Maniax aussi, tu es le bienvenue, et Mankind aussi, viendez tous faire du remplissage,
d'avance merci !
Ben oui, j'étais même là avant toi !
J'adore les gens comme toi qui détiennent la vérité !
Comme cela a été dit, tes interventions (tu parles de monologues pour les autres) ne font pas vraiment avancer le binz !
Dogmazic-Musique libre est un acteur important et il ne t'appartient pas !
Je préfère largement quand tu fais de la musique !
Franchement, ça me fait chier de me faire jeter par M. Nitrom à chaque fois que j'interviens.
Elle était pas bonne ma propal, du blanchiement d'argent ?
A-samsara, quand j'utilise "fond culturel" effectivement cela peut être interprêté, il ne s'agit pas dans mon esprit d'un sac plein de cd's en vrac à vendre dans une grande surface, ni de back catalogue d'une maison de disques, mais plutot d'un ensemble d'éléments culturels (musique,video,photo,texte) dont le point commun est la diffusion en LLD.
Comme j'essaye d'aborder l'aspect purement économique, je n'évoque pas les autres aspects de ce "mouvement culturel?" qui ne sont pas dans le champ commercial mais
qui sont tout aussi respectables et importants dans mon esprit.
je me doute bien christopeE et je n'imaginais pas un seul instant qu'il en soit autrement dans ton esprit (bien que, à tout "bien" parlé, je n'ai jamais mis les pieds à l'intérieur, de ton esprit :-)), et c'est précisément pour cette raison que je me suis arrêté sur l'expression.
tu évoques les codes qu'il faut inventer : "notre propre table, nos propres dés", et j'en suis d'accord, mais il me semblait important de revenir sur cette évidence fondamentale, qui paraît pourtant bien n'en être pas une, évidence : la culture n'est pas un bien de consommation.
il y a toute une terminologie langagière qui se présente, étant donné les temps qui sprintent, comme tout à fait commune, normalisée, banale, comme si cela allait de soi, mais surtout comme si elle était bénigne. or c'est bien à mes yeux le fond du problème, et se laisser empêtrer dans ces filets ne fera jamais que ramener vers un système qui cadenasse, étouffe, appose des barrières.
tu dis que la culture n'est pas un bien de consommation en soi, mais qu'elle le devient par l'usage, et tu précises que tu sois d'accord ou non avec ça. personnellement je réfute l'idée même. il y a quelque chose je trouve d'étonnement bancale dans cette proposition. la culture ne devient en rien un bien de consommation, même par l'usage, ce serait déconsidérer la nature même de la culture, la figer en un spectre qui la foudroyrait instantanément. je veux dire, et c'est un des gros problème de notre société : ce me semble une grossière erreur que de considèrer une chose indépendement de la relation qu'on entretient avec elle, on s'attarde sur des extrémités, mais pas sur le lien, la relation. et la culture pour moi, c'est précisement ce lien, cette relation. mais si on ne parle pas du lien, on ne parle pas de la culture, mais de son fantôme.
Avec tout le respect que je te dois, et tu es à mon sens celui qui a le plus de pertinence dans le débât qui nous occupe, je ne pense pas.
je sais pas si toi, ou quiquonque me doit un quelquonque (t'ain c'est chelou ça prend 3 q ?) respect, à vrai dire la respectabilité, je cours pas après, ça me semble être une sâle bestiole, puis je dirais aussi que c'est avant tout affaire personnel, on se doit ou non d'abord à soi. mais bon. après pour la pertinence, je suis pas certain de partager ton avis :-), d'autant que sur le fond du débat qui nous occupe, on me semble assez proche
Je le répète, Jamendo est digne d'intérêt et doit être observé, commenté, critiqué, analysé car c'est un site de premier plan en terme de notoriété ainsi qu'un modèle économique unique concernant la diffusion des artistes en LLD.
Arrrg… là pour le coup je suis plus tout à fait d'accord avec toi nitrom ! Remettons les choses à leur place : Jamendo a certes une bonne notoriété dans le monde de la diffusion du libre, mais ce n'est absolument pas un modèle économique unique, ou même nouveau : au contraire, le site reproduit un modèle en vigueur dans l'économie des mediae depuis bien avant le net, en basant tout bêtement sa rentabilité sur la vente d'espace publicitaire. Ça existait déjà sous Maritie et Gilbert Carpentier.
Faut pas chercher à voir dans jamendo autre chose qu'une entreprise offrant aux artistes un service de diffusion non sélectif et gratuit, contre un contenu gratuit lui permettant de faire fructifier un scoring d'audience susceptible d'intéresser des annonceurs.
Point-barre.
Tout le reste chez jamendo (> l'appartenance ou la contribution à une "communauté du libre", la recherche de nouveaux modèles économiques pour les artistes, etc…') c'est pipeau et compagnie. Rien d'autre que du pur fantasme, né des artistes eux-mêmes, nourri par la confusion avec le combat d'autres sites militants et actifs dans la recherche d'une économie parallèle (par ex., et au hasard, euh… dodmazic ? monculprod ?…), et enfin largement engraissé par l'ambiguité, soit du discours, soit du silence des administrateurs de jamendo dès que le sujet est abordé.
Qu'est ce que tu dis ? La redistribution des bénefs pubs ?
Aah oui… ça aussi c'est de la bonne ambiguité de chez ambigu.com : les systèmes de don mis en place, les promesses de redistribution de bénéfices sont d'abord, pour l'entreprise jamendo, un moyen de capter et fidéliser des fournisseurs de contenu non rémunérés. Voire d'obtenir du contenu plus qualitatif si ces systèmes se mettent par extraordinaire à fonctionner réellement… on peut toujours fantasmer…
Je suppose qu'ils deviennennt nécessaires sur jamendo parce que la non-sélectivité du site est unn handicap à son développement (je sais, le lien est pas évident, mais c'est un tout autre sujet trop long à développer)
Alors, on peut certes profiter du service de diffusion gratuite qu'est jamendo, et n'y voir aucune malice, mais faut pas rêver plus loin que la possibilité d'être diffusé, et surtout pas croire ou faire croire qu'on contribue à la recherche d'une économie alternative en faisant ça.
Au contraire, chaque artiste présent sur jamendo conforte un modèle économique existant antagoniste sur bien des points avec la philosophie du libre (mais peut être que la plupart des artistes s'en fout, finalement, de la philosophie du libre, en dehors du fait que le libre permette une diffusion hors controle sacem ?)
Dans tout ça, les threads sur jamendo parlant d'une nouvelle économie du libre, ça me fait bien marrer. D'ailleurs y'en a pas beaucoup, quand les admins sentent que ça dévient, il lancnt des concours d'histoires drôles qui prennent trop de place.
Et j'ai honte de mettre mon grain de sel là dedans, 43 pages, c'était déjà bien trop.
dites, vous pôurriez ecrire des phrases plus courtes, parceque c'est dur de suivre sinon :-D..
..
Bon, ok ,je sors ..
c'etais le moment de détente.. qui dure pas longtemps :lolol:
++ les gens.. et VIVE DOGMAZIC (j'ai été intervieuvé hiers sur ACG chaine locale Guyanaise et j'ai fait un gros speetch sur le site de music libre.. j'espere que j'etais a l'antenne ) ++
mais peut être que la plupart des artistes s'en fout, finalement, de la philosophie du libre, en dehors du fait que le libre permette une diffusion hors controle sacem
ah enfin !!!!
on avait un peu occulté la "responsabilité" de "l' utilisateur"/ "artiste" dans cette histoire, son positionnement, son attente, sa demande , sa réflexion vis à vis de ce qu'on nomme généralement et pompeusement la "philosophie du libre"...
Ensuite peut on en vouloir à certain "bizznessman" d' en vouloir capter la manne financière possible (sans pour autant que nous devons en accepter le fait, hein ? faut pas déconner!!!) ???
tien pendant que j' ecris , il y a un sujet sur le midem et la zique en vente en ligne....les majors vont se tourner vers des sites de diffusions gratuite financer par la pub.... :roll:
tien pendant que j' ecris , il y a un sujet sur le midem et la zique en vente en ligne....les majors vont se tourner vers des sites de diffusions gratuite financer par la pub.... Roulement des yeux
C'est ce que j'appelle la convergence de points de vue... Et qu'elle sera la différence entre Jamendo et Myspace quand un jour la Sacem acceptera, moyennant monnaie sonnante et trébuchante (les connaissant un peu je me doute qu'ils vont accepter le téléchargement 100% financé par la pub sans avoir une part du gâteau) ?
Les licences CC ? Elles deviendront un témoin temporaire d'une réaction des internautes et de quelques artistes face à un système qui les aura bouffé par la suite.
De toutes façons, Universal et cie ont le droit d'avoir une certaine inertie dans leurs réactions, l'argent qu'ils gagnent et les médias à leur botte leur permettent de rattraper ce retard sur les générations à venir.
Pour faire avancer ce thread vers la 50ème page tant attendue par nitrom ...
Le reversement par jamendo d'une partie des bénéfices publicitaires aux artistes remonte à la surface de ma mémoire une vieille intérogation :
Comment l'artiste, simple particulier, déclarera-t-il les sommes percues ?
Est-ce à déclarer comme droits d'auteur ? Dans la case "traitements et salaires" ou dans les BNC ?
Bien sûr, les sommes mises en jeu ne seront pas énormes, mais on ne rigole pas avec le fisc.
J'ai trouvé ça concernant le livre, mais ça doit être pareil pour la musique : http://portaildulivre.com/droitsauteur.htm
Certains écrivains pensent qu'il n'est pas nécessaire de déclarer leurs "bénéfices" dès lors que leurs revenus d'auteurs sont faibles ou occasionnels. Ce qui est un tort car au niveau fiscal, une déclaration doit être produite dès le premier euro encaissé. Et l'éditeur à compte d'auteur, qui remet un relevé de compte annuel à l'auteur, tient une comptabilité... qui permet de retrouver les écrivains ayant oublié de déclarer leurs "bénéfices"
Pour qu'il s'agisse de droits d'auteur, la rénumération doit toucher tous les ayants-droits, or, faute d'infos complètes, Jamendo ne dépose(ra) que sur le compte de la personne qui a ouvert le compte et inscrit les titres. Quid de l'assurance de la juste répartition entre tous les ayants droits ?
la seule reaction au sujet "jamendo et la pub" est...la musique libre est elle libre??? les clauses nc /nd... enfin ils evoluent pas trop dans leur reflexion..on tourne en rond !!
Lorsque un site diffuseur engrenge des bénéfices par la vente d'espaces publicitaires à des annonceurs dont la provenance n'est pas soumise à un accord entre lui et les auteurs de son contenu en licences de libre diffusion, il rompt dans un premier temps le contrôle qu'entend conserver tout auteur éclairé sur le cadre de diffusion de son travail et viole ensuite la clause de non-commercialisation.
Reverser une part des bénéfices de la publicité aux auteurs sous-entendrait-il un aveu, celui d'une exploitation commerciale illégale venant d'un site qui chercherait ainsi à se couvrir en intéressant les propriétaires du contenu sur lequel il gagne de l'argent?
... (Question mûrement réfléchie (si si, on dirait pas comme ça hein, mais si) mais qui n'a qu'un seul but avoué
> les 50 pages)
Pour reprendre maintenant la question de Xulops, selon le fisc ce versement oblige les auteurs à des obligations fiscales et sociales dés le premier euro perçu. La case concernée sur la feuille d'impôts dépend je crois du statut de ou des auteurs.
Car là aussi... cest le drame! Puisque Jamendo visiblement s'en cogne (entre autres choses) de savoir combien vous êtes dans votre groupe ou votre concept pour vous virer vos 30 centimes sur un compte unique.
Bref, je n'ai toujours pas compris à quel titre on peut toucher de l'argent d'un travail d'auteur mis en vitrine sur un site que l'on remercie pour sa gratuité, offerte au prix d'un licenciement, et qui lui se rémunère dans un premier temps pour ses frais de fonctionnement, puis s'enrichit, le tout sans accord préalable, en vendant sa visibilté à des entités antagonistes au mouvement auquel adhèrent ceux qui vont toucher de l'argent d'un travail... Ah mais je l'ai déjà dit...
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J'adore les gens comme toi qui détiennent la vérité !
Comme cela a été dit, tes interventions (tu parles de monologues pour les autres) ne font pas vraiment avancer le binz !
Dogmazic-Musique libre est un acteur important et il ne t'appartient pas !
Je préfère largement quand tu fais de la musique !
Franchement, ça me fait chier de me faire jeter par M. Nitrom à chaque fois que j'interviens.
Elle était pas bonne ma propal, du blanchiement d'argent ?
je me doute bien christopeE et je n'imaginais pas un seul instant qu'il en soit autrement dans ton esprit (bien que, à tout "bien" parlé, je n'ai jamais mis les pieds à l'intérieur, de ton esprit :-)), et c'est précisément pour cette raison que je me suis arrêté sur l'expression.
tu évoques les codes qu'il faut inventer : "notre propre table, nos propres dés", et j'en suis d'accord, mais il me semblait important de revenir sur cette évidence fondamentale, qui paraît pourtant bien n'en être pas une, évidence : la culture n'est pas un bien de consommation.
il y a toute une terminologie langagière qui se présente, étant donné les temps qui sprintent, comme tout à fait commune, normalisée, banale, comme si cela allait de soi, mais surtout comme si elle était bénigne. or c'est bien à mes yeux le fond du problème, et se laisser empêtrer dans ces filets ne fera jamais que ramener vers un système qui cadenasse, étouffe, appose des barrières.
tu dis que la culture n'est pas un bien de consommation en soi, mais qu'elle le devient par l'usage, et tu précises que tu sois d'accord ou non avec ça. personnellement je réfute l'idée même. il y a quelque chose je trouve d'étonnement bancale dans cette proposition. la culture ne devient en rien un bien de consommation, même par l'usage, ce serait déconsidérer la nature même de la culture, la figer en un spectre qui la foudroyrait instantanément. je veux dire, et c'est un des gros problème de notre société : ce me semble une grossière erreur que de considèrer une chose indépendement de la relation qu'on entretient avec elle, on s'attarde sur des extrémités, mais pas sur le lien, la relation. et la culture pour moi, c'est précisement ce lien, cette relation. mais si on ne parle pas du lien, on ne parle pas de la culture, mais de son fantôme.
comme le fait effectivement ce gus du snep.
il n'y aurait pas des raisons aussi à cela ? un peu les mêmes problématiques ? des mêmes "acteurs", des mêmes "intérêts" ?
je sais pas si toi, ou quiquonque me doit un quelquonque (t'ain c'est chelou ça prend 3 q ?) respect, à vrai dire la respectabilité, je cours pas après, ça me semble être une sâle bestiole, puis je dirais aussi que c'est avant tout affaire personnel, on se doit ou non d'abord à soi. mais bon. après pour la pertinence, je suis pas certain de partager ton avis :-), d'autant que sur le fond du débat qui nous occupe, on me semble assez proche
ouai je vois ça et quelque part je comprend, mais bon, ça dépend des humeurs c'est sur, mais des fois c'est juste un peu chiant :-)
Arrrg… là pour le coup je suis plus tout à fait d'accord avec toi nitrom ! Remettons les choses à leur place : Jamendo a certes une bonne notoriété dans le monde de la diffusion du libre, mais ce n'est absolument pas un modèle économique unique, ou même nouveau : au contraire, le site reproduit un modèle en vigueur dans l'économie des mediae depuis bien avant le net, en basant tout bêtement sa rentabilité sur la vente d'espace publicitaire. Ça existait déjà sous Maritie et Gilbert Carpentier.
Faut pas chercher à voir dans jamendo autre chose qu'une entreprise offrant aux artistes un service de diffusion non sélectif et gratuit, contre un contenu gratuit lui permettant de faire fructifier un scoring d'audience susceptible d'intéresser des annonceurs.
Point-barre.
Tout le reste chez jamendo (> l'appartenance ou la contribution à une "communauté du libre", la recherche de nouveaux modèles économiques pour les artistes, etc…') c'est pipeau et compagnie. Rien d'autre que du pur fantasme, né des artistes eux-mêmes, nourri par la confusion avec le combat d'autres sites militants et actifs dans la recherche d'une économie parallèle (par ex., et au hasard, euh… dodmazic ? monculprod ?…), et enfin largement engraissé par l'ambiguité, soit du discours, soit du silence des administrateurs de jamendo dès que le sujet est abordé.
Qu'est ce que tu dis ? La redistribution des bénefs pubs ?
Aah oui… ça aussi c'est de la bonne ambiguité de chez ambigu.com : les systèmes de don mis en place, les promesses de redistribution de bénéfices sont d'abord, pour l'entreprise jamendo, un moyen de capter et fidéliser des fournisseurs de contenu non rémunérés. Voire d'obtenir du contenu plus qualitatif si ces systèmes se mettent par extraordinaire à fonctionner réellement… on peut toujours fantasmer…
Je suppose qu'ils deviennennt nécessaires sur jamendo parce que la non-sélectivité du site est unn handicap à son développement (je sais, le lien est pas évident, mais c'est un tout autre sujet trop long à développer)
Alors, on peut certes profiter du service de diffusion gratuite qu'est jamendo, et n'y voir aucune malice, mais faut pas rêver plus loin que la possibilité d'être diffusé, et surtout pas croire ou faire croire qu'on contribue à la recherche d'une économie alternative en faisant ça.
Au contraire, chaque artiste présent sur jamendo conforte un modèle économique existant antagoniste sur bien des points avec la philosophie du libre (mais peut être que la plupart des artistes s'en fout, finalement, de la philosophie du libre, en dehors du fait que le libre permette une diffusion hors controle sacem ?)
Dans tout ça, les threads sur jamendo parlant d'une nouvelle économie du libre, ça me fait bien marrer. D'ailleurs y'en a pas beaucoup, quand les admins sentent que ça dévient, il lancnt des concours d'histoires drôles qui prennent trop de place.
Et j'ai honte de mettre mon grain de sel là dedans, 43 pages, c'était déjà bien trop.
Faut demander aux gens de MCP, ils s'y connaissent en "q"
Sinon, ça s'écrit comme cela : quelconque, quiconque...
dites, vous pôurriez ecrire des phrases plus courtes, parceque c'est dur de suivre sinon :-D..
..
Bon, ok ,je sors ..
c'etais le moment de détente.. qui dure pas longtemps :lolol:
++ les gens.. et VIVE DOGMAZIC (j'ai été intervieuvé hiers sur ACG chaine locale Guyanaise et j'ai fait un gros speetch sur le site de music libre.. j'espere que j'etais a l'antenne ) ++
Merde Pola, on était d'accord et c'est maintenant que tu me le dis ?!!!
Argh!!! frustration !
ah enfin !!!!
on avait un peu occulté la "responsabilité" de "l' utilisateur"/ "artiste" dans cette histoire, son positionnement, son attente, sa demande , sa réflexion vis à vis de ce qu'on nomme généralement et pompeusement la "philosophie du libre"...
Ensuite peut on en vouloir à certain "bizznessman" d' en vouloir capter la manne financière possible (sans pour autant que nous devons en accepter le fait, hein ? faut pas déconner!!!) ???
tien pendant que j' ecris , il y a un sujet sur le midem et la zique en vente en ligne....les majors vont se tourner vers des sites de diffusions gratuite financer par la pub.... :roll:
C'est ce que j'appelle la convergence de points de vue... Et qu'elle sera la différence entre Jamendo et Myspace quand un jour la Sacem acceptera, moyennant monnaie sonnante et trébuchante (les connaissant un peu je me doute qu'ils vont accepter le téléchargement 100% financé par la pub sans avoir une part du gâteau) ?
Les licences CC ? Elles deviendront un témoin temporaire d'une réaction des internautes et de quelques artistes face à un système qui les aura bouffé par la suite.
De toutes façons, Universal et cie ont le droit d'avoir une certaine inertie dans leurs réactions, l'argent qu'ils gagnent et les médias à leur botte leur permettent de rattraper ce retard sur les générations à venir.
convergence d' esprit II alors....
je lis ta reponse et fait un tour sur jam et je tombe sur ça lol
concernant les nouveautés/MAj prevue des profils membres sur jam .....
Le reversement par jamendo d'une partie des bénéfices publicitaires aux artistes remonte à la surface de ma mémoire une vieille intérogation :
Comment l'artiste, simple particulier, déclarera-t-il les sommes percues ?
Est-ce à déclarer comme droits d'auteur ? Dans la case "traitements et salaires" ou dans les BNC ?
Bien sûr, les sommes mises en jeu ne seront pas énormes, mais on ne rigole pas avec le fisc.
J'ai trouvé ça concernant le livre, mais ça doit être pareil pour la musique : http://portaildulivre.com/droitsauteur.htm
Pour qu'il s'agisse de droits d'auteur, la rénumération doit toucher tous les ayants-droits, or, faute d'infos complètes, Jamendo ne dépose(ra) que sur le compte de la personne qui a ouvert le compte et inscrit les titres. Quid de l'assurance de la juste répartition entre tous les ayants droits ?
Ah enfin quelqu'un qui s'intéresse vraiment au fond de ce thread ; faire 50 pages
Merci, merci, merci !!!!
http://linuxfr.org/2007/01/19/21935.html
surtout la clause non-commercial etc..
====>page 50
Ah oui, j'ai perdu du temps sur ce sujet... si j'aurais su j'aurai pas allé.
Définitivement, je ne vois aucun rapport dans les deux démarches, du moins plus maintenant.
Pour finir, je trouve qu'il n'y a rien de plus pathétique qu'un informaticien qui veut parler d'art.
Sauf ceux qui ont des avatars en forme de chat, bien sûr
Comme celui-là, par exemple ?
Lorsque un site diffuseur engrenge des bénéfices par la vente d'espaces publicitaires à des annonceurs dont la provenance n'est pas soumise à un accord entre lui et les auteurs de son contenu en licences de libre diffusion, il rompt dans un premier temps le contrôle qu'entend conserver tout auteur éclairé sur le cadre de diffusion de son travail et viole ensuite la clause de non-commercialisation.
Reverser une part des bénéfices de la publicité aux auteurs sous-entendrait-il un aveu, celui d'une exploitation commerciale illégale venant d'un site qui chercherait ainsi à se couvrir en intéressant les propriétaires du contenu sur lequel il gagne de l'argent?
... (Question mûrement réfléchie (si si, on dirait pas comme ça hein, mais si) mais qui n'a qu'un seul but avoué
> les 50 pages)
Pour reprendre maintenant la question de Xulops, selon le fisc ce versement oblige les auteurs à des obligations fiscales et sociales dés le premier euro perçu. La case concernée sur la feuille d'impôts dépend je crois du statut de ou des auteurs.
Car là aussi... cest le drame! Puisque Jamendo visiblement s'en cogne (entre autres choses) de savoir combien vous êtes dans votre groupe ou votre concept pour vous virer vos 30 centimes sur un compte unique.
Bref, je n'ai toujours pas compris à quel titre on peut toucher de l'argent d'un travail d'auteur mis en vitrine sur un site que l'on remercie pour sa gratuité, offerte au prix d'un licenciement, et qui lui se rémunère dans un premier temps pour ses frais de fonctionnement, puis s'enrichit, le tout sans accord préalable, en vendant sa visibilté à des entités antagonistes au mouvement auquel adhèrent ceux qui vont toucher de l'argent d'un travail... Ah mais je l'ai déjà dit...
:shock: :P :twisted: :arrow: