A ce sujet une remarque :
attention à ne pas confondre musique libre et gratuite. Je veux dire, nous, je veux dire en tant que label, on voudrait bien que les médiathèques achêtent nos disques
Tu as raison de me le signaler : c'est vrai que j'ai un peu tendance à l'oublier.
Tant mieux si c'est bon alors, et merci de tenir au courant des avancées (je fais de même si il y a du nouveau, l'idéal étant éventuellement que l'on diffuse les documents avant ton colloques, ce qui pourrait peut-être amplifier ton intervention.
je t'enverrai mon texte définitif fear music
d'ailleurs il faudra remplacer la version provisoire qui est sur mlo par cette version définitive
mais bon
on a encore deux bonnes semaines devant nous pour prolonger els débats éventuellement
pour eOle :
les musicophages constituent une experience de médiathèque coopérative vraiment intéressante, mais qui subit de plein fouet la "crise" du support disque. Ils songent à revoir leur modèle à ce sujet, je crois.
J'ai réécrit et complété mon texte
vous le trouverez ici, http://www.another-record.com/danahilliot/dana_writings/writings.htm
Médiathèques et musiques sous licence de libre diffusion : une convergence d'intérêts communs ? aux formats : rtf - pdf - abiword
encore en version alpha
(j'attends vos corrections)
Remarques sur la forme, le fond viendra plus tard :
– tout au long du document, « DASVI » au lieu de « DADVSI » ;
– page 3 : « mais parce que le capitalisme, dont ces sociétés sont des acteurs exemplaires, sont en quelque sorte acculées, mécaniquement, à développer de nouvelles sources de profit » (Syntaxe : le sujet de la phrase change en cours de route, et on ne sait pas ce que le capitalisme fait ou est dans cette histoire…) ;
– page 4 : « mon point de vue tend à mettre dans le même bateau les médiatèques et les réseaux P2P » (un point de vue peut tendre à quelque chose ? je sais plus trop… sinon, « dans le même bateau » est peut-être un peu juste pour une allocution, non ?) ;
– page 5 : « artiste […] émergeant » (l'adjectif, c'est « émergent ») ;
– page 8 : « Laurie » (s'écrit : Lorie) ;
– page 9 : « les disquaires (réelles ou online) » (accord de l'adjectif : réels).
– tout au long du document, « DASVI » au lieu de « DADVSI » ;
arggll
– page 3 : « mais parce que le capitalisme, dont ces sociétés sont des acteurs exemplaires, sont en quelque sorte acculées, mécaniquement, à développer de nouvelles sources de profit » (Syntaxe : le sujet de la phrase change en cours de route, et on ne sait pas ce que le capitalisme fait ou est dans cette histoire…) ;
ha ben oui you're right
je corrige
page 4 : « mon point de vue tend à mettre dans le même bateau les médiatèques et les réseaux P2P » (un point de vue peut tendre à quelque chose ? je sais plus trop… sinon, « dans le même bateau » est peut-être un peu juste pour une allocution, non ?) ;
oui tu as raison, pour l'histoire du point de vue, je ne suis pas sur qu'un point de vue tende à quoi que ce soit je corrige
sinon, ce n'est pas le texte d'une allocution (je ne lis jamais de texte quand je prononce un discours, j'ai deux trois notes et ça suffit, et de toutes façons n'ayant droit qu'à 15 minutes, tu comprends bien que ce texte est avant tout destiné à la publication et pas à être lu - quant à "dans le même bateau", oui bof, j'aime bien jouer dans les textes du mélange de différents niveaux de langue : un peu à la manière des mes maîtres américians (Austin, Rorty etc..)
J'adore la langue de Lacan pour cette raison, qui est capable de mêler dans la même phrase le vocabulaire le pus technique et les mots les plus grossiers qui font rougir les bourgeoises
la langue est foisonnante : jouissons en
merci florent, j'attends la suite (christophe E m'a fait aussi des remarques instructives dans la partie privée de ce forum..)
Maintenant sur le fond :
C'est globalement bon, avec un bon compromis entre raisonnement de fond et concision pour ne pas se perdre dans les détails. La structure en deux temps de l'argumentation, où l'on situe le marché de la musique, pour dire que ce premier raisonnement est tronqué, c'est assez efficace.
Pour la partie des propositions, c'est très bien d'avoir mis en premier la proposition de rencontre et de collaboration. Ça évite de placer les musiciens dont les œuvres sont en libre diffusion dans une position de vendeurs, qui diraient « voici notre offre spéciale, êtes-vous intéressés ? ». La suite est un bon résumé du débat (en laissant de côté les considérations pas forcément utiles sur la "légitimité").
Un seul bémol pour ma part : la première partie est, je trouve, un peu affaiblie par des remarques d'ordre politique. Certes, on ne peut pas vraiment éviter le sujet, et ça reste très très soft, mais toutes les réflexions sur l'action du ministère me gènent un peu. Même si je suis globalement d'accord avec ces réflexions, j'ai peur que ça ne décrédibilise un peu le message, qui pourrait être perçu comme de la politique politicienne (il faut faire autrement parce que l'adversaire fait comme ça).
Mais bon, je ne sais pas s'il faut y changer quoi que ce soit.
@mpop
c'est tout el problème
ça doit faire le dixième texte que je produis qui m'oblige à présenter de manière un peu résumée le débat qui nous occupe
et à chaque fois, j'essaie de m'imaginer quel public en fera lecture, et je me demande quelle stratégie adopter
si je me suis permis certaines sorties politiques c'est pour deux raisons :
d'abord parce que le titre de la table ronde à laquelle je suis invité s'intitule : "a musique a-t-elle encoire sa place dans les médiathèques ?" c'est déjà assez provocateur comme titre non ? ça montre bien qu'il y a une certaine colère qui couve là.. Et puis, si on m'invite c'est qu'il doit y avoir une raison.. on attend pas de moi que je fasse le gentil modérateur ou alors on s'est trompé de client. ça me fait penser : au départ c'est moi qui devait intervenir pour les licences libres au foruma à Nancy. Mais quand j'ai causé avec le mec de l'irma qui m'avait demandé de venir, ça a vite dégénéré : je lui ai expliqué que s'il voulait quelqu'un de modéré et d'objectif, fallait pas m'inviter (donc c'est bituur qui s'y est collé arff arfff)
ensuite, seconde raison, comme je l'ai déjà dit mille fois, ce qui me parait inacceptable ce n'est pas tant que les majors agissent comme elles agissent (ça c'est pas plus inacceptable que le capitalisme en général, mais ça ne concerne pas spécifiquement la musique), mais que l'état français, par le biais d'un ministère de la culture, ne soit qu'une officine occupée à satisfaire les intérêts du marché. je crois que ce n'est pas son rôle, voilà tout, et il ,ne faut pas tout mélanger. Le capitalisme existe, et sous sa forme la plus sauvage d'accord.. On peut se plier devant cette réalité ou adhérer aux jeunesses communistes révolutionnaires etc.. mais l'état, ça nous concerne et en tant que citoyen on doit se révolter (ne serait-ce que parce que c'est nos tunes).
C'est vrai qu'en plus les bibliothécaires sont quand même plutôt marqués « service public » et « œuvrer pour la culture ≠ faire les quatre volontés des entreprises du marché de la culture ». Donc l'argument pourrait porter. Et puis de toute façon c'est pas très virulent, et il faudrait être un peu étroit d'esprit pour penser que ça décrédibilise le propos général.
Je signalais juste comme ça, mais du moment que c'est volontaire (pas des petites remarques essemées par inadvertance), pas de problème.
Au fait, rien à voir mais : les piliers de MLO sont tous barbus, il y en a de glabre ?
alors un petit bilan de l'atelier de samedi 10 au Congrès des bibliothèques de France.
disons brièvement que
1° les médiatèques sont en pleine réflexion tous azimuts concernant leur avenir
(et il ya aussi pas mal d'inquiétudes, et aussi pas mal d'idées)
2° je ne suis pas sûr d'avoir convaincu beaucoup de responsables de médiathèques avec mes histoires de licences libres
(je crois surtout que comme tous les artistes amateurs, on est des gens sympathiques. Et. sympathiques..)
3° cela dit c'était intéressant, bien qu'évidemment fort bref, mais ça c'est comme d'hab..
Et j'ai failli arriver au retard, je me suis paumé dans Paris, et le parc des expos c'est un truc assez énorme, alors comme je suis un pauv gars de la cambrousse, suis vite paumé hein..
4° Julien Ulrich de Virgin Mega était excellent : et pour une fois, j'ai entendu quelqu'un du bisness qui assume totalement son activité mercantile et qui va pas raconter n'importe quoi sur la défense des artistes et de la création etc.. Du coup, on s'est bien entendu : simplement on fait pas du tout le même métier (et d'ailleurs je fais de métier du tout)
Bon bon
maintenant..
maintenant quoi ?
hé bien je ne sais pas trop
j'ai essayé de suscitert un grand mouvement d'amour autour des musiciens sous licence libre
je crois que ça apportera surtout pas mal de téléchargement pour dana hilliot
c'est crétin
mais
j'ai un peu peur que ça n'aille pas beaucoup plus loin
enfin
va falloir y aller à mon avis
que dans chaque ville avec une médiathèque importante, les artistes licence libre viennent rencontrer les responsables, imaginer des trucs avec eux, etc..
rien ne vaut ces rencontres
peut-être y'aurait-il moyen de fédérer un peu ça
de systématiser ce genrfe de rencontre ?
moi je suis persuadé qu'on peut s'apporter mutuellement des trucs
mais bon
À Lyon il y a la médiathèque de la Part-Dieu (je sais pas trop ce qu'ils font là bas), et la médiathèque de Villeurbanne (qui bouge pas mal), par exemple.
Des labels de musique en libre diffusion dans le coin ? D'autres MLOistes ?
Je veux pas m'engager sur un coup de tête à lancer un projet (en général, comme je suis très flemmard, ça n'aboutit pas et je me sens un peu con), mais bon je sonde le terrain. :roll:
Je trouve en effet intéressant d'avoir une approche collective local sur ce sujet, comme sur d'autres et comme toujours qui n'en veut;:) Je mets des smileys car bien qu'habitant à la capital, ville autour de laquelle vivent pas mal d'artistes postant sur ce forum, je ne trouve jamais de retour à mes propositions de cooopération et d'actions collectives!
Ce n'est absolument pas un coup de gueule, je pense qu'on a tellement tous plus à gagner à coopérer plutôt que de jouer le jeu de la concurrence imposée par le camp d'en face, que je préfère le répéter encore une fois..
Réponses
Tu as raison de me le signaler : c'est vrai que j'ai un peu tendance à l'oublier.
Tant mieux si c'est bon alors, et merci de tenir au courant des avancées (je fais de même si il y a du nouveau, l'idéal étant éventuellement que l'on diffuse les documents avant ton colloques, ce qui pourrait peut-être amplifier ton intervention.
d'ailleurs il faudra remplacer la version provisoire qui est sur mlo par cette version définitive
mais bon
on a encore deux bonnes semaines devant nous pour prolonger els débats éventuellement
pour eOle :
les musicophages constituent une experience de médiathèque coopérative vraiment intéressante, mais qui subit de plein fouet la "crise" du support disque. Ils songent à revoir leur modèle à ce sujet, je crois.
ils ont déjà fermé leur antenne sur agen il y a quelques 2-3 ans...
vous le trouverez ici,
http://www.another-record.com/danahilliot/dana_writings/writings.htm
Médiathèques et musiques sous licence de libre diffusion : une convergence d'intérêts communs ? aux formats : rtf - pdf - abiword
encore en version alpha
(j'attends vos corrections)
– tout au long du document, « DASVI » au lieu de « DADVSI » ;
– page 3 : « mais parce que le capitalisme, dont ces sociétés sont des acteurs exemplaires, sont en quelque sorte acculées, mécaniquement, à développer de nouvelles sources de profit » (Syntaxe : le sujet de la phrase change en cours de route, et on ne sait pas ce que le capitalisme fait ou est dans cette histoire…) ;
– page 4 : « mon point de vue tend à mettre dans le même bateau les médiatèques et les réseaux P2P » (un point de vue peut tendre à quelque chose ? je sais plus trop… sinon, « dans le même bateau » est peut-être un peu juste pour une allocution, non ?) ;
– page 5 : « artiste […] émergeant » (l'adjectif, c'est « émergent ») ;
– page 8 : « Laurie » (s'écrit : Lorie) ;
– page 9 : « les disquaires (réelles ou online) » (accord de l'adjectif : réels).
arggll
– page 3 : « mais parce que le capitalisme, dont ces sociétés sont des acteurs exemplaires, sont en quelque sorte acculées, mécaniquement, à développer de nouvelles sources de profit » (Syntaxe : le sujet de la phrase change en cours de route, et on ne sait pas ce que le capitalisme fait ou est dans cette histoire…) ;
ha ben oui you're right
je corrige
page 4 : « mon point de vue tend à mettre dans le même bateau les médiatèques et les réseaux P2P » (un point de vue peut tendre à quelque chose ? je sais plus trop… sinon, « dans le même bateau » est peut-être un peu juste pour une allocution, non ?) ;
oui tu as raison, pour l'histoire du point de vue, je ne suis pas sur qu'un point de vue tende à quoi que ce soit je corrige
sinon, ce n'est pas le texte d'une allocution (je ne lis jamais de texte quand je prononce un discours, j'ai deux trois notes et ça suffit, et de toutes façons n'ayant droit qu'à 15 minutes, tu comprends bien que ce texte est avant tout destiné à la publication et pas à être lu - quant à "dans le même bateau", oui bof, j'aime bien jouer dans les textes du mélange de différents niveaux de langue : un peu à la manière des mes maîtres américians (Austin, Rorty etc..)
J'adore la langue de Lacan pour cette raison, qui est capable de mêler dans la même phrase le vocabulaire le pus technique et les mots les plus grossiers qui font rougir les bourgeoises
la langue est foisonnante : jouissons en
merci florent, j'attends la suite (christophe E m'a fait aussi des remarques instructives dans la partie privée de ce forum..)
Maintenant sur le fond :
C'est globalement bon, avec un bon compromis entre raisonnement de fond et concision pour ne pas se perdre dans les détails. La structure en deux temps de l'argumentation, où l'on situe le marché de la musique, pour dire que ce premier raisonnement est tronqué, c'est assez efficace.
Pour la partie des propositions, c'est très bien d'avoir mis en premier la proposition de rencontre et de collaboration. Ça évite de placer les musiciens dont les œuvres sont en libre diffusion dans une position de vendeurs, qui diraient « voici notre offre spéciale, êtes-vous intéressés ? ». La suite est un bon résumé du débat (en laissant de côté les considérations pas forcément utiles sur la "légitimité").
Un seul bémol pour ma part : la première partie est, je trouve, un peu affaiblie par des remarques d'ordre politique. Certes, on ne peut pas vraiment éviter le sujet, et ça reste très très soft, mais toutes les réflexions sur l'action du ministère me gènent un peu. Même si je suis globalement d'accord avec ces réflexions, j'ai peur que ça ne décrédibilise un peu le message, qui pourrait être perçu comme de la politique politicienne (il faut faire autrement parce que l'adversaire fait comme ça).
Mais bon, je ne sais pas s'il faut y changer quoi que ce soit.
Voilà, rien d'autre à priori.
excellent ma/ister :twisted: :twisted: :twisted:
héhé c'est assez joli oui
@mpop
c'est tout el problème
ça doit faire le dixième texte que je produis qui m'oblige à présenter de manière un peu résumée le débat qui nous occupe
et à chaque fois, j'essaie de m'imaginer quel public en fera lecture, et je me demande quelle stratégie adopter
si je me suis permis certaines sorties politiques c'est pour deux raisons :
d'abord parce que le titre de la table ronde à laquelle je suis invité s'intitule : "a musique a-t-elle encoire sa place dans les médiathèques ?" c'est déjà assez provocateur comme titre non ? ça montre bien qu'il y a une certaine colère qui couve là.. Et puis, si on m'invite c'est qu'il doit y avoir une raison.. on attend pas de moi que je fasse le gentil modérateur ou alors on s'est trompé de client. ça me fait penser : au départ c'est moi qui devait intervenir pour les licences libres au foruma à Nancy. Mais quand j'ai causé avec le mec de l'irma qui m'avait demandé de venir, ça a vite dégénéré : je lui ai expliqué que s'il voulait quelqu'un de modéré et d'objectif, fallait pas m'inviter (donc c'est bituur qui s'y est collé arff arfff)
ensuite, seconde raison, comme je l'ai déjà dit mille fois, ce qui me parait inacceptable ce n'est pas tant que les majors agissent comme elles agissent (ça c'est pas plus inacceptable que le capitalisme en général, mais ça ne concerne pas spécifiquement la musique), mais que l'état français, par le biais d'un ministère de la culture, ne soit qu'une officine occupée à satisfaire les intérêts du marché. je crois que ce n'est pas son rôle, voilà tout, et il ,ne faut pas tout mélanger. Le capitalisme existe, et sous sa forme la plus sauvage d'accord.. On peut se plier devant cette réalité ou adhérer aux jeunesses communistes révolutionnaires etc.. mais l'état, ça nous concerne et en tant que citoyen on doit se révolter (ne serait-ce que parce que c'est nos tunes).
http://www.musique-libre.org/article.php?sid=386
la médiathèque de troyes lance un service de téléchargment pour ses usagers.
L. Burle, de la médiathèque, a publié qq billets sur le blog http://itheque.blog.ca/ du projet ithèque en question.
le responsable m'avait déjà contacté
Je signalais juste comme ça, mais du moment que c'est volontaire (pas des petites remarques essemées par inadvertance), pas de problème.
Au fait, rien à voir mais : les piliers de MLO sont tous barbus, il y en a de glabre ?
disons brièvement que
1° les médiatèques sont en pleine réflexion tous azimuts concernant leur avenir
(et il ya aussi pas mal d'inquiétudes, et aussi pas mal d'idées)
2° je ne suis pas sûr d'avoir convaincu beaucoup de responsables de médiathèques avec mes histoires de licences libres
(je crois surtout que comme tous les artistes amateurs, on est des gens sympathiques. Et. sympathiques..)
3° cela dit c'était intéressant, bien qu'évidemment fort bref, mais ça c'est comme d'hab..
Et j'ai failli arriver au retard, je me suis paumé dans Paris, et le parc des expos c'est un truc assez énorme, alors comme je suis un pauv gars de la cambrousse, suis vite paumé hein..
4° Julien Ulrich de Virgin Mega était excellent : et pour une fois, j'ai entendu quelqu'un du bisness qui assume totalement son activité mercantile et qui va pas raconter n'importe quoi sur la défense des artistes et de la création etc.. Du coup, on s'est bien entendu : simplement on fait pas du tout le même métier (et d'ailleurs je fais de métier du tout)
Bon bon
maintenant..
maintenant quoi ?
hé bien je ne sais pas trop
j'ai essayé de suscitert un grand mouvement d'amour autour des musiciens sous licence libre
je crois que ça apportera surtout pas mal de téléchargement pour dana hilliot
c'est crétin
mais
j'ai un peu peur que ça n'aille pas beaucoup plus loin
enfin
va falloir y aller à mon avis
que dans chaque ville avec une médiathèque importante, les artistes licence libre viennent rencontrer les responsables, imaginer des trucs avec eux, etc..
rien ne vaut ces rencontres
peut-être y'aurait-il moyen de fédérer un peu ça
de systématiser ce genrfe de rencontre ?
moi je suis persuadé qu'on peut s'apporter mutuellement des trucs
mais bon
j'ai fait mon job
à vous de jouer
Des labels de musique en libre diffusion dans le coin ? D'autres MLOistes ?
Je veux pas m'engager sur un coup de tête à lancer un projet (en général, comme je suis très flemmard, ça n'aboutit pas et je me sens un peu con), mais bon je sonde le terrain. :roll:
Ce n'est absolument pas un coup de gueule, je pense qu'on a tellement tous plus à gagner à coopérer plutôt que de jouer le jeu de la concurrence imposée par le camp d'en face, que je préfère le répéter encore une fois..
Si tu veux faire des soirées libres, je suis OK pour te filer un coup de main !