je préfère déposer ma zic sur un sites sans forcer l'écoute,un forum c'est pour la discutions,quand je veux écouter un cd ,je n'ai absolument pas besoin que l'on me donne une direction.
Dis donc Alone, tu ne crois pas que tu exagères ?
Et le bouton [www] en bas de chacun de tes posts, c'est là pour faire joli ?
nous envoyer sur ta page jahgmazickq en plus.
He He He ,bien vu!oui j'avoue que ça peut m'arriver exagéré un tous petit peut, je ne vois pas de signatures en dessous de mes postes"mon coté con", pas étonnant venant de ma part, :roll: euuuuuuuuuuuuuxxx...
Je retentais une petite relance du threat.(ça marche,est c'est plaisir de lires)
Non je ne suis pas gêné,est sur jamendo sa renvois sur dogmazic ,est sur my space,est ça crées une splendides spirale de diffusion,i'm the demon :twisted: ,non !mais plus sérieusement cette signatures ,est pour moi en premier! n'est telle pas,un début d'influences vers une certaines pub personnelle,sans but lucratif,dans nôtres cas.
Je me pause simplement la question.
Ha oui suis je con?WWW
C'est sur tous les liens en rouge ,que j'avais porté mon attention...
Est bien tu voit ,ça c'est du au fait, que une image ,un peut petite au dessus ou en dessous,est bien je ne me pause pas plus de question que ça,un peut comme une petites pub a gauche ou a droites sur jamendo ou my space.
Mon écart sur les profs est aussi un renvoi au passage sur la publicité pour les enfants. Mais tu as bien vu le rapprochement, à savoir qu'entre-autres nous vivons dans une société qui prend les citoyens pour des abrutis à qui il faut leur expliquer comment bien voter. Mais bon, ce n'est pas nouveau non plus, le parti républicain (du XIXe jusqu'en 1945) refusait bien de voter le droit de vote aux femmes sous prétexte qu'elles voteraient massivement pour les candidats royalistes et catholiques...
L'information sert aussi à cela, et encore plus quand il s'agit d'information dirigée par un pouvoir public. Il est à noter que l'AFP est toujours détenue par le gouvernement et que les services du président ont un droit de regard sur les dépêches qui passent à son sujet ou au sujet de la politique extérieure, une vieille résurgence de l'ORTF.
Être pédagogue s’est faire grandir et donner la maturité nécessaire à une personne, c’est entre autre lui donner le sens critique par rapport aux informations dont on le bombarde chaque jour aujourd’hui. Ce n’est pas lui marteler un apprentissage (même si la répétition est sans conteste une méthode efficace pour mémoriser quelque chose).
La répétition peut faire partie d'une stratégie pédagogique pour faire apprendre. Après il faut bien dissocier les âges. Un enfant de 5 ans, si tu lui expliques aura de grandes chances de ne pas comprendre (question de vocabulaire surtout et certaines choses seront comprises partiellement), ce à quoi il faut répondre par différents moyens d'explication pour arriver à cerner les lacunes de l'enfant et lui proposer de les réduire par d'autres moyens. Un adolescent, peut comprendre beaucoup de choses mais la pédagogie doit ici être différente, la répétition n'étant qu'une technique de mémorisation.
La publicité utilise très bien ces méthodes pour inculquer ses messages. La répétition en elle-même n'est pas "mauvaise", c'est une technique comme une autre de mémorisation, connue depuis des siècles par les artistes notamment (musiciens, conteurs...).
À mon sens on se trompe de cible quand on met en lumière essentiellement le caractère répétitif de la publicité.
Son omniprésence, les discours qu'elle propage (place de la femme dans la société, jugement de valeurs, propagande pour tel moyen de production d'énergie...), sont à mon sens beaucoup plus révélateurs des "qualités" de la publicité.
Je me rappelle des mesures d'audience des radios. France Info est la 3e radio de France mais avec 15 minutes en moyenne par auditeur. Comme quoi la répétition des informations et publicités de cette radio n'est peut-être pas le point sur lequel il faille se focaliser pour en juger le contenu et/ou le caractère publicitaire.
Aussi sur le sens des mots et leur façon de varier avec le temps c’est assez évident que c’est la deuxième acception du mot publicité qui est la plus courante. Pourtant, la première signification que ce soit en 2003 ou 2006 ;-) est bien toujours présente et ce n’est pas encore du « vieux français » ! La façon dont l’usage des mots évolue (Orwell et sa novlangue l’avait parfaitement illustré) est assez révélatrice de ce qu’on voudrait nous faire penser ou tout au moins de l’état d’esprit d’un temps.
Sur le sens des mots, je considère souvent le livre d'Éric Hazan, "LQR la propagande du quotidien", (poche Raison d'Agir) comme un très bon outil de réflexion sur ces sujets.
Dans la lignée du post précédent, pour l'éducation des masses, qui n'aurait pas envie de se fader toute la littérature passablement indigeste des situs, ou postsitus, ou néositus, pour Iggy, pour le mythe porteur, son avatar, et ses Debord ements...
Je cite quelques extraits d'un texte de C de Chrusrople sur le site des éditions Belles émotions (émanation de l'Observatoire de Téléologie) où il fait une critique rapide d'un livre de Pagnon ( 'En évoquant Wagner' « La musique comme mensonge et comme vérité » paru chez l'éditeur Champ Libre en 1981.)
( Chrusrople appelle Rock (avec une majuscule) , en gros,toute la musique populaire amplifié (?) issue du rock'n roll et du bizness qui s'y rattache. Le Rock est toute la musique d'aujourd'hui. dit-il en 81...)
Si le Rock était de la musique, ce serait la première grande musique. Pas de chance. Le Rock n'est qu'un spectacle, une représentation, un rapport social. Le Rock est l'idéologie de la musique à la place de la musique. Du rite et du vent.
Après avoir réfléchi pendant plusieurs jours à une réponse, j'en suis arrivé à la conclusion que je l'avais déjà écrite, et peut-être même plusieurs fois. Par exemple dans mon court roman Musique de l'énergie, qui met en scène le Rock'n'roll en personne, et aussi dans la novella Honoré a disparu, et ailleurs. Ce sont des textes sur la/les mythologie(s) du rock, mais pas seulement.
Si tu veux jeter un coup d'œil à Musique de l'énergie, voici le torrent correspondant :
Oui je veux bien jeter un coup d'oeil, mais, non, je ne peux pas, il semble que le torrent ne fonctionne pas.
De quoi était-il question au fait? :shock:
Des éléments de réponse on peut en trouver dans de multiples écrits de musicologie, j'aime bien pour ma part un petit livre de T.Adorno, pas cher, chez Allia, paru en 1938 (!) Le Caractère fétiche dans la musique et la régression de l'écoute, ou d'autres trucs du même auteur ou du même tonneau.
Adorno qui était philosophe musicologue sociologue ET compositeur, je trouve que ça vaut le coup de regarder un peu ce qu'il a bien pu écrire.
Extrait de la quatrième de couverture :
Toutes les thèses d'Adorno sur le processus moderne qui fait de l'art une simple marchandise se trouvent contenues ici, appliquées à la musique, domaine auquel il était particulièrement attaché. Un texte dérangeant, parfois provocateur, au croisement de la philosophie, la sociologie et la musicologie, après la lecture duquel on n'écoutera jamais plus de la même façon un morceau de variété.
Oui je veux bien jeter un coup d'oeil, mais, non, je ne peux pas, il semble que le torrent ne fonctionne pas.
De quoi était-il question au fait? :shock:
De mythologie et de pognon. En gros.
A priori le torrent marche. Quelqu'un vient tout juste de télécharger le fichier.
Sinon, le texte est aussi là :
Dans la lignée du post précédent, pour l'éducation des masses, qui n'aurait pas envie de se fader toute la littérature passablement indigeste des situs, ou postsitus, ou néositus, pour Iggy, pour le mythe porteur, son avatar, et ses Debord ements...
Tout n'est pas forcément indigeste, venant des situs et autres dérivés.
Ils ont aussi commis des choses percutantes, tout simplement belles, voire drôles, et leur posture dadaïste tenait aussi d'une forme de spectacle, finalement. De même pour le rock : il faut des fois gratter un peu derrière les attitudes, les représentations, les rites, le folklore... pour accéder à ce qu'il peut y avoir de vraiment intéressant. Le rock, c'est aussi un registre dans lequel un musicien peut sans grande technicité se laisser aller à une forme de créativité brute : ce n'est pas rien.
Le Rock...c'est pas ce truc issu du pillage du jazz, du blues et de la soul par les blancs Américains puritains et racistes des années 50 ?
Ca n'a pas fini au fond des toilettes à Las Vegas avec un gros et une crise cardiaque ?
Le Rock...c'est pas ce truc issu du pillage du jazz, du blues et de la soul par les blancs Américains puritains et racistes des années 50 ?
Houlà, c'est beaucoup plus compliqué que ça. Le jazz n'a pas grand chose à faire là-dedans et l'on ne peut pas minimiser le rôle du folk et de la country.
Non mais je me moque, je n'ai aucune affinité avec ce "courant culturel" qu'est le Rock et la musique "blanche" en général
Il y a tellement d'autres choses en musique plus intéressantes que le Rock...
Mais sinon, c'est pas plutôt une arme pychologique Russe dont le but était de destabiliser le Monde Libre en s'attaquant aux esprits faibles et repus de la jeunesse Américaine ?
Et Elvis n'est pas mort, on l'a vu au côté de Gorbatchev dans un document classé top secret par la CIA. Ou alors je confonds avec un épisode de X-Files ?
Peut-être...
Amusant. Le texte est assez documenté, d'ailleurs, mais ce qui lui donne tout son sel, c'est les interprétations et les corrélations complotistes. Enfin, Satan l'habite, quoi.
Sinon, en moins drôle mais intéressant, il y a aussi Lipstick traces, le bouquin de Greil Marcus, qui voit se dessiner une histoire secrète de la subversion qu'il fait partir de Dada, en passant par le rock et les situs, pour aller jusqu'au punk.
Le rock, pour moi, c'est surtout une histoire de mômes qui s'emmerdent et puis y a une guitare qui traine, un mec qui connaît les 3 accords de blues, un autre qui amène les bières, et puis faut épater les filles, aussi. Après, on vieillit, on commence à théoriser, et on finit par faire du jazz ou alors on se trouve un "vrai" métier.
Ce n'est pas parce qu'on n'a pas d'affinité avec quelque chose que ça n'a pas d'intérêt.
On ne peut pas comprendre l'histoire de l'industrie musicale depuis 1949 si l'on ignore les grandes lignes de ses rapports avec le rock.
Oui, je sais, tu n'as pas d'affinité avec l'industrie musicale.
N'empêche que, lorsqu'on veut construire quelque chose de neuf, mieux vaut connaître ce qui s'est fait auparavant : ça évite de refaire les mêmes erreurs.
N'empêche que, lorsqu'on veut construire quelque chose de neuf, mieux vaut connaître ce qui s'est fait auparavant : ça évite de refaire les mêmes erreurs.
Théoriquement si on fait tout l'inverse on devrait arriver au résultat inverse, ça a l'air trés facile à mettre en oeuvre, non ?
Donc, pas d'icone pop et tout devrait marcher comme sur des rouletes. Car qui dit pas d'icone, dit, pas d'univers factice pour gogos à vendre.
"Bruits" d'Attali est un bon bouquin intéressant sur l'histoire de la musique enregistrée et son industrie.
Le rock n'est qu'une partie de l'iceberg à mon sens.
Non mais je me moque, je n'ai aucune affinité avec ce "courant culturel" qu'est le Rock et la musique "blanche" en général
Il y a tellement d'autrtes choses en musique plus intéressantes que le Rock...
Voui, mais les blancs, ils ont le droit de faire aussi de la musique, et même de pomper celle des noirs, non ? Le reggae revu par des punks (Clash, par exemple), c'était rigolo.
Le jazz lui-même doit beaucoup à des musiciens blancs (pas mal de juifs).
Dans la soul et le rythm'n'blues, derrière des gens comme Otis Redding (noir), il y avait des types comme Steve Cropper (blanc).
Et il y a des noirs qui ont fait du rock. Hendrix, métis indien-noir, par exemple.
N'empêche que, lorsqu'on veut construire quelque chose de neuf, mieux vaut connaître ce qui s'est fait auparavant : ça évite de refaire les mêmes erreurs.
Théoriquement si on fait tout l'inverse on devrait arriver au résultat inverse, ça a l'air trés facile à mettre en oeuvre, non ?
Donc, pas d'icone pop et tout devrait marcher comme sur des rouletes. Car qui dit pas d'icone, dit, pas d'univers factice pour gogos à vendre.
Bah les icônes pop ce n'est pas réservé au rock, hein, les dj puisent bien dans ce réservoir de mythes porteurs.
Donc, pas d'icone pop et tout devrait marcher comme sur des rouletes. Car qui dit pas d'icone, dit, pas d'univers factice pour gogos à vendre.
Nous ne parlons pas du tout de la même chose.
Ta vision est clairement… disons post-MTV pour (énormément) simplifier. L'industrie musicale, le rock, le marketing, tout ça a une histoire. Je ne peux que te conseiller de lire et de méditer le chapitre 3 de No Logo de Naomi Klein.
Inutile d'idéaliser davantage le Woodstock originel. Entre (plusieurs) autres choses, ce fut également un festival rock soutenu par de grandes compagnies de disques et conçu pour générer un profit. Toutefois, le mythe de Woodstock en tant qu'État souverain de la culture jeunesse faisait partie d'un vaste projet d'autonomie générationnelle — concept totalement étranger à ceux qui assistaient à Woodstock '94, pour lesquels l'autonomie générationnelle était largement une marchandise pré-emballée, et la quête de soi façonnée par le boniment du marketing, qu'ils y croient ou non, qu'ils se définissent ou non en opposition à lui.
Réponses
He He He ,bien vu!oui j'avoue que ça peut m'arriver exagéré un tous petit peut, je ne vois pas de signatures en dessous de mes postes"mon coté con", pas étonnant venant de ma part, :roll: euuuuuuuuuuuuuxxx...
Je retentais une petite relance du threat.(ça marche,est c'est plaisir de lires)
Non je ne suis pas gêné,est sur jamendo sa renvois sur dogmazic ,est sur my space,est ça crées une splendides spirale de diffusion,i'm the demon :twisted: ,non !mais plus sérieusement cette signatures ,est pour moi en premier! n'est telle pas,un début d'influences vers une certaines pub personnelle,sans but lucratif,dans nôtres cas.
Je me pause simplement la question.
C'est sur tous les liens en rouge ,que j'avais porté mon attention...
Est bien tu voit ,ça c'est du au fait, que une image ,un peut petite au dessus ou en dessous,est bien je ne me pause pas plus de question que ça,un peut comme une petites pub a gauche ou a droites sur jamendo ou my space.
:roll: Ok je sort :P
L'information sert aussi à cela, et encore plus quand il s'agit d'information dirigée par un pouvoir public. Il est à noter que l'AFP est toujours détenue par le gouvernement et que les services du président ont un droit de regard sur les dépêches qui passent à son sujet ou au sujet de la politique extérieure, une vieille résurgence de l'ORTF.
La répétition peut faire partie d'une stratégie pédagogique pour faire apprendre. Après il faut bien dissocier les âges. Un enfant de 5 ans, si tu lui expliques aura de grandes chances de ne pas comprendre (question de vocabulaire surtout et certaines choses seront comprises partiellement), ce à quoi il faut répondre par différents moyens d'explication pour arriver à cerner les lacunes de l'enfant et lui proposer de les réduire par d'autres moyens. Un adolescent, peut comprendre beaucoup de choses mais la pédagogie doit ici être différente, la répétition n'étant qu'une technique de mémorisation.
La publicité utilise très bien ces méthodes pour inculquer ses messages. La répétition en elle-même n'est pas "mauvaise", c'est une technique comme une autre de mémorisation, connue depuis des siècles par les artistes notamment (musiciens, conteurs...).
À mon sens on se trompe de cible quand on met en lumière essentiellement le caractère répétitif de la publicité.
Son omniprésence, les discours qu'elle propage (place de la femme dans la société, jugement de valeurs, propagande pour tel moyen de production d'énergie...), sont à mon sens beaucoup plus révélateurs des "qualités" de la publicité.
Je me rappelle des mesures d'audience des radios. France Info est la 3e radio de France mais avec 15 minutes en moyenne par auditeur. Comme quoi la répétition des informations et publicités de cette radio n'est peut-être pas le point sur lequel il faille se focaliser pour en juger le contenu et/ou le caractère publicitaire.
Sur le sens des mots, je considère souvent le livre d'Éric Hazan, "LQR la propagande du quotidien", (poche Raison d'Agir) comme un très bon outil de réflexion sur ces sujets.
Après avoir réfléchi pendant plusieurs jours à une réponse, j'en suis arrivé à la conclusion que je l'avais déjà écrite, et peut-être même plusieurs fois. Par exemple dans mon court roman Musique de l'énergie, qui met en scène le Rock'n'roll en personne, et aussi dans la novella Honoré a disparu, et ailleurs. Ce sont des textes sur la/les mythologie(s) du rock, mais pas seulement.
Si tu veux jeter un coup d'œil à Musique de l'énergie, voici le torrent correspondant :
http://www.freetorrent.fr/details.php?id=57deaee02d41c384f3705859b8ddfbfb52443157&hit=1
De quoi était-il question au fait? :shock:
Des éléments de réponse on peut en trouver dans de multiples écrits de musicologie, j'aime bien pour ma part un petit livre de T.Adorno, pas cher, chez Allia, paru en 1938 (!) Le Caractère fétiche dans la musique et la régression de l'écoute, ou d'autres trucs du même auteur ou du même tonneau.
Adorno qui était philosophe musicologue sociologue ET compositeur, je trouve que ça vaut le coup de regarder un peu ce qu'il a bien pu écrire.
Extrait de la quatrième de couverture :
Toutes les thèses d'Adorno sur le processus moderne qui fait de l'art une simple marchandise se trouvent contenues ici, appliquées à la musique, domaine auquel il était particulièrement attaché. Un texte dérangeant, parfois provocateur, au croisement de la philosophie, la sociologie et la musicologie, après la lecture duquel on n'écoutera jamais plus de la même façon un morceau de variété.
De mythologie et de pognon. En gros.
A priori le torrent marche. Quelqu'un vient tout juste de télécharger le fichier.
Sinon, le texte est aussi là :
http://www.divshare.com/download/1843261-833
Bon, c'est une fiction, mais la thèse qui y est soulevée n'a rien de fictif une fois débarrassée de ses oripeaux science-fictifs.
Le torrent met un peu de temps à trouver la source.
Tout n'est pas forcément indigeste, venant des situs et autres dérivés.
Ils ont aussi commis des choses percutantes, tout simplement belles, voire drôles, et leur posture dadaïste tenait aussi d'une forme de spectacle, finalement. De même pour le rock : il faut des fois gratter un peu derrière les attitudes, les représentations, les rites, le folklore... pour accéder à ce qu'il peut y avoir de vraiment intéressant. Le rock, c'est aussi un registre dans lequel un musicien peut sans grande technicité se laisser aller à une forme de créativité brute : ce n'est pas rien.
http://www.av1611.org/othpubls/roots.html
Il fallait que ce soit dit.
Ca n'a pas fini au fond des toilettes à Las Vegas avec un gros et une crise cardiaque ?
Houlà, c'est beaucoup plus compliqué que ça. Le jazz n'a pas grand chose à faire là-dedans et l'on ne peut pas minimiser le rôle du folk et de la country.
Tu as suivi le lien ?
Non, ça, c'est la variété étatsunienne.
Tu n'as pas l'air de bien connaître l'histoire de la musique populaire du XXe siècle, toi…
Il y a tellement d'autres choses en musique plus intéressantes que le Rock...
Mais sinon, c'est pas plutôt une arme pychologique Russe dont le but était de destabiliser le Monde Libre en s'attaquant aux esprits faibles et repus de la jeunesse Américaine ?
Et Elvis n'est pas mort, on l'a vu au côté de Gorbatchev dans un document classé top secret par la CIA. Ou alors je confonds avec un épisode de X-Files ?
Peut-être...
Amusant. Le texte est assez documenté, d'ailleurs, mais ce qui lui donne tout son sel, c'est les interprétations et les corrélations complotistes. Enfin, Satan l'habite, quoi.
Sinon, en moins drôle mais intéressant, il y a aussi Lipstick traces, le bouquin de Greil Marcus, qui voit se dessiner une histoire secrète de la subversion qu'il fait partir de Dada, en passant par le rock et les situs, pour aller jusqu'au punk.
Le rock, pour moi, c'est surtout une histoire de mômes qui s'emmerdent et puis y a une guitare qui traine, un mec qui connaît les 3 accords de blues, un autre qui amène les bières, et puis faut épater les filles, aussi. Après, on vieillit, on commence à théoriser, et on finit par faire du jazz ou alors on se trouve un "vrai" métier.
On ne peut pas comprendre l'histoire de l'industrie musicale depuis 1949 si l'on ignore les grandes lignes de ses rapports avec le rock.
Oui, je sais, tu n'as pas d'affinité avec l'industrie musicale.
N'empêche que, lorsqu'on veut construire quelque chose de neuf, mieux vaut connaître ce qui s'est fait auparavant : ça évite de refaire les mêmes erreurs.
Théoriquement si on fait tout l'inverse on devrait arriver au résultat inverse, ça a l'air trés facile à mettre en oeuvre, non ?
Donc, pas d'icone pop et tout devrait marcher comme sur des rouletes. Car qui dit pas d'icone, dit, pas d'univers factice pour gogos à vendre.
Le rock n'est qu'une partie de l'iceberg à mon sens.
Voui, mais les blancs, ils ont le droit de faire aussi de la musique, et même de pomper celle des noirs, non ? Le reggae revu par des punks (Clash, par exemple), c'était rigolo.
Le jazz lui-même doit beaucoup à des musiciens blancs (pas mal de juifs).
Dans la soul et le rythm'n'blues, derrière des gens comme Otis Redding (noir), il y avait des types comme Steve Cropper (blanc).
Et il y a des noirs qui ont fait du rock. Hendrix, métis indien-noir, par exemple.
Bah les icônes pop ce n'est pas réservé au rock, hein, les dj puisent bien dans ce réservoir de mythes porteurs.
Ne te vexe pas, mais je te trouve d'une naïveté confondante.
Nous ne parlons pas du tout de la même chose.
Ta vision est clairement… disons post-MTV pour (énormément) simplifier. L'industrie musicale, le rock, le marketing, tout ça a une histoire. Je ne peux que te conseiller de lire et de méditer le chapitre 3 de No Logo de Naomi Klein.