Ce dialogue allant sur des mauvaises bases, je vous propose d'en rester la.
wow, et ben au moins c'est clair !
Je vais effectivement en rester là avec les publications sous licence CC, cette action de promo sur l'investissement du web 2.0 fini de me convaincre...
CC est donc bien has been, c'est une marque, un label, que l'ont colle comme un sticker pour attirer les clients. L'esprit du partage mon cul, juste celui de la circulation des richesses, pour stimuler l'economie.
Qu'attendre de plus d'une institution de sciences administratives, le vers est dans le fruit, comme dans les licences d'ailleurs... bravo c'est du propre.
Ce dialogue allant sur des mauvaises bases, je vous propose d'en rester la.
Ben ouais, t'as raison, restons-en là. Mais où en fait ?
Imagine que quelqu'un que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam, entre chez toi sans prévenir, sans se présenter en en mettant partout sur le tapis. Et quand on lui fait remarqué, il le prend mal.
Ben c'est ce qui vient de se passer.
Normalement sur un forum, comme on te l'a déja fait remarqué, on se présente :
Bonjour ou salut ( à la limite )
Je suis <pseudo-nom>
Je viens ici en qualité de <>
Objet du fil ou du post <>
C'est simple mais ce sont les bases pour entâmer une discussion. Mais de toute façon, tu n'étais pas venu discuter, si ?
Non, tu es venu nous montrer que CCFrance a investi le OUAIB. En 2009, CCFrance a découvert l'existence des réseaux sociaux ?
La question que je me pose et à laquelle je n'aurai certainement pas la réponse, c'est pourquoi ?
Pourquoi tout d'un coup, CCFrance sort de son inexistence ? Pourquoi alors que tout le monde est sur le front depuis la loi DADVSI, CCfrance n'a pas fait entendre sa voix ?
Donc t'es gentil (le) mais tu vas revenir nous expliquer à quoi vous servez exactement, et pourquoi vous ramenez votre fraise maintenant.
hé ben j'attendais un retour de la part de l'initiateur du post pour réagir, mais vous avez tous bien souligné le manquement patent de dialogue, d'analyse et de politesse, je vais donc pas en rajouter une couche. Il semble en effet que les dispositions au dialogue de Mr (Mme) ccfr relève plus du débat type skyblog ou jamenfouille, fort dommage, j'espère qu'il reste des gens chez creative commons (international) qui ont encore clair en tête ce dont ils parlent et ce qu'ils mènent.
oui bon la personne qui se fait appeler ccfr ne doit être j'imagine qu'un stagiaire chargé de faire un peu de "com" comme ils disent
j'espère que les gens de CC france viendront vérifier son job et corriger un peu le tir
hé oui, sur dogma, ça se passe pas comme sur tous les sites de réseaux fuck moncul dont koko a joliment parlé plus haut (et moi aussi, plus ça va plus je hais ces mahcins réseaux dans lesquels ne circule : RIEN)
mais, je reviens sur ma critique de fond là : est-ce quelqu'un se souvient d'avoir vu passer un juriste spécialisé en droit d'auteur sur ce forum ? (j'ai des noms, des gens qui publient, qui juridisent, qui représentent, qui causent dans les colloques, passent sur france cul ou ailleurs, etc.. mais je les citerai pas, alors que nous on ne cesse de les citer)
moi pas
je crois qu'il y a là un indice d'une césure profonde entre ceux qui font nos licences et les utilisateurs
je trouve ça tout à fait incroyable que les gens de CC france ne soient jamais venus causer en direct avec les utilisateurs
alors ok, la mailing list.. mais bon.. autant dire qu'on réserve ça aux érudits hein (et pis pour l'avoir fréquenté, faut pas avoir peur de se faire découpé en rondelles en moins de deux sur cette mailing list : ça castre à tout va là bas)
faudra pas s'étonner que les CC deviennent le jouet (qu'on s'empressera d'abandonner dès qu'on aura acquis quelque "visibilité") des abrutis jamendiens..
oui
on peut considérer que la licence historique, la première licence libre appliquée à la musique sans doute, était plus ou moins de ce type là : http://www.fmpl.org/
c'est celle que j'utilise désormais, parce qu'une nouvelle version a été produite en janvier 2008 (et que rico m'a rafraichi la mémoire
sinon il existait autrefois la yellow open music licence http://openmusic.linuxtag.org/yellow.html
le jeu de licences aux multiples couleurs (yellow, green etc..) a été abandonné vers 2002 au profit des creative commons
J'ai utilisé autrefois la FMPL, puis la yellow, puis les CC, et je reviens aujourd'hui vers la FMPL pour certains projets, et la GNOU ART (joke inside) pour d'autres trucs
Je me suis toujours demandé pourquoi cette licence s'appelle Free music licence étant donné qu'elle comporte des restrictions. Mais bon, chacun voit midi à sa porte
J'aime vraiment le design noir et blanc et épuré de musique libre.
Je me suis toujours demandé pourquoi cette licence s'appelle Free music licence étant donné qu'elle comporte des restrictions
parce qu'à l'époque les problématiques n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui
on est là à la fin des nineties.. ram samudrala avait lancé le premier projet de licence libre http://www.ram.org/
et dans sa réflexion, il apparaissait tout à fait impensable d'autoriser la commercialisation sans permission. Il faut dire que dans ces années là, fallait compter 20 minutes pour télécharger un mp3. Les possibilités techniques étaient tout à fait différentes : le disque enregistré demeurait le moyen le plus évident pour faire circuler la musique, ce qui occasionnait des frais etc.
respect pour l'ancêtre de nos licences !
ce qui est très intéressant également, j"en ai causé dans quelques uns de mes écrits, c'est que la philosophie de la free music licence demeure très fortement marquée par l'expérience du logiciel libre.. Rico ou Bituur en causeront mieux que moi vu qu'ils ont fait partie des débatteurs à l'époque, mais la question majeure se posait de la sorte : les licences libres logicielles sont elles adaptables aux oeuvres d'art ? la réponse était "oui, mais" (le "mais" c'est la restriction "commerciale" ou la "dérivation")
et je rappelle que c'était aussi la réponse de Stallamn quand la question lui avait été posé par un certain RdH
par suite, le jeu de licences "open music licences" prendra d'ailleurs acte de ces discussions en proposant un éventail de 3 licences avec des clauses spécifiques, ce que les creative commons copieront sans sourciller
la licence Art Libre évidemment se posera de manière tout à fait dogmatique contre les restrictions "commerciales et dérivées" au profit de la notion d'héritage et de contagion de la licence (c'est seulement depuis la licence "art libre" qu'on entend des trucs style "ça c'est pas libre, ou pas tout à fait libre " etc.. ajouté à cela un ancrage politique et une sorte de trip "art contemporain", humm, ça me fait toujours un peu mal au cul d'entendre les gens de Art Libre se revendiquer comme "représentants officiels" du libre mais bon, ça va, je m'en suis remis, et j'ai dit ce que j'avais à dire là dessus y'a 5 ans, et aux intéressés eux-mêmes en plus donc, j'y reviens pas..
par rapport aux licences "restrictives",
ma réponse a toujours été : "c'est déjà pas mal"
voilà
donc évitons d'évaluer les expérimentations de nos ancêtres à l'aune de nos critères actuels.. à l'époque, c'était ce qu'il y avait de plus "libre" relativement au droit des auteurs. (dans le monde de l'art en tous cas)
En regardant de près, je vais peut-être éviter quand même d'utiliser cette fmpl pour le direkt laïw, elle ne m'a pas l'air compatible avec l'utilisation des musiques à clause "pas de modif". Et l'histoire de "date de péremption" me gène un peu. elle ressemble plus à la by-nc-sa.
La C Reaction ressmble un peu à la by nc sa aussi. mais s'autoproclame comme non-licence.
Pour remplacer la by-sa, la lal fait l'affaire, et je mets à jour tout doucement, certains bouts du direkt laïw sont sous cette licence quand les sons diffusés sont compatibles (by-sa, by, cc zero, lal, gnu, domaine public), mais ce que j'ai en liste d'attente m'oblige à utiliser du CC by nc nd pour les prochaines émissions. C'est peut-être pour celle là qu'il faudra que je me remettre à pondre quelque chose comme solution alternative. On n'autorise que la diffusion de l'oeuvre à l'identique à condition que cette diffusion ne présente pas de caractère commercial, que les auteurs soient crédités et que la mention de la licence soit conservée, ainsi qu'un lien vers le texte complet de la licence ou une copie verbatim de cette licence accompagne l'oeuvre, ça ne devrait pas pouvoir poser trop de problèmes. Et comme ça, ce qui ne doit pas être commercialisé à cause d'un ou plusieurs auteurs ne sera plus associé à la machine à promo à cause de ses co-auteurs.
Non, non, Dana, je me garderai bien de porter un jugement, je me demandais, c'est tout.
Pour ce qui est des laleux, lalistes, ce qu'on voudra, je n'en fréquente pas trop mais je suis abonné à la mailing list, et à côté, l'intégrsime supposé des Dogmaziens me fait doucement sourire
Mais prenons l'orientation qu'est en train de prendre ce fil et notons une chose, qui à moi me paraît essentielle, c'est qu'on en a rien à secouer de Creative commons Monde et à fortiori France. Que les créateurs au sens large se débrouillent trés bien tout seul et qu'il existe d'autres alternative à CC.
Alors qu'ils investissent le trou du cul di web tant qu'ils veulent si ça leur chante
Pour ce qui est des laleux, lalistes, ce qu'on voudra, je n'en fréquente pas trop mais je suis abonné à la mailing list, et à côté, l'intégrsime supposé des Dogmaziens me fait doucement sourire Sourire
on est toujours l'intégriste de quelqu'un
(et trop modéré pour un autre..)
Mais prenons l'orientation qu'est en train de prendre ce fil et notons une chose, qui à moi me paraît essentielle, c'est qu'on en a rien à secouer de Creative commons Monde et à fortiori France. Que les créateurs au sens large se débrouillent trés bien tout seul et qu'il existe d'autres alternative à CC.
tout à fait
d'ailleurs, dogmazic à cet égard accepte l'usage d'une grande variété de licences.. ce qui n'est certainement pas le cas d'autres plate-formes dont citer le nom écorcherait mon stylo donc je m'abstiens
Que les créateurs au sens large se débrouillent trés bien tout seul et qu'il existe d'autres alternative à CC.
Vrai 1000 fois vrai.
Pas besoin de drapeaux pour permettre d'exprimer les fondamentaux de la libre diffusion ; juste un contrat juridique qui permet d'exprimer nos permissions...et au regard du droit d'auteur.
Je vois d'un mauvais œil les tentatives de s'imposer avec la sueur des autres.
Bon, donc d'accord, il existe plein de licences différentes qui devraient faire notre bonheur selon nos objectifs propres (ou sales), et l'utilisation des désormais infâmantes licences CC n'est nullement incontournable.
Le problème, pour moi, c'est que dans tout ce qui vient d'être dit, je ne vois pas de licence alternative disponible en français (et compatible avec le droit français) qui corresponde véritablement à la CC by-nc-sa et à la CC by-nc-nd (la première correspond à ce que je souhaite pour la musique et les chansons, et j'utilise la deuxième pour les textes seuls).
Après quelques jours de réflexion, je ne vois pas non plus pourquoi je laisserais un organisme tel que "CC France" (plutôt inexistant jusque là), ou même "CC Monde" ou "CC Univers", imprimer sa marque idéologique sur un outil juridique qui me satisfait pleinement. Pourquoi devrait-on déserter ce terrain et laisser gentiment les chantres des "nouveaux modèles économiques" 2.0 à la con dévoyer des outils dont NOUS nous efforçons depuis belle lurette de faire un usage "éthique" ?
Je ne vais donc pas me casser le cul à adopter d'autres licences. Je garde le principe des CC, et si vraiment CC devient une marque ou un logo qui me catalogue dans un monde qui n'est pas le mien (celui des fesse-boucs et des escroqueries 2.0), je clarifierai les choses en adoptant une licence pompée sur les CC mais exempte de la "marque". On pourrait appeler ça "Création partagée", "shared creation", "Partage créatif"... ? Est-ce que Dogmazic serait prêt à inclure dans la liste des licences ouvertes admises sur le site une telle licence ?
Est-ce que Dogmazic serait prêt à inclure dans la liste des licences ouvertes admises sur le site une telle licence ?
tu veux dire : créer ta propre licence ?
je ne pense pas que ce soit une idée qui va de soi, même si en droit elle me paraît tout à fait faisable (et de fait, ça s'est fait
c'est se couper du collectif, d'une élaboration concertée et enrichie par les préoccupations du groupe, d'une validation et d'une autocorrection par le groupe
donc : c'est peut-être dommage..
après est-ce que dogmazic peut accueillir des oeuvres soumises à une licence que n'utiliserait qu'un seul auteur ? au delà du pb technique (faudrait vérifier à chaque fois le texte de la licence pour voir s'il est bien compatible avec les exigences de dogmazic), ça risque de devenir bordelique à gérer et encore plus opaque pour l'utilisateur
mais bon ça se discute
(j'y avais pensé aussi à créer ma propre licence
En fait, l'idée, ça serait plutôt de pomper intégralement les textes des CC (qui doivent eux-mêmes être sous CC, j'imagine ?), mais de leur donner un autre nom, en expliquant bien qu'en tant qu'utilisateurs de longue date des licences ouvertes, nous nous désolidarisons totalement des initiatives prises par la "marque" CC. Et là, j'imagine que je ne serais peut-être pas le seul à utiliser les licences ainsi disponibles ?
Et cela permettrait de continuer à profiter du travail juridique fait par les initiateurs des CC, et naturellement, rien n'empêcherait de se regrouper en collectif, en tant que "scissionnaires".
En fait tu crées un fork au même titre que Debian l'a fait avec Firefox, en créant Iceweasel.
Rien ne t'empêche de le faire, rien de rien. Tu repompes les textes des licences CC et tu changes le logo ou tu inventes un nouveau nom. C'est complètement faisable et effectivement on se désolidarise de Creative commons par une vision éthique là où la fondation CC ne revendique que l'utilisation d'un simple outil.
Il faudra mettre en ligne les nouveaux contrats expurgés de leur contenus CC et préciser de quoi il retourne. Créer un site web quoi
En fait, l'idée, ça serait plutôt de pomper intégralement les textes des CC (qui doivent eux-mêmes être sous CC, j'imagine ?), mais de leur donner un autre nom, en expliquant bien qu'en tant qu'utilisateurs de longue date des licences ouvertes, nous nous désolidarisons totalement des initiatives prises par la "marque" CC. Et là, j'imagine que je ne serais peut-être pas le seul à utiliser les licences ainsi disponibles ?
Et cela permettrait de continuer à profiter du travail juridique fait par les initiateurs des CC, et naturellement, rien n'empêcherait de se regrouper en collectif, en tant que "scissionnaires".
C'est effectivemnert comme cela que je voyais le truc de mon coté. Pomper, ou plus exactement m'inspirer de, paske je n'ai pas l'intention de m'obliger à citer CC pour respecter la clause de parternité. Manquerait plus que ca.
Et un point important est de garder le caractere unique de ma licence, car il est ma meilleure garantie de ne pas me retrouver dans un annuaire 2.0 dans la case 'licence trucmuche', à cause d'un robot fouineur de mp3. Je veux pas de case pour ma licence. Tant pis pour dogmazic, je n'avais pas prévu de publier ici cependant.
Et ma licence elle sera copyright d'abord. Plombée.
Ch'ten foutrais du 2.0 moi tiens, au trou les CC.
Et ma licence elle sera copyright d'abord. Plombée.
Ce que tu écrits n'a pas de sens.
D'abord, le copyright n'est pas une licence, c'est équivalent à notre droit d'auteur mais diffère sur certains points. Notamment sur le fait qu'un producteur peut être détenteur du copyright ou la société qui t'emploi et pour laquelle tu crées du logiciel ou du contenu artistique, par exemple. Le droit d'auteur quant à lui naît du simple fait de créer une oeuvre de l'esprit. Le fait de mettre "All right reserved" sur ton oeuvre ne la protège en aucune façon contre la copie et la diffusion.
Les licences quelles s'appellent Creative commons ou Yellow, ou LAL, ou ce que tu veux ne sont que des contrats qui sont établis entre ton droit d'auteur et l'utilisateur final, rien d'autre. Donc par défaut tes oeuvres sont sous le droit d'auteur fermé. De plus l'ouverture des droits à l'utilisateur final n'est pas une nouveauté. Ce qui l'est c'est que les licences libres et ouvertes permettent l'ouverture de ces droits de façon automatique sans devoir passer un contrat avec l'auteur pour chaque utilisation. C'est cette contrainte qui fait que quand on s'inscrit à la Sacem on apporte à cette dernière ses droits patrimoniaux.
Donc je résume :
Toutes oeuvres est sous le droit d'auteur fermé. On le stipule sur le support ou / et le site web qui contient cette oeuvre avec un beau :
Tous droits réservés <Machin> 2009, cette oeuvre est diffusée selon les conditions de la licence TrucMuche.
La licence, dîte licence ouverte ou libre va permettre à l'utilisateur final de bénéficier de l'ouverture automatique des droits concédés par l'auteur.
Dans le cas où on ne veut pas de cette ouverture automatique, il sufit de spécifier aux utilisateurs finaux que pour ouvrir certains droits il faudra demander et obtenir la permission par écrit.
Pour ceux qui voient dans Internet un ennemi pour l'auteur, notamment quand à l'impossibilité de contrôler ce que deviennent leurs oeuvres, je leur suggère de ne plus rien mettre sur le Net.
Les licences que nous utilisons n'ont de valeur que si elles sont reconnues comme en ayant par ceux qui les utilisent. Donc plus elles sont utilisées, plus leur légalité est reconnue. c'est de cette façon et seulement de cette façon que la diffusion d'une oeuvre sous licence libre ou ouverte peut avoir l'effet désiré par l'auteur. Un simple logo ou un texte juridique n'a jamais protégé personne de qui ou de quoi que ce soit.
Le fait de mettre "All right reserved" sur ton oeuvre ne la protège en aucune façon contre la copie et la diffusion.
lol et ca va là ? tu joues à quoi ?
je parlais du texte de ma licence, sous copyright, pour eviter qu'elle soit reprise par d'autres.
MA licence à MOI JE MOI JE.
En plus t'expliques mal, j'ai rien capté à ton topo.
Réponses
wow, et ben au moins c'est clair !
Je vais effectivement en rester là avec les publications sous licence CC, cette action de promo sur l'investissement du web 2.0 fini de me convaincre...
CC est donc bien has been, c'est une marque, un label, que l'ont colle comme un sticker pour attirer les clients. L'esprit du partage mon cul, juste celui de la circulation des richesses, pour stimuler l'economie.
Qu'attendre de plus d'une institution de sciences administratives, le vers est dans le fruit, comme dans les licences d'ailleurs... bravo c'est du propre.
Ben ouais, t'as raison, restons-en là. Mais où en fait ?
Imagine que quelqu'un que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam, entre chez toi sans prévenir, sans se présenter en en mettant partout sur le tapis. Et quand on lui fait remarqué, il le prend mal.
Ben c'est ce qui vient de se passer.
Normalement sur un forum, comme on te l'a déja fait remarqué, on se présente :
Bonjour ou salut ( à la limite )
Je suis <pseudo-nom>
Je viens ici en qualité de <>
Objet du fil ou du post <>
C'est simple mais ce sont les bases pour entâmer une discussion. Mais de toute façon, tu n'étais pas venu discuter, si ?
Non, tu es venu nous montrer que CCFrance a investi le OUAIB. En 2009, CCFrance a découvert l'existence des réseaux sociaux ?
La question que je me pose et à laquelle je n'aurai certainement pas la réponse, c'est pourquoi ?
Pourquoi tout d'un coup, CCFrance sort de son inexistence ? Pourquoi alors que tout le monde est sur le front depuis la loi DADVSI, CCfrance n'a pas fait entendre sa voix ?
Donc t'es gentil (le) mais tu vas revenir nous expliquer à quoi vous servez exactement, et pourquoi vous ramenez votre fraise maintenant.
Merde aux réseaux sociaux et au business 2.0
dF
Je vais finir par me fêler une côte à force de rire en regardant tout les amis de http://www.myspace.com/cc_fr
hhihihhohohohhahaha!
amicalement
j'espère que les gens de CC france viendront vérifier son job et corriger un peu le tir
hé oui, sur dogma, ça se passe pas comme sur tous les sites de réseaux fuck moncul dont koko a joliment parlé plus haut (et moi aussi, plus ça va plus je hais ces mahcins réseaux dans lesquels ne circule : RIEN)
mais, je reviens sur ma critique de fond là :
est-ce quelqu'un se souvient d'avoir vu passer un juriste spécialisé en droit d'auteur sur ce forum ? (j'ai des noms, des gens qui publient, qui juridisent, qui représentent, qui causent dans les colloques, passent sur france cul ou ailleurs, etc.. mais je les citerai pas, alors que nous on ne cesse de les citer)
moi pas
je crois qu'il y a là un indice d'une césure profonde entre ceux qui font nos licences et les utilisateurs
je trouve ça tout à fait incroyable que les gens de CC france ne soient jamais venus causer en direct avec les utilisateurs
alors ok, la mailing list.. mais bon.. autant dire qu'on réserve ça aux érudits hein (et pis pour l'avoir fréquenté, faut pas avoir peur de se faire découpé en rondelles en moins de deux sur cette mailing list : ça castre à tout va là bas)
faudra pas s'étonner que les CC deviennent le jouet (qu'on s'empressera d'abandonner dès qu'on aura acquis quelque "visibilité") des abrutis jamendiens..
on peut considérer que la licence historique, la première licence libre appliquée à la musique sans doute, était plus ou moins de ce type là :
http://www.fmpl.org/
c'est celle que j'utilise désormais, parce qu'une nouvelle version a été produite en janvier 2008 (et que rico m'a rafraichi la mémoire
sinon il existait autrefois la yellow open music licence
http://openmusic.linuxtag.org/yellow.html
le jeu de licences aux multiples couleurs (yellow, green etc..) a été abandonné vers 2002 au profit des creative commons
J'ai utilisé autrefois la FMPL, puis la yellow, puis les CC, et je reviens aujourd'hui vers la FMPL pour certains projets, et la GNOU ART (joke inside) pour d'autres trucs
J'aime vraiment le design noir et blanc et épuré de musique libre.
on est là à la fin des nineties.. ram samudrala avait lancé le premier projet de licence libre
http://www.ram.org/
et dans sa réflexion, il apparaissait tout à fait impensable d'autoriser la commercialisation sans permission. Il faut dire que dans ces années là, fallait compter 20 minutes pour télécharger un mp3. Les possibilités techniques étaient tout à fait différentes : le disque enregistré demeurait le moyen le plus évident pour faire circuler la musique, ce qui occasionnait des frais etc.
respect pour l'ancêtre de nos licences !
ce qui est très intéressant également, j"en ai causé dans quelques uns de mes écrits, c'est que la philosophie de la free music licence demeure très fortement marquée par l'expérience du logiciel libre.. Rico ou Bituur en causeront mieux que moi vu qu'ils ont fait partie des débatteurs à l'époque, mais la question majeure se posait de la sorte : les licences libres logicielles sont elles adaptables aux oeuvres d'art ? la réponse était "oui, mais" (le "mais" c'est la restriction "commerciale" ou la "dérivation")
et je rappelle que c'était aussi la réponse de Stallamn quand la question lui avait été posé par un certain RdH
par suite, le jeu de licences "open music licences" prendra d'ailleurs acte de ces discussions en proposant un éventail de 3 licences avec des clauses spécifiques, ce que les creative commons copieront sans sourciller
la licence Art Libre évidemment se posera de manière tout à fait dogmatique contre les restrictions "commerciales et dérivées" au profit de la notion d'héritage et de contagion de la licence (c'est seulement depuis la licence "art libre" qu'on entend des trucs style "ça c'est pas libre, ou pas tout à fait libre " etc.. ajouté à cela un ancrage politique et une sorte de trip "art contemporain", humm, ça me fait toujours un peu mal au cul d'entendre les gens de Art Libre se revendiquer comme "représentants officiels" du libre mais bon, ça va, je m'en suis remis, et j'ai dit ce que j'avais à dire là dessus y'a 5 ans, et aux intéressés eux-mêmes en plus donc, j'y reviens pas..
par rapport aux licences "restrictives",
ma réponse a toujours été : "c'est déjà pas mal"
voilà
donc évitons d'évaluer les expérimentations de nos ancêtres à l'aune de nos critères actuels.. à l'époque, c'était ce qu'il y avait de plus "libre" relativement au droit des auteurs. (dans le monde de l'art en tous cas)
La C Reaction ressmble un peu à la by nc sa aussi. mais s'autoproclame comme non-licence.
Pour remplacer la by-sa, la lal fait l'affaire, et je mets à jour tout doucement, certains bouts du direkt laïw sont sous cette licence quand les sons diffusés sont compatibles (by-sa, by, cc zero, lal, gnu, domaine public), mais ce que j'ai en liste d'attente m'oblige à utiliser du CC by nc nd pour les prochaines émissions. C'est peut-être pour celle là qu'il faudra que je me remettre à pondre quelque chose comme solution alternative. On n'autorise que la diffusion de l'oeuvre à l'identique à condition que cette diffusion ne présente pas de caractère commercial, que les auteurs soient crédités et que la mention de la licence soit conservée, ainsi qu'un lien vers le texte complet de la licence ou une copie verbatim de cette licence accompagne l'oeuvre, ça ne devrait pas pouvoir poser trop de problèmes. Et comme ça, ce qui ne doit pas être commercialisé à cause d'un ou plusieurs auteurs ne sera plus associé à la machine à promo à cause de ses co-auteurs.
Pour ce qui est des laleux, lalistes, ce qu'on voudra, je n'en fréquente pas trop mais je suis abonné à la mailing list, et à côté, l'intégrsime supposé des Dogmaziens me fait doucement sourire
Mais prenons l'orientation qu'est en train de prendre ce fil et notons une chose, qui à moi me paraît essentielle, c'est qu'on en a rien à secouer de Creative commons Monde et à fortiori France. Que les créateurs au sens large se débrouillent trés bien tout seul et qu'il existe d'autres alternative à CC.
Alors qu'ils investissent le trou du cul di web tant qu'ils veulent si ça leur chante
on est toujours l'intégriste de quelqu'un
(et trop modéré pour un autre..) tout à fait
d'ailleurs, dogmazic à cet égard accepte l'usage d'une grande variété de licences.. ce qui n'est certainement pas le cas d'autres plate-formes dont citer le nom écorcherait mon stylo donc je m'abstiens
Vrai 1000 fois vrai.
Pas besoin de drapeaux pour permettre d'exprimer les fondamentaux de la libre diffusion ; juste un contrat juridique qui permet d'exprimer nos permissions...et au regard du droit d'auteur.
Je vois d'un mauvais œil les tentatives de s'imposer avec la sueur des autres.
Le problème, pour moi, c'est que dans tout ce qui vient d'être dit, je ne vois pas de licence alternative disponible en français (et compatible avec le droit français) qui corresponde véritablement à la CC by-nc-sa et à la CC by-nc-nd (la première correspond à ce que je souhaite pour la musique et les chansons, et j'utilise la deuxième pour les textes seuls).
Après quelques jours de réflexion, je ne vois pas non plus pourquoi je laisserais un organisme tel que "CC France" (plutôt inexistant jusque là), ou même "CC Monde" ou "CC Univers", imprimer sa marque idéologique sur un outil juridique qui me satisfait pleinement. Pourquoi devrait-on déserter ce terrain et laisser gentiment les chantres des "nouveaux modèles économiques" 2.0 à la con dévoyer des outils dont NOUS nous efforçons depuis belle lurette de faire un usage "éthique" ?
Je ne vais donc pas me casser le cul à adopter d'autres licences. Je garde le principe des CC, et si vraiment CC devient une marque ou un logo qui me catalogue dans un monde qui n'est pas le mien (celui des fesse-boucs et des escroqueries 2.0), je clarifierai les choses en adoptant une licence pompée sur les CC mais exempte de la "marque". On pourrait appeler ça "Création partagée", "shared creation", "Partage créatif"... ? Est-ce que Dogmazic serait prêt à inclure dans la liste des licences ouvertes admises sur le site une telle licence ?
je ne pense pas que ce soit une idée qui va de soi, même si en droit elle me paraît tout à fait faisable (et de fait, ça s'est fait
c'est se couper du collectif, d'une élaboration concertée et enrichie par les préoccupations du groupe, d'une validation et d'une autocorrection par le groupe
donc : c'est peut-être dommage..
après est-ce que dogmazic peut accueillir des oeuvres soumises à une licence que n'utiliserait qu'un seul auteur ? au delà du pb technique (faudrait vérifier à chaque fois le texte de la licence pour voir s'il est bien compatible avec les exigences de dogmazic), ça risque de devenir bordelique à gérer et encore plus opaque pour l'utilisateur
mais bon ça se discute
(j'y avais pensé aussi à créer ma propre licence
Et cela permettrait de continuer à profiter du travail juridique fait par les initiateurs des CC, et naturellement, rien n'empêcherait de se regrouper en collectif, en tant que "scissionnaires".
Rien ne t'empêche de le faire, rien de rien. Tu repompes les textes des licences CC et tu changes le logo ou tu inventes un nouveau nom. C'est complètement faisable et effectivement on se désolidarise de Creative commons par une vision éthique là où la fondation CC ne revendique que l'utilisation d'un simple outil.
Il faudra mettre en ligne les nouveaux contrats expurgés de leur contenus CC et préciser de quoi il retourne. Créer un site web quoi
C'est effectivemnert comme cela que je voyais le truc de mon coté. Pomper, ou plus exactement m'inspirer de, paske je n'ai pas l'intention de m'obliger à citer CC pour respecter la clause de parternité. Manquerait plus que ca.
Et un point important est de garder le caractere unique de ma licence, car il est ma meilleure garantie de ne pas me retrouver dans un annuaire 2.0 dans la case 'licence trucmuche', à cause d'un robot fouineur de mp3. Je veux pas de case pour ma licence. Tant pis pour dogmazic, je n'avais pas prévu de publier ici cependant.
Et ma licence elle sera copyright d'abord. Plombée.
Ch'ten foutrais du 2.0 moi tiens, au trou les CC.
D'abord, le copyright n'est pas une licence, c'est équivalent à notre droit d'auteur mais diffère sur certains points. Notamment sur le fait qu'un producteur peut être détenteur du copyright ou la société qui t'emploi et pour laquelle tu crées du logiciel ou du contenu artistique, par exemple. Le droit d'auteur quant à lui naît du simple fait de créer une oeuvre de l'esprit. Le fait de mettre "All right reserved" sur ton oeuvre ne la protège en aucune façon contre la copie et la diffusion.
Les licences quelles s'appellent Creative commons ou Yellow, ou LAL, ou ce que tu veux ne sont que des contrats qui sont établis entre ton droit d'auteur et l'utilisateur final, rien d'autre. Donc par défaut tes oeuvres sont sous le droit d'auteur fermé. De plus l'ouverture des droits à l'utilisateur final n'est pas une nouveauté. Ce qui l'est c'est que les licences libres et ouvertes permettent l'ouverture de ces droits de façon automatique sans devoir passer un contrat avec l'auteur pour chaque utilisation. C'est cette contrainte qui fait que quand on s'inscrit à la Sacem on apporte à cette dernière ses droits patrimoniaux.
Donc je résume :
Toutes oeuvres est sous le droit d'auteur fermé. On le stipule sur le support ou / et le site web qui contient cette oeuvre avec un beau :
Tous droits réservés <Machin> 2009, cette oeuvre est diffusée selon les conditions de la licence TrucMuche.
La licence, dîte licence ouverte ou libre va permettre à l'utilisateur final de bénéficier de l'ouverture automatique des droits concédés par l'auteur.
Dans le cas où on ne veut pas de cette ouverture automatique, il sufit de spécifier aux utilisateurs finaux que pour ouvrir certains droits il faudra demander et obtenir la permission par écrit.
Pour ceux qui voient dans Internet un ennemi pour l'auteur, notamment quand à l'impossibilité de contrôler ce que deviennent leurs oeuvres, je leur suggère de ne plus rien mettre sur le Net.
Les licences que nous utilisons n'ont de valeur que si elles sont reconnues comme en ayant par ceux qui les utilisent. Donc plus elles sont utilisées, plus leur légalité est reconnue. c'est de cette façon et seulement de cette façon que la diffusion d'une oeuvre sous licence libre ou ouverte peut avoir l'effet désiré par l'auteur. Un simple logo ou un texte juridique n'a jamais protégé personne de qui ou de quoi que ce soit.
je parlais du texte de ma licence, sous copyright, pour eviter qu'elle soit reprise par d'autres.
MA licence à MOI JE MOI JE.
En plus t'expliques mal, j'ai rien capté à ton topo.
bises nitrom