un article dans un récent "Rock & Folk") et cherche des produits (pardon, des groupes, mais on est dans le monde insustriel, alors...) pour ce refaire. Elle prévoit la chute et la dispersion des catalogues d'ici à cinq ans. Demain. S'ils ne vendent plus de CD, ils chercheront à s'approprier tout ce qui diffuse de la musique.
Après tout, ils ont bien inventé le téléchargement payant de la musique !
Et j'ai lu, môsieur, ce que tu fais. Je vois pas ce qu'il y a d'époustouflant. Tout juste un peu de rêverie, beaucoup d'optimisme gratuit, le tout sacrément virtuel.
C'est bien, c'est tout mignon, mais ça va pas trés loin tout ça, localement comme universellement. Désolé mais t'enfonce dans du vide. Je reste d'accord avec Shovelhead qui explique trés bien les limites du libre. Et elles sont vite là.
ha un spécialiste de Cicéron (un folksinger italien)
tu peux me rappele ce passage du De Oratore où Ciceron distingue argument ad hominem et argument ad personam
où est-ce la rhétorique d'Aristote ?
aristote, rhétorique, I,4 (sauf qu'Aristote n'aurait pas écrit "ad hominem" pour une raison que tu as sans doute deviné)
sinon, si tu t'intéresses toi aussi à la rhétorique, je te conseille les bouquins de Pierre Pellegrin, que j'ai eu l'honneur d'avoir comme enseignant autrefois.
(et j'ai pas besoin non plus de me la péter en ramenant des citations ou des noms de bouquins...)
Une question tout de même Où ou ou? C'est pas trés clair.
disons : ou sans accent
je te remercie de m'avoir signalé cette faute
Aurais-tu relever mon intervention au sujet de tes photos si j'avais tourné la chose afin qu'elle faille plutôt gentillement sourire?
gentiment sourire comme tu dis
et en rester là
(suis épuisé là de cette semaine)
welcome donc