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FSMLo - le débat

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Réponses

  • Un projet collaboratif comme sourceml par exemple aurait dû être porté par l'asso, agrégé à Dogmazic et financé par le FSmachinMLO.

    Je ne me retrouve plus du tout dans la sempiternelle résurgence de la question libre/moins libre que libre/plus libre que libre...
    Cela me donne envie de dire : avec ma clause NC, je chie sur le commerce et sur le militantisme full copyleft et je vous emmerde. Mais je ne le dis pas, parce que je suis bien élevé. Du coup, je ne dis plus grand chose, en fait.

    Vive la musique a-LAL (merci sam).
  • @ Taro : un post très pertinent, ma foi (en dehors de savoir qui vit ou pas de son art, et comment, en musique et en France, il ne faut pas déconner, ça n'est pas non plus si rare que ça).

    Juste pour préciser : Mea Culpa, je me suis en fait bombardé comme catalyseur pour l'écriture d'un réglement d'intervention pour le FSMLo car ça fait partie des actions que le CA s'est partagées. J'ai d'abord demandé des idées sur le "fonctionnement" pur du FSMLo, et compte tenu qu'un débat était vivement demandé, je l'ai ouvert. Mais dans tout ça, en effet, je suis parti de la description du FSMLo faite dans le lien que j'ai donné dans mon mail d'ouverture. Je n'ai en effet pas relu les topics et posts qui y étaient reliés auparavant, non pas par flemme, mais simplement parce que je n'y ai pas pensé.
    Donc, désolé, vraiment. (Bon, cela dit, si j'y avais pas pensé, je ne prétends pas que je l'aurais fait, mon investissement restant bénévole, et ne pouvant donc pas non plus excéder un certain temps !).

    La question du pourquoi (objectifs) et de savoir si le FSMLo doit servir à des projets individuels ou de groupe, ou communautaire reste donc tout à fait ouverte, et si mon post de départ laissait penser l'inverse, j'en suis désolé.
    L'idée n'était pas de faire table rase de ce qui a pu se dire auparavant, mais de pouvoir tout concentrer en un minimum de topic, de préférence lisible, pour qu'une synthèse (que je vous proposerai bien sûr) soit envisageable.

    Par contre, j'insiste avec mon côté vieil instit sur le retour (non, monsieur, je ne suis ni vieux, ni instit, ni sur le retour), mais le coup des couleurs va vraiment me faciliter la tâche à terme, merci (pour ne pas dire si vous voulez pas les utiliser, je finirai par ne pas lire !).

    Sinon, je suis un peu ennuyé par le côté "déprimé" de certains posts face aux propositions des autres (je pense au sempiternel combat copyleft/pas copyleft). Donc, juste pour le redire : Rien n'est décidé !

    Enfin, je m'exprime en tant qu'ORL de l'AMMD sur ce sujet, au même titre que vous tous, parce que ça me ferait chier que -sous prétexte d'avoir lancé le débat et de le synthétiser- je ne puisse pas y participer. Je ferai une synthèse impartiale, et si on peut me compter parmi les tenants du Copyleft, les intégreux, les Laloistes, alors sachez que Sam est prévu pour la relecture avec moi, et qu'il est probablement mon exact opposé à ce niveau, et que Bituur, qui est plus grand que nous deux réunit comptera les points et distribuera les baffes pour nous mettre d'accord. A partir de là, vous pouvez être rassuré quant au caractère objectif de l'affaire.

    Maintenant, l'asso étant une asso, le processus est démocratique. Mais ça ne veut rien dire, tout le monde n'étant pas membre, le plus grand nombre n'ayant pas toujours raison, et finissant toujours par laisser des gens sur le bord qui ne sont pas d'accord et pas contents. Alors, je dirais que si on peut faire en sorte que ce débat s'attache à établir des points de convergence, des invariants, autrement dit, des consensus (wahou, c'est moi qui dit ça ?????), c'est sans doute la meilleure voie, et ça sera nettement moins morne, et moins déprimé, je pense !

    Youpi, les lendemains qui chantent.
    D'ailleurs Taro rêve de moi, si c'est pas une preuve !

    Et le débat n'est pas terminé, je pense qu'il y a encore du monde qui doit s'exprimer.
  • absolument orl,
    et pour les amis de la CC, euh, je veux dire de la NC, je ne vous oublierai pas lors de ma relecture du projet écrit par les soins d'orl.
    petite synthèse : ce que je voudrai pour le fond de soutient tient tjrs en 2 points :
    - toutes les licences libres
    - projets collectifs et pédagogiques.
  • D'accord avec Sam.
    Didier
  • Moi j'ai un peu de mal à m'imaginer ce qu'on entend par "projet"...
    ...

    Publication d'un CD?
    Organisation d'un festival?
    Fabrication d'un vynile?

    ...

    Comme dit _sam "projet collectif", bon, ça veut dire "au moins deux personnes".
    Mais "pédagogique"?

    Si je publie un vynile de japanoise extrème avec Khaoman et Keiji Katsuda, est ce qu'on ne peut pas dire que je pose un acte pédagogique dans la mesure où je permets au vulgum pecus de découvrir une autre forme sonore?

    ...

    j'ai un peu de mal à m'imaginer ce qu'on entend par "projet"...
  • pédagogique, pour moi, ça veut dire qu'il y a une dimensions explicative autour de LL, de leur usage.
    et que tout cela doit être pris plutôt, de mon point de vue, dans un projet artistique, c'est à dire de réalisation d'une œuvre d'art.
    (en vrai le fsml est beaucoup plus large pour certains qui y verraient bien, par exemple, la paye d'un ingé son pour un festival libre etc. mais ce n'est pas mon point de vue en fait)
  • __sam écrit:
    pédagogique, pour moi, ça veut dire qu'il y a une dimensions explicative autour de LL, de leur usage.

    Le simple fait de publier un CD ou un vynile et de faire figurer sur la pochette un logo CC par ex, n'est pas suffisant comme dimension pédagogique?
  • Les gens s'en foutent un peu des logos, et l'efficacité pédagogique d'un logo CC n'est pas supérieure à celle d'un logo sacem/sdrm/sacd/scam. La majorité des gens ne savent pas ce que c'est que la musique libre; pour faire court je vais caricaturer: ils savent juste que mettre de la musique sur internet ou retoucher soi-même une photo au lieu de laisser faire un professionnel, c'est du piratage, depuis les vagues de propagande dadvessie et hadopue. La pédagogie consiste à faire savoir que oui, on peut éventuellement mettre de la musique sur internet, du moment que les auteurs l'ont autorisé (les auteurs, et non pas le commissariat de police de l'internet).
  • Donc un projet se doit d'être :

    - collectif
    - pédagogique (mais la forme de cette pédagogie reste floue : toujours dans l'idée d'un vynile, celui ci pourra comporter un livret explicatif sur la "musique libre")
  • mrpiggiepopp, ce n'est que mon point de vue,
    et disons que j'espère de la dimension pédagogique qu'elle aille un peu plus loin que simplement un livret.
  • C'est pour ça que je donne un exemple, toujours dans ma tentative pour comprendre ce que serait "un projet".

    Comment imagines-tu introduire une dimension pédagogique dans un projet de vynile, 500 exemplaires, compil noise-bruitiste, archives dogma, 1000 euros? (sans compter les frais de temps passé au mastering et au choix)
    C'est la demande.
  • "comme ça", je dirai que ça vaudrait le coup de prévoir des présentations publics du produit, par exemple, dans le projet, ou justement tu expliques la démarche, la musique, le choix des artistes... (?)
  • Je ne suis pas sûr (je suis même certain du contraire) que le fonds doive être l'exclusif financeur des "projets" qu'il soutiendra(it).
  • ? orl ? je serai tenter de dire pas forcément. la force d'un projet, c'est aussi de rassembler différents acteurs, non, et donc différents "financeurs" possibles (en tant donc qu'acteur du projet)
  • Si vous me permettez une petite remarque un peu piquante, je trouve que vu comme ça, ça ressemble de plus en plus à un financement culturel du conseil général ( dans la méthode d'attribution arbitraire selon des critères de méritocratie ). Et ça devient tout aussi chiant avec derrière la tentation de croire que cette subvention déguisée est attribuée aux potes.

    Autre chose, je me demande ce que vous allez bien pouvoir financer avec 10 000 euros. Combien de projets, et quel type de projet surtout. Parce que dés qu'on sort du studio virtuel et d'internet, tout coûte un fric fou, que ce soit une tournée, un festival, l'acquisition de matos, se payer un ingé-son pour de la scène, la réalisation d'un vinyle, de pochettes, etc...

    Dans l'exemple de Mr Piggie popp qui s'interroge sur la façon de faire entrer de la pédagogie dans un projet "libre", la réponse de sam est le concert.
    Vous est-il venu à l'idée que trouver une salle pour un projet libre ou pas, est un vrai chemin de croix actuellement ?

    D'ailleurs, je me demande bien pourquoi il faudrait y mettre de la pédagogie dans un projet libre ?

    Dans quel but ? En quoi le résultat final diffère-t-il entre un projet libre d'un qui ne l'est pas ?

    En rien, la finalité est la même. La licence en elle-même suffit ( ou pas ), aux gens d'être curieux par la suite. L'information est disponible partout.

    Pour résumer, 10 000 euros, ce n'est nettement pas suffisant, vous n'allez pas financer grand chose avec ça, et si en plus vous mettez comme condition de trouver des financements autres, je vous mets au défi d'imposer que le projet reste libre par la suite.

    Si vous me financez à hauteur de 20% de mon projet, que je mets 60% en fonds propres et qu'une asso culturel ou un service culturel mette le reste, vous ne pourrez rien m'imposer.

    Bref, je pense que ce fond, qui est une bonne idée n'est pas encore mûr dans l'état actuel des choses.
  • bothunter, le côté pédagogique, c'est mon idée personnelle en fait, et que j'essaye de faire rentrer dans le plan du fond.
    "la réponse de sam est le concert." : non, c'est pas ça. la réponse, c'est trouver des moyens de disséminer l'initiative, de l'expliquer, de l'accrocher au libre.
  • Le coté pédagogique est pour moi très important aussi.
    Il est plus facile de travailler un élément que l'on connait un peu.
    La pédagogie est nécessaire à l'émulsion.
    +1 pour sam

    Par exemple, AGISON est un projet pour informer sur les risques auditifs en concert.

    Ils offrent la possibilité a des groupes de faire des cachets toute l'année ; en échange les groupe aménagent leur set afin de parler du risque auditif.

    c'est un troc ; et dans notre cas cela profiterait a tous.
  • La dimension "pédagogique" doit être cadrée. Quelle type d'intervention, quand, comment ? Agison fournit tout le matériel pour cela aux acteurs (artistes, organisateurs de festivals), par exemple.

    Exemple récent d'action pédagogique dans un autre domaine, l'éducation populaire :
    Un artiste est accueilli en résidence gratuite dans une salle de mjc, la contre partie est que l'artiste s'engage à une action de sensibilisation auprès du public (celle qu'il choisira entre stage, débat...), en plus d'une restitution publique de son travail.
    Il est facile d'avoir ce type de rapports au quotidien avec quelqu'un qui répète dans les mêmes locaux. Avec un groupe "du net", ce sera plus compliqué à vérifier, sauf si nous les connaissons personnellement (on se limitera à cela dans les attributions du FSMLO ?).

    Je suis ok sur le fond, car c'est important.
    Mais justement parce que c'est important, ne nous faisons pas plus gros que le bœuf en créant un turc impossible à réaliser (car on est loin, très loin d'avoir la caution d'un gouvernement comme l'a Agison pour agir).
    Il faut réfléchir à, comment, dans la pratique, on pourra faire que ce soit possible. Il n'y a rien de pire que d'édicter des règles inapplicables, ça discrédite toute la démarche. Tous les artistes ne sont pas "à l'aise devant un public" pour leur expliquer leur démarche, il faut qu'ils puissent s'impliquer à la mesure de leurs énergies et compétences, que ça leur fasse plaisir aussi de faire de la "pédagogie", sinon on rentre dans un côté à mon avis super chiant d'obligations contractuelles et in fine cette partie à laquelle nous tenons risque plus d'être baclée et d'être une charge.


    Autre questionnement :
    Quand on parle de "projet", on parle de quels délais ? Un projet financé par le FSMLO devra rendre sa copie au bout de combien de temps ? Estime-t-on qu'un projet artistique (scénique, diffusion, production...) doit avoir telle durée pour être soutenu ?
  • ORL_AMMD écrit:
    Modalités

    Pour ce qui est de faire que du libre libre (copyleft), évidemment, vous me connaissez, je devrais pas me prononcer contre.
    Et pourtant, si. Parce que le fonds est alimenté, a priori, par toute l'archive Dogmazic via les bornes (si je me trompe, alors qu'on me le précise), et donc, du coup, il n'y a pas de raison, sauf à durcir les conditions d'inscription sur l'archive.


    Pour ce qui est du financement des "débutants", je reviens dessus.
    @dana : quelqu'un qui se fait aider par une collectivité territoriale, qui enregistre dans un méga studio, etc. tout aussi merdique qu'il soit ne peut être considéré comme un "débutant". Ca suggère clairement qu'il connaît déjà les rouages du truc (je pense qu'en tant qu'ancien "label manager", tu vois bien ce dont je veux parler).
    Mon idée n'est ni de dilapider le fonds dans des subsides infinitésimaux pour chaque groupe "débutant" ni de favoriser un groupe débutant qu'on aurait sélectionner comme tel.
    Mon idée est de promouvoir une action envers ces groupes (logique descendante) qui peut-être n'existeront jamais ou très peu, etc. et qui -dans tous les cas- sont incapables d'aller monter un dossier (logique ascendante) parce que :
    1. ils ne savent pas le faire
    2. ils ne savent même pas que ça se fait
    En gros, je propose de faire le taf qui devrait échoir aux politiques culturels, à savoir descendre de sa tour d'ivoire, aller voir ce qui se passe, identifier soi-même les acteurs du milieu, sans attendre qu'ils se présentent à toi (donc exhaustivité) et favoriser leur structuration au besoin.
    Pragmatiquement, ça peut se traduire par le salariat ponctuel (mission) d'une personne chargée justement d'aller chercher ces gens là et de monter avec eux un projet qui les aide tous (et pas un seul groupe en particulier).
    Je pense tout autant être dans l'indépendance que toi, et je vomis justement ce système de clientèlisme qui fait que, lorsque tu sais comment faire pour récupérer les subs que tu veux, c'est que tu n'en as plus besoin car tu aurais les moyens de faire autrement, et pendant ce temps là, des tas de petits groupes triment sans savoir ce qu'est une subvention, et sans pouvoir s'acheter leur 3 cordes de guitare sans participer à des tremplins bidon.
    Je ne dis donc pas qu'il faut filer des thunes en vrac, mais qu'on réserve justement une part du "butin" à l'aide de ces gens là, par définition non structurés.


    Objectifs
    Pour finir, sur la juxtaposition amateur/professionnel, il faut évidemment l'entendre comme ce qu'il est, à savoir : en vivre/pas en vivre.
    Pour moi, il est important que ce fonds permettent de montrer que :
    1. on peut faire de l'art libre et en vivre (ça permettra entre autres choses d'ouvrir des portes vers d'autres dispositifs d'aide qui demandent une professionnalisation et qui la cantonne à l'inscription à la SACEM),
    2. le monde du libre étant profondément communautaire, et s'attachant particulièrement à lisser les différences et les hiérarchies et les dépendances entre les développeurs et les utilisateurs, les artistes et les publics, etc., il est important qu'on fasse montre d'un soutien également équilibré sur l'ensemble du champ du libre, et donc également ceux qui "débutent"/"sont amateurs"/"n'existent pas encore" (choisissez le terme que vous voulez, et n'y voyez aucun critère de jugement, il s'agit juste d'identifier des gens).

    Je te rejoins sur cette idée Aurélien,
    Il est à mon avis indispensable qu'un travail d'identification des acteurs puisse se faire en amont de toute décision d'allocation d'une somme du FSMLO. Inverser la logique, me semble être une excellente initiative.
  • ORL_AMMD écrit:
    Modalités

    Pour ce qui est de faire que du libre libre (copyleft), évidemment, vous me connaissez, je devrais pas me prononcer contre.
    Et pourtant, si. Parce que le fonds est alimenté, a priori, par toute l'archive Dogmazic via les bornes (si je me trompe, alors qu'on me le précise), et donc, du coup, il n'y a pas de raison, sauf à durcir les conditions d'inscription sur l'archive.

    Salut, Un avis de plus, je ne vois pas de nouveaux éléments à ajouter, mais je tiens à ajouter un +1 au point d'Aurélien de ci-dessus, effectivement, il me parait important de ne pas restreindre l'attribution du fond aux seuls projets full-libre.

    L'idée de favoriser les licences les plus permissives en cas de multiples projets soumis est intéressante, mais si on a un projet un peu bancal en LAL d'un côté, et un projet béton en by-nc-sa de l'autre côté qu'est-ce qu'on fait ?


    Sur le débat du 10.000€ [c'est que dalle / c'est beaucoup], je suis assez étonné de lire ça.
    10.000€, si j'en crois le petit cadre les finances de l'asso à gauche, ça permet de faire vivre dogmazic pendant 1 an 1/2, donc ça pourrait permettre de faire vivre un projet équivalent, qui apporte un service équivalent pendant 1 an 1/2 ... c'est loin d'être que dalle !
    Et on pourrait faire la même remarque si on avait 100.000€ à distribuer : "ah ouais, mais 100.000€ c'est rien, regarde les vielles charrues, ils ont un budget de 7 millions d'euros, impossible d'organiser des vielles charrues du libre avec aussi peu ..."


    Sur le combien de projets qu'on défend par an, je dirais au moins 2, sans aucune limite maximale, pas de plafond par projet (le seul plafond serait celui de l'aide alloué chaque année à l'ensemble des projets), si on a un projet de pressage de compile en LAL qui n'a besoin que de 500€ d'un côté, et de l'autre un développement d'un soft type souceML a besoin de 9000€, ça ne me gène pas que ce soit attribué comme ça

    La notion de "pédagogie" qui a été discutée plus haut me parait intéressante aussi, mais c'est difficile d'aller écrire ça dans un règlement, je pense que ça doit être débattu par le "jury", le "comité", le ce-qu'on-veut qui attribue les thunes et doit faire l'objet d'un contrat entre le groupe de personne qui reçoit la "subvention" et l'asso Musique libre!
    Je pense qu'il faudrait écrire un truc qui dirait que l'attribution de ce fond se fera à des projets qui favorisent la communauté du libre, ou la diffusion au grand public de cet "esprit" et que si le "jury" estime que ces points là ne sont pas suffisamment mis en avant il peut proposer des "conditions" des "contraintes", cette fameuse mise en place d'une dimension pédagogique quoi


    Pour la question projet collectif / projet individuel, je ne crois pas qu'on ait réussi en 4 pages à définir ce que voulait dire ce terme "collectif".
    Je pense que dans le même sens que le full-libre / libre diffusion, il faut encourager le projet collectif, quitte à l'avantager en cas de litige sans fermer la porte aux projets individuels.
    Est-ce que vraiment il y aura 2/3/plus? projets collectifs chaque année ? je me demande si le monde de la musique libre ne manque pas plus de petits bras pour faire les choses que de thunes .. ??

    Voilou
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