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Dogmazic dans Wikipedia

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Réponses

  • Pendant qu'on y est: si certains ici désirent jeter un coup d'oeil sur ces quelques articles, juste au cas où il y aurait des biais...

    Sacem:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_des_auteurs%2C_compositeurs_et_%C3%A9diteurs_de_musique

    Magasin de musique en ligne:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Magasin_de_musique_en_ligne

    DADVSI
    http://fr.wikipedia.org/wiki/DADVSI

    Pascal Nègre:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_N%C3%A8gre
  • Passionnant, l'article sur Pascal...
    Son meilleur poste est quand même à la Starac !
    Puis aucun risque que je télécharge ce truc !
  • Dans l'article sur les magasins de téléchargement, quelqu'un qui maîtrise pourrait-il corriger en rajoutant un "s" à "licence" sur le passage

    [code:1]La musique y est diffusée gratuitement et légalement grâce à l'utilisation de [[licence de libre diffusion]] telles que les [[licences Creative Commons]].
    [/code:1]

    Comme il y a des crochets, je hume qu'en rajoutant le s directement sans rien faire je ne bousille quelque chose. J'ai déjà corrigé l'orthographe pour le reste.
  • Sur ma lancée, je viens de créer l'article de Jullian Angel (sa musique est tellement bonne...) sur Wikipédia, pareil, il y a peut être des trucs à corriger/compléter...
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jullian_Angel

    Il y a quelques temps, j'avais aussi étoffé l'article de Miss Hélium, un autre groupe présent sur dogmazic:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Miss_H%C3%A9lium

    Je précise quand même, tous les groupes ne peuvent pas avoir un article sur cette encyclopédie, seulement ceux qui respectent certains critères. Quelques exemples de critères qui pourraient éventuellement s'appliquer à des artistes de Dogmazic:
    # A fait une tournée internationale ou nationale dans au moins un pays de taille moyenne rapportée par des sources notoires et vérifiables.
    # A eu un article de fond dans un média musical important ou de nombreux articles de presse publiés par des sources indépendantes
    # A joué pour un média important. Exemple : thème pour une émission de télévision
    # A été diffusé au niveau national par des radios importantes
    # A été le sujet d'une émission de plus d'une demi-heure sur une radio ou télévision nationale importante

    Pour ceux que ça intéresse, voici le détail des critères d'admission sur l'encyclopédie:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Notori%C3%A9t%C3%A9_de_la_musique
  • Je remonte ce thread parce que un wikipedien même pas anonyme à remis en cause la pertinence de cet article, argüant que la confusion entre musique libre et musique gratuite était patente... Je vous en laisse jusges...
    J'en ai profité pour tenter d'améliorer cette très bonne base d'article :D
    n'hésitez pas à compléter/améiorer/(caviarder)
  • J'ai ajouté {{désaccord de pertinence}} car l'article entretient la confusion entre musique libre et simple musique gratuite (qui interdit donc toute utilisation professionnelle). Marc Mongenet (d) 21 janvier 2008 à 23:15 (CET)

    voilà :)
    haha
    n'importe nawak
  • J'adore l'argument pour contester la pertinence de la référence aux musiques libres :
    l'article entretient la confusion entre musique libre et simple musique gratuite (qui interdit donc toute utilisation professionnelle)

    "Simple musique gratuite", ça c'est fort !
    Non, la musique sous licence ouverte, même avec clause NC ou ND n'est pas simplement de la "musique gratuite".
    Et qu'est-ce qu'une utilisation "professionnelle" ? Je suppose que le gars veut en fait parler d'utilisation marchande : un "professionnel" serait donc forcément quelqu'un qui aurait quelque chose à vendre. Prenons l'exemple d'un médiathécaire (professionnel : diplômé, salarié, reconnu par ses pairs, et tout et tout) qui utilise de la musique sous licence NC pour une expo dans sa médiathèque, ou qui crée des sélections thématiques sur Automazic à destination des usagers, n'est-ce pas une utilisation "professionnelle" tout à fait compatible avec la clause NC ?

    Je suis allé voir l'article "Contenu libre".
    Il indique :
    La notion de contenu libre est apparue à la suite de celle de logiciel libre et en constitue une extension. Des débats sont encore en cours pour définir les droits minimaux qui devraient être associés à une production intellectuelle pour que ce contenu puisse être considéré comme libre.
    Le droit de redistribution est unanimement considéré comme indissociable de la notion "contenu libre"
    Le droit de modification est considéré par certains comme une option pour certains types de contenus, artistiques ou scientifiques notamment. D'autres, plus proches de la logique originale des logiciels libres, considèrent qu'aucun contenu ne peut être défini comme libre si l'utilisateur n'a pas le droit de le modifier.
    Le droit d'utilisation commerciale est aussi considéré comme évident par les uns, alors que d'autres souhaitent pouvoir le restreindre ou l'interdire, réservant les libertés à l'utilisateur final de l'œuvre.
    Il rend donc compte de manière neutre des points de dissension, sans exclure a priori du champ du "libre" les clauses NC ou ND.

    L'article "Licence Libre" semblait, lui, beaucoup plus orienté :
    Une licence libre est une licence s'appliquant à une œuvre (de nature quelconque) pour en faire un contenu libre offrant à l'utilisateur certains droits quant à l'utilisation, à la modification, à la rediffusion et à la réutilisation de l'œuvre dans des œuvres dérivées. Une licence libre applique quatre types de liberté pour l'utilisateur d'une œuvre :

    * La possibilité d'utiliser l'œuvre, pour tous les usages;
    * La possibilité d'étudier l'œuvre;
    * La possibilité de redistribuer des copies de l'œuvre;
    * La possibilité de modifier l'œuvre de l'esprit et de publier ces modifications.

    On distingue en général les « licences de logiciels libres » des « licences de contenus libres », qui historiquement furent les premières à proposer ces droits.

    Par extension, on parle de « licence de libre diffusion » (ou LLD) pour les licences permettant au minimum la copie. Les licences libres sont des licences de libre diffusion, mais la réciproque n'est pas vraie. Par exemple, la licence Art Libre et la licence Creative Commons by-sa sont des licences libres, tandis que les licences Creative Commons by-nc-sa et Creative Commons by-nd ne sont pas des licences libres mais sont des licences de libre diffusion.

    Je l'ai modifié ainsi :
    Une licence libre est une licence s'appliquant à une œuvre (de nature quelconque) pour en faire un contenu libre offrant à l'utilisateur certains droits quant à l'utilisation, à la modification, à la rediffusion et à la réutilisation de l'œuvre dans des œuvres dérivées. Une licence libre applique quatre types de liberté pour l'utilisateur d'une œuvre :

    La possibilité d'utiliser l'œuvre, pour tous les usages ;
    La possibilité d'étudier l'œuvre ;
    La possibilité de redistribuer des copies de l'œuvre ;
    La possibilité de modifier l'œuvre de l'esprit et de publier ces modifications.

    On distingue en général les « licences de contenus libres » des « licences de logiciels libres », qui historiquement furent les premières à proposer ces droits.

    Par extension, on parle de « licence de libre diffusion » (ou LLD ou encore licence ouverte) pour les licences permettant au minimum la copie. L'utilisation de plus en plus répandue de ces licences dans le domaine artistique (musique, image, vidéo...) a vu se développer des pratiques qui diffèrent un peu de celles qui prévalaient dans le domaine des logiciels. Ainsi, les licences libres sont des licences de libre diffusion, mais la réciproque ne serait pas vraie, selon les tenants de la définition originelle. Par exemple, la licence Art Libre et la licence Creative Commons by-sa seraient des licences libres, tandis que les licences Creative Commons by-nc-sa et Creative Commons by-nd ne seraient pas des licences libres mais seulement des licences de libre diffusion. Toutefois, certains utilisateurs de ces dernières affirment que leurs licences méritent malgré tout d'être appelées libres, dans la mesure où elles permettent, en dehors du système marchand, le libre partage d'oeuvres culturelles. Ainsi, des oeuvres artistiques diffusées sous licence Creative Commons by-nc-sa garantissent bien les quatre types de liberté ainsi corrigées (la licence nd ne conservant, elle, que les trois premiers) :

    La possibilité d'utiliser l'œuvre, pour tous les usages non commerciaux ;
    La possibilité d'étudier l'œuvre ;
    La possibilité de redistribuer des copies de l'œuvre ;
    La possibilité de modifier l'œuvre de l'esprit et de publier ces modifications, à condition que cette publication ne soit pas commerciale.

    J'ai bien envie aussi de retoucher l'article "musiques libres"...
  • J'ai ajouté un article sur les "licences ouvertes" en copiant une partie des "licences libres".
    Il mériterait de nouvelles modifications sur les termes, mais c'est une bonne base de définition.
  • l'article entretient la confusion entre musique libre et simple musique gratuite (qui interdit donc toute utilisation professionnelle)

    Comment rendre une confusion encore plus confuse?
  • En parlant de licences ouvertes, on sort de ce genre de confusions. Un auteur ouvre des droits (utilisations, modifications...) sur ses œuvres.
    Simple musique gratuite, veut tout simplement dire, musique sans licence, donc des œuvres auxquelles s'applique le droit d'auteur par défaut hyper-restrictif (on ne peut rien en faire sans accord écrit d'un auteur).
  • Le bandeau n'y est plus, merci les gars :D
  • Le bandeau n'y est plus, merci les gars

    je plussoie
    ça c'est de la communauté réactive
    on est en forme en ce moment je trouve hein ?
  • de rien :)

    Bah j'avais du temps aujourd'hui (grêve :D )
  • Je ne m'étais jamais penché à fond sur ce type de problématique, donc je n'ai peut-être pas connaissance de tous les enjeux (et en tout cas aucune connaissance des débats antérieurs sur cette question), mais si j'ai bien compris, le gars qui a mis le bandeau est un orthodoxe du libre au sens "logiciel libre".

    Nul doute que l'utilisation pour la musique de licences ouvertes est dérivée de pratiques mises en place dans le monde du logiciel, mais il me semble que les orthodoxes devraient prendre en compte le fait qu'une oeuvre artistique n'est pas de même nature qu'un programme informatique (et donc nous lâcher un peu la grappe sur la définition du mot "libre").
    Si on reprend par exemple les 4 types de liberté qu'Aisyk lui-même affichait sur son blog, on se rend compte qu'il y en a au moins une qui n'est pas pertinente pour la musique.
    Liberté 2 : La liberté d'étudier le fonctionnement du programme (Ceci suppose l'accès au code source du programme)

    Quel est en effet le code source pour de la musique ?
    Partition, fichiers midis, pistes séparées, réglages d'effets ?
    Comment étudier le fonctionnement d'une musique ?
    Si on s'en tient à la stricte définition, une oeuvre intranscriptible sous forme de partition et dont l'auteur ne serait pas en mesure de fournir les sons isolés, ne pourrait être considérée comme de la musique libre, même en étant diffusée sous LAL. Le comble !

    Il me semble donc que la musique libre (quelle que soit l'appellation des licences et leur degré d'ouverture) ne peut répondre à la lettre aux définitions mises en place pour les logiciels.
    La musique libre, ce serait donc plutôt un ensemble de pratiques fondées sur la gestion individuelle des droits d'auteur, au sein de laquelle coexistent deux tendances :
    – l'utilisation de licences ouvertes comme simple outil de promotion, faute de "mieux",
    – l'utilisation de licences ouvertes dans un but subversif (les partisans de la LAL ayant pour stratégie d'infester le système, tandis que ceux de la clause NC s'emploient plutôt à faire exister l'art en dehors du système – mais dans les deux cas, la finalité n'est-elle pas la même ?).
  • Si on reprend par exemple les 4 types de liberté qu'Aisyk lui-même affichait sur son blog, on se rend compte qu'il y en a au moins une qui n'est pas pertinente pour la musique.
    Liberté 2 : La liberté d'étudier le fonctionnement du programme (Ceci suppose l'accès au code source du programme)

    Quel est en effet le code source pour de la musique ?
    Partition, fichiers midis, pistes séparées, réglages d'effets ?
    Comment étudier le fonctionnement d'une musique ?
    Si on s'en tient à la stricte définition, une oeuvre intranscriptible sous forme de partition et dont l'auteur ne serait pas en mesure de fournir les sons isolés, ne pourrait être considérée comme de la musique libre, même en étant diffusée sous LAL. Le comble !

    Il me semble donc que la musique libre (quelle que soit l'appellation des licences et leur degré d'ouverture) ne peut répondre à la lettre aux définitions mises en place pour les logiciels.

    Si, cette liberté c'est la meilleure :). Je planifie de mettre toutes mes paroles, tablature (ou en tout cas accord) et même analyse harmonique (bon ca c'est moi qui suit comme ca faut pas chercher; je fais des articles sur l'harmonie sur mon site) sur mon site
    Disons qu'elle est a prendre comme on la ressent, par exemple mettre à dispo des samples, tout ce qui permettrais à quelqu'un de rejouer ou de modifier la chanson en toute aise. Ce qui ne vaut que si on autorise le ND, la encore c'est selon chacun.
  • Pour faire respecter les conditions d'utilisation, en cas de procédure, rendre publics tous les éléments de fabrication de la musique empêchera de prouver qu'on est réellement l'auteur (condition indispensable pour que ce soit recevable), puisque n'importe qui peut apporter ces éléments. Pour le logiciel libre, les éléments de la réalisation du travail (les essais infructueux, les raison pour lesquelles on a choisi tel algoriythme ou tel autre) ne sont pas non plus divulgués.

    Étudier le fonctionnemnent d'une musique, c'est de la musicologie? Les musicologues n'ont pas besoin de samples pour ça.
  • janvier 2008 modifié
    Je ne m'étais jamais penché à fond sur ce type de problématique, donc je n'ai peut-être pas connaissance de tous les enjeux (et en tout cas aucune connaissance des débats antérieurs sur cette question

    Oulala, des débats il y en a eu, et il y en a encore, entre ayatollah du libre et CC tolérents.

    Pas plus tard que lundi dernier, au débat auquel j'ai participé à paname, il y avait des mots à bannir, comme "Creative Commons"...
    Perso, je suis de plus en plus partisan des licences copyleft, parce que leur philosophie me plait.

    Mais en tant que que co-fondateur de ce site et fidèle aux principes que nous défendons depuis 8 ans déjà, je prône avant tout comme liberté essentielle le choix de la gestion individuelle, et le choix de la licence que l'on veut utiliser, et je trouve toute cette guéguerre de clochers totalement néfaste pour le mouvement de la culture libre, qui doit accepter ses différences internes et donner ainsi une image moins fragile à l'ensemble de ses détracteurs.

    En tout cas, si tu veux des discussions sur le sujet en pagaille, commence par fouiller ce forum, tu seras très informé je te le garantie :lol:
  • Exemple de code source binaire...
    000101010100000000000111111111111110101010101
    ça c'est l'intro de.... Merde, je ne peux pas le dire, c'est pas libre !
  • Je ne m'étais jamais penché à fond sur ce type de problématique, donc je n'ai peut-être pas connaissance de tous les enjeux (et en tout cas aucune connaissance des débats antérieurs sur cette question), mais si j'ai bien compris, le gars qui a mis le bandeau est un orthodoxe du libre au sens "logiciel libre".
    peut-être, sauf que la confusion dans sa "question de pertinence" était encore plus grande que celle qu'il prétendait relever :
    en effet, que signifie "musique gratuite" ? rien.
    - universal et orange diffusant gratuitement un titre de madonna ont fait de la musique gratuite. et vende par ailleurs, évidemment.
    - radiohead proposant son 'In rainbows' à prix libre, contre paiement ou gratuitement, faisait de la musique gratuite.
    - rubin steiner, en showcase à barbey à bordeaux il y 3 ans, distribuait gratuitement un 4 titres, et vend par ailleurs.
    - lonah ou godon, (diffusant sous licence CC by-nc pour l'un, CC by-nc-nd pour l'autre), vendent cds et dvds, et diffusent gratuitement sur internet.
    et ainsi de suite ad libitum.

    on le voit, musique gratuite ne veut rien dire. la musique gratuite n'existe pas.
    diffusion gratuite de musique - quelque soit par ailleurs le statut de droit d'auteur - ça oui, ça existe.
    la différence entre les exemples cités étant que dans un seul de ces 4 exemples, la musiciens diffusent leur musique en autorisant la copie, le partage, la diffusion.
    on voit donc bien la pertinence des concepts, expressions de musique libre, musique en libre diffusion, musique ouverte : pour aller du plus précis (licences LAL, CC by, CC by-sa uniquement) au plus large (CC avec clause 'nc' et/ou 'nd' comprises).

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