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ZIKPOT : ATTENTION !

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Réponses

  • Ce que je sais, c'est qu'à force de répéter un mot aussi souvent on finit par le vider de sa substance.
    Dans un autre topic, nous sommes tombés d'accord avec les autres intervenants sur le fait qu'un être humain qui utilise l'art pour plaire est un artisan car ce qu'il cherche c'est à vendre quelque chose. Lui bien souvent puisque l'auto définit comme artiste à tendance à se confondre avec l'autoproclamée oeuvre.
    Et pour ce faire il se soucie de comment toucher son public donc, il se passe une commande à lui-même en fonction de critères qui viennent du monde de l'entreprise à savoir, l'étude de marché et de faisabilité. HOrs par définition un Artiste ne cherche rien de tout cela puisqu'il ne fait qu'exprimer à travers un art que ce qu'il ressent de façon spontanée à un instant T.
    Aussi, le concepts n'est pas le fait d'un artiste mais bien d'un artisan, Notez que j'écris tout cela sans jugement, hiérarchisation ou implication morale et émotionnelle.
    Dans la société du spectacle, tout le monde cherche à être vu, voir reconnu, ce n'est donc pas le fait d'artistes, ni même d'artisans ( qui demande un savoir-faire et de l'expérience donc de la persévérance ), c'est le fait d'enfants et d'adultes-enfants incapables d'autonomie de pensée qui sont dans le fantasme le plus complet, celui qu'on nous vend à travers la lucarne.

    Qui voudrais devenir pauvre, montré du doigt et enterré dans une fausse commune ?
  • Ce qui à mon sens devient intéressant quand on inspecte, qu'on dépoussière l'expression, ou concept du Mythe Porteur, c'est son étude décorellé de toute valeur morale. Il n'y a pas grand intérêt - de mon point de vue (si tant est qu'un "je" puisse précisément m'apparaître clairement à l'esprit un jour) - à s'éventrer sur les principes moraux, les l'oies du pestacle, du casino, du contrôle, du pouvoir. Creusons d'avantage et arrêtons-nous plutôt (dans le sens ça "me" paraît plus intéressant lol) sur le concept de puissance - mais le terme est bien trop "chargé" émotionnellement, je lui préfère volontiers l'univers des possible auquel renvoie le Mythe Porteur.

    "Iggy, qui est Dieu"

    je ne sais trop comment comprendre ceci, le concept de Dieu a nombre d'acception possible, pour ma part je dirais pour précision et pour faire comprendre - du moins "je" l'espère - ma position, que quiquonque, qui est dieu, et tout l'est, donc il est dit, qu'il faut juste se contenter d'être soi-même.
    ça me va, je le dis, sans être dieu.

    la question du Mythe Porteur devients alors actuelle à sa vie.
    C'est une question intime qui renvoit à la question philosophique de l'artiste, et de l'art.

    Mais jusqu'où voulons-nous porter ?
    Et pour quoi faire ?

    arrivé à ces questions, pour comprendre les positions de chacun, il suffit d'écouter la musique des différents musiciens et créateurs. ce sont des choix de vie. Par quoi sont-ils représentés ? et que présentent-ils ?

    (ça m'a fait marrer ET de Mythe Porteur, sérieux BrainDamage (Roland ?) si on te balance du son sous ce sceau, tu le publies ? ou bien était-ce une proposition personnelle ?)

    Et quels sons ?
    Quelles sont les effets de ses vibrations sur l'auditeur ?
    sont-ils vonlontaires ? recherchés, travaillés, paufinés ?
    quelles émotions procurrent-ils ?

    autant de questions intéressantes qui renvoient à la relation de l'observateur à l'oeuvre, dans le cas d'un Mythe Porteur.

    tiens, m'en vais produire du son, ainsi que des silences
  • C'est pas parce que tu ressembles à un archétype de mythe porteur, Iggy Pop en l'occurence, que tu fais les Stooges !
    Ça se saurait s'il suffisait de vivre sex, drugs, rock'n roll, et d'avoir une "gueule" pour devenir automatiquement une star...
    Et concernant Iggy Pop il a bien dû attendre 30 ans (en 2000?) avant d'acquérir ce statut auprès du grand public, et encore, j'ai des doutes sur ce supposé statut (dieu)...
  • Je persiste et signe :D

    Ce que vous appelez Mythe porteur c'est du travail et du contrôle d'image, rien de plus.
    Autrement dit, aujourd'hui, c'est du marketing et de la force de vente.

    En quoi cela va bien pouvoir apporter quoi que ce soit aux licences ouvertes, je ne vois pas bien... Sinon, ça change quoi par rapport aux gens en quête de visibilité sur le net ?

    Iggy pop, Dieu ?
    Oui pour la secte qui le vénère comme tel.
    Pour moi, un abruti repenti qui suit un régime macrobiotique histoire d'avoir un look et a une vie d'ascète aprés avoir fait toute sa carrière sur l'excés en tout. Musicalement ça me les brise menu. :D

    Ah les guerres de religion, ça commence avec un rien, hein ?

    En fait comme dans la vie, en art, je suis agnostique.

    :D
  • Dans la société du spectacle, tout le monde cherche à être vu, voir reconnu, ce n'est donc pas le fait d'artistes, ni même d'artisans ( qui demande un savoir-faire et de l'expérience donc de la persévérance ), c'est le fait d'enfants et d'adultes-enfants incapables d'autonomie de pensée qui sont dans le fantasme le plus complet, celui qu'on nous vend à travers la lucarne.

    Qui voudrais devenir pauvre, montré du doigt et enterré dans une fausse commune ?
    Je suis d’accord avec ça. En même temps être montré du doigt, c’est déjà acquérir une certaine « visibilité »… à ses dépends certes. ;)
  • (Hors) sujet avatars, mythe, stars marketing, bizness, une vidéo d'une conférence sur les faux-beatles.

    Gaylord Fields
    "Yeah Yeah ... Uh, No: Exploring the Audiovisual Phenomenon of Beatles-Lookalike Long Playing Albums"


    :arrow: http://www.adult-ed.net/video.html
  • a-Sansara écrit:
    "Iggy, qui est Dieu"

    je ne sais trop comment comprendre ceci,

    Au second degré ? :wink:
  • a-Sansara écrit:
    (ça m'a fait marrer ET de Mythe Porteur, sérieux BrainDamage (Roland ?) si on te balance du son sous ce sceau, tu le publies ? ou bien était-ce une proposition personnelle ?)

    C'est un concept. Si le son correspond au concept, banco !
  • BrainDamage écrit:
    LaSp écrit:
    Alors comment trouver l'avatar qui correspond à sa charpente ?

    Iggy, qui est Dieu, te dirait sans doute qu'il faut juste te contenter d'être toi-même.

    Mais à fond à fond à fond et sans déraper dans les graviers.

    Et si je suis multiple ?
    :roll:
  • Je persiste et signe :D

    Ce que vous appelez Mythe porteur c'est du travail et du contrôle d'image, rien de plus.
    Autrement dit, aujourd'hui, c'est du marketing et de la force de vente.

    Non. C'est sur quoi repose une partie du marketing et de la force de vente.

    Je ne pense pas que Homère, quand il a écrit l'Illiade et l'Odyssée, pensait en termes de marketing et de force de vente.
    Iggy pop, Dieu ?
    Oui pour la secte qui le vénère comme tel.

    Y a une secte ? Tu as le numéro de téléphone du gourou en chef ?
    Pour moi, un abruti repenti qui suit un régime macrobiotique histoire d'avoir un look et a une vie d'ascète aprés avoir fait toute sa carrière sur l'excés en tout.

    Oh qu'elle est jolie l'enfilade de poncifs !

    Non, sérieux, j'espère que tu plaisantes quand tu écris ça.

    Il y a une réelle cohérence qui va du gamin défoncé d'à peine vingt ans qui marchait sur la foule au quasi sexagénaire végétarien (pas macrobio) qui ne s'est à aucun moment "repenti" : c'est le même individu qui évolue pendant quarante ans.

    Je comprends de mieux en mieux pourquoi tu ne saisis pas le concept du mythe porteur : tu n'opères aucune dissociation entre l'artiste et le système où il évolue. Et, là où je parle de forces inconscientes et de structures mentales, tu ne vois que marketing et tout ça.
    Musicalement ça me les brise menu. :D

    Ben évidemment si tu n'aimes pas le punk tu ne peux pas comprendre…

    Une lecture instructive :

    2844852084.jpg
  • Ah quand même, je me demandais qui allait réagir contre ma charge anti Iggy :D
    Visiblement, pas trop d'adepte du gars dans le coin :)

    Heu personnellement, je ne ferais pas un parallèle entre le mythe du Héros transmis par Homère et le pseudo mythe moderne de l'artiste pop.
    Je comprends de mieux en mieux pourquoi tu ne saisis pas le concept du mythe porteur : tu n'opères aucune dissociation entre l'artiste et le système où il évolue. Et, là où je parle de forces inconscientes et de structures mentales, tu ne vois que marketing et tout ça.

    Effectivement, je ne dissocie pas le monde dans lequel évolue un individu de ce qu'il est et de ce qu'il fait. Pour moi, artiste, actes et oeuvre sont liés. Je ne sais plus qui a dit : nous sommes jugés par nos actes. Un artiste est jugé d'aprés ce qu'il transmet via les medias, quel que soient ces medias.

    Et je ne comprends pas bien ce que tu appelles structure mentale et force inconsciente dans un monde où on crée des "héros" de toute pièce. Y-a-t'il un parallèle entre le fait de marcher sur la foule et les soi-disants exploits d'un certain fils de Dieu ?

    Effectivement, je n'aime pas le punk en tant que pseudo mouvement culturel qui reste quand même un exemple de ce qui se fait de mieux en marketing.

    Mais bon, on ne va pas transformer ce post en affrontement Marketing contre Mythes.
    Il me semble que ta position et la mienne sont claires sur le sujet maintenant :D
  • Heu personnellement, je ne ferais pas un parallèle entre le mythe du Héros transmis par Homère et le pseudo mythe moderne de l'artiste pop.

    D'ailleurs, je ne l'ai pas fait.

    Cela dit, parler de "pseudo" mythe est une grave erreur.

    Ce n'est pas parce qu'une industrie culturelle a participé à la propagation d'un avatar d'un archétype qu'elle l'a créé. Elle en serait bien incapable.
    Effectivement, je ne dissocie pas le monde dans lequel évolue un individu de ce qu'il est et de ce qu'il fait. Pour moi, artiste, actes et oeuvre sont liés. Je ne sais plus qui a dit : nous sommes jugés par nos actes. Un artiste est jugé d'aprés ce qu'il transmet via les medias, quel que soient ces medias.

    Je te répondrai pas une citation :
    Il n'est plus du tout à la mode de parler de société de consommation. Pourtant, rien n'indique que nous en soyons sortis, bien au contraire. « Le monde moderne se présente comme une immense accumulation de marchandises. » Jamais peut-être la célèbre formule de Karl Marx qui ouvre Le Capital n'a eu autant d'actualité. L'histoire retiendra sans doute des dernières années de ce siècle l'extension de l'économie marchande à presque toute la planète (5).

    Si l'on a souvent fait remarquer le rôle joué par les multinationales dans les romans de Gibson — dans son univers, les personnages entretiennent essentiellement des relations de commerce : achat, vente (et vol) d'objets ou d'informations — on a rarement souligné dans quel cadre ces relations ont lieu.

    La consommation, écrit Jean Baudrillard dans Le Système des objets, « n'est ni une pratique matérielle, ni une phénoménologie de "l'abondance", elle ne se définit ni par l'aliment qu'on digère, ni par le vêtement dont on se vêt, ni par la voiture dont on se sert, ni par la substance orale et visuelle des images et des messages, mais par l'organisation de tout cela en substance signifiante ; elle est la totalité virtuelle de tous les objets et messages constitués dès maintenant en un discours plus ou moins cohérent. La consommation, pour autant qu'elle ait un sens, est une activité de manipulation systématique de signes. […] Pour devenir objet de consommation, il faut que l'objet devienne signe, c'est à dire extérieur de quelque façon à une relation, qu'il ne fait plus que signifier — donc arbitraire et non cohérent à cette relation concrète, mais prenant sa cohérence, et donc son sens, dans une relation abstraite et systématique à tous les autres objets-signes. »

    Dans le roman de Georges Pérec Les Choses, les deux « héros » n'ont de relation qu'à travers les objets dont ils rêvent et qu'ils parviennent ou non à acquérir. Comme nous avons perdu l'habitude de penser à notre société comme à une société de consommation, nous nous sommes contentés de considérer les objets-signes présents dans les romans de William Gibson comme des « objets de mode ». Or ils ne sont devenus des objets de mode que parce qu'ils étaient des objets-signes, par rapport auxquels s'organisent les relations des personnages à eux-mêmes, et entre eux. C'est donc en tant qu'objets-signes qu'il convient de les étudier.
    Et je ne comprends pas bien ce que tu appelles structure mentale et force inconsciente dans un monde où on crée des "héros" de toute pièce.

    Je ne peux pas répondre parce que je me place sur un plan abstrait, et dans le domaine de la psychologie humaine, alors que, toi, tu te situes sur un plan concret et dans celui du marketing.
    Y-a-t'il un parallèle entre le fait de marcher sur la foule et les soi-disants exploits d'un certain fils de Dieu ?

    Mmm… tiens, je n'y avais pas pensé.

    Voyons… Iggy des débuts en tant que figure christique rebelle/alternative… mmm…

    Ouaip, c'est amusant. Je vais y réfléchir en replongeant dans ma doc.
    Effectivement, je n'aime pas le punk en tant que pseudo mouvement culturel qui reste quand même un exemple de ce qui se fait de mieux en marketing.

    Si j'ai mis la couverture de Please kill me dans mon message, c'était justement pour éviter ce genre de réponse totalement à côté du sujet. 8)

    Donc, je précise :

    Le punk est un "mouvement" qui plonge ses racines dans les années 60 et se cristallise à New York dans la première moitié des années 70. Le punk anglais qui vient ensuite n'en est qu'un avatar. Please Kill Me comme l'autobiographie de Dee Dee Ramone sont très instructives à ce sujet.
    Mais bon, on ne va pas transformer ce post en affrontement Marketing contre Mythes.
    Il me semble que ta position et la mienne sont claires sur le sujet maintenant :D

    Je ne vois pas en quoi j'ai pris une position quelconque. J'ai fait une remarque, consécutive à une observation, c'est tout.
  • De quel mythe porteur Iggy Pop est-il l'avatar?

    Même question pour Bruce Springsteen.
  • devoir de vacances

    à un moment de la journée, je me dis, "il me faut un excitant pour tenir", du coup je pars illico m'acheter une canette de coca zéro.

    définir dans cette phrase,
    - les mythes porteurs
    - les objets signes
    (attention, il se peut que certains soient cachés)
  • MrPiggiePopp écrit:
    De quel mythe porteur Iggy Pop est-il l'avatar?

    Même question pour Bruce Springsteen.

    Alors, c'est là que les choses se corsent.

    D'une part, il peut y avoir plusieurs mythes porteurs chez une seule entité (personne ou groupe de personnes au sens large).

    D'autre part, il y a évolution avec le temps.

    Bon, et puis, j'ai beau essayer de conserver un point de vue le plus neutre possible, je suis limité par ma culture, qui n'est pas universelle.

    Je me souviens d'une phrase d'Iggy, où il disait que, sur la fin des Stooges, il en était arrivé à un stade où la seule surenchère possible était de se suicider sur scène. Il semblerait que l'impulsion ne soit jamais venue.

    Et c'est ainsi que le M.P. "vivre à fond jusqu'à la mort" a cédé la place à celui du "survivant". Par exemple.

    En d'autres époques, ça aurait pris d'autres formes.

    Pour Springsteen, c'est plus facile.

    Je précise que je n'aime pas vraiment ce qu'il fait, musicalement parlant. Trop "agricole" à mon goût. Mais je connais assez bien parc que j'ai un vieux pote qui en est fan fondu.

    Springsteen, je crois qu'il incarne entre autres un mythe très puissant : "une certaine Amérique", qui n'est ni celle de George Bush, ni celle des punks. Il y a un live, où il raconte (avant "The River", je crois) ce qui s'est passé quand il est revenu chez lui après avoir été réformé. Si ma mémoire est bonne, son père le félicite, à sa grande surprise.

    Maintenant, le M.P. "une certaine Amérique" est lui-même composé d'un certain nombre d'autres M.P. plus basiques, qui eux-mêmes…

    On peut aussi appeler les M.P. composites des "mèmes" — des entités cognitives capables de se reproduire — et les structures les plus profondes sont a priori les archétypes jungiens.

    Mais bon, je veux bien admettre que tout ça ressemble à une jolie branlette intellectuelle pour ceux qui n'en voient pas le côté fun.
  • __sam écrit:
    devoir de vacances

    Excellent ! Tu relèves les copies fin août ?
  • Oui, oui je vois bien de quoi tu parles, sauf que je constate, comme je m'y attendais, qu'entre deviser sur les mythes porteurs et leurs avatars, et passer à un exemple concret, il y a une marge.

    Alors, c'est là que les choses se corsent.

    Eh oui...
    De quel archétype (un archétype complexe est-il seulement un archétype?) Iggy Pop est-il l'avatar? en une phrase simple visiblement ce n'est pas possible.

    Et une fois que ce serait fait, il reste encore la musique à ECOUTER...
  • non, je relève les copies cette après midi, et c'est zéro pointé et passage devant monsieur le directeur (alias rico)
  • MrPiggiePopp écrit:
    Oui, oui je vois bien de quoi tu parles, sauf que je constate, comme je m'y attendais, qu'entre deviser sur les mythes porteurs et leurs avatars, et passer à un exemple concret, il y a une marge.

    Alors, c'est là que les choses se corsent.

    Toutafé. J'avais conscience du problème quand j'ai évoqué les mythes porteurs un peu plus haut.

    L'existence des structures fondamentales est une chose, leur identification en est une autre.
    MrPiggiePopp écrit:
    (un archétype complexe est-il seulement un archétype?)

    Voilà une question que je me pose depuis un sacré bout de temps.

    C'est pour ça que j'ai préféré employer "mythe porteur", d'ailleurs.
    MrPiggiePopp écrit:
    Et une fois que ce serait fait, il reste encore la musique à ECOUTER...

    C'est évident.

    Je me souviens d'une époque déjà lointaine où les artistes s'effaçaient derrière des pseudonymes à répétition, une époque où on ne savait pas vraiment qui faisait quoi…

    C'est précisément le concept de Mythe Porteur : un groupe qui n'existe pas, en dehors d'une image, de quelques lignes de texte (sans doute appelés à changer régulièrement), et de morceaux dont les auteurs et les interprètes ne sont pas spécifiés.

    La page que j'ai créée est donc un lieu d'anonymat pour ceux que l'idée amuse ou inspire.

    Mythe Porteur est un concept.

    C'est tout le monde.

    Ce n'est personne.

    C'est de la musique et point barre.

    Kestendis, MrPiggiePop ?
  • __sam écrit:
    non, je relève les copies cette après midi, et c'est zéro pointé et passage devant monsieur le directeur (alias rico)

    J'ai un autre sujet de devoir :

    L'anonymat est-il un mythe porteur ?

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